Questions - Réponses


Apport en capital et apport en compte courant - SARL 3 associés : serons-nous tous les 3 caution à la même hauteur ?

Bonjour, Avec 2 amis, nous souhaitons racheter un fond de commerce en ayant chacun le même nombre de parts (environ 3000 euros chacun d'apport au capital) Nous ne sommes que 2 (et je dispose du plus gros apport )à disposer de liquidités que nous pourrions apporter en garantie lors de la demande de prêt auprès des banques. Mes questions sont les suivantes : - Sommes nous tous les 3 caution à la même hauteur au cas où l'entreprise connaîtrait des difficultés financière ? - Les dividendes seront-ils divisés en 3 sans tenir compte des sommes apportés (apport personnel) ? - Pourrais-je récupérer ces sommes investies dans l'entreprise ? J'espère avoir été clair. Je débute dans la création/gestion d'entreprise et je préfère me renseigner avant...afin d'éviter une éventuelle association malheureuse. Équipement | CM | samedi 4 décembre 2010

La restauration hors domicile : certaines caractéristiques sont encore dans le flou

Aujourd'hui, la restauration hors domicile vit certainement le tournant le plus important de son histoire mais certaines de ses caractéristiques nous échappent encore. En effet, bien que l'emploi se raréfie dans ce secteur, la qualité de service se devra pourtant d'être demain un élément différenciateur. Rappelons qu'à l'esprit du client, cette qualité de service est acquise. Elle doit être efficace et rapide dans la restauration distribuée rapidement et technique et compétente dans la restauration avec service à table. Il sera alors nécessaire de revoir en profondeur, voire de réinventer, les circuits de recrutement, les profils de poste, les formations du personnel, l'aménagement du temps de travail et très certainement les modes de rémunération. Les clients, quant à eux, seront plus nombreux, plus exigeants et... plus infidèles. Ils sortiront de chez eux certes de plus en plus souvent mais pour se restaurer dans des lieux de consommation à la fois sécurisants et étonnants. De plus, l'un des objectifs du consommateur ne sera plus de réduire le temps qu'il accordera à son repas mais de zapper non seulement en fonction des moments de la journée, de la situation dans laquelle il se trouvera mais aussi et surtout en fonction de ses envies et de son humeur. Ainsi, l'origine des produits, du producteur à l'assiette (de la fourche à la fourchette) devra être d'une transparence totale car le consommateur lui-même en tiendra compte dans ses critères de choix et de fidélisation. Les restaurants du 3e millénaire deviendront des lieux de vie à part entière où l'envie d'y revenir dépassera largement le fait d'être bien accueilli, dans une ambiance sympa, pour une bonne assiette à un prix raisonnable. Par conséquent, créer et manager un ou plusieurs restaurants à succès consistera à ce que les résultats quantitatifs soient étroitement liés aux résultats qualitatifs ; donc, il s'agira non seulement de faire venir et revenir les clients grâce à une alchimie complexe visant à créer dans leur esprit le réflexe de penser à vous plutôt qu'à un autre. Mais également d'attirer et de fidéliser du personnel grâce à un état d'esprit, une philosophie et en somme, le restaurant du 3e millénaire ne sera plus le restaurant de vos rêves mais le restaurant de rêve de vos clients et de vos équipes. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 4 décembre 2010

Dégradation du matériel : est-ce possible d'introduire dans le Contrat la possibilité d'une prime, forfaitaire ou relative ?

Certains employés saisonniers perdent ou dégradent trop souvent vaisselle, limonadiers, T-shirts ou tabliers... alors que d'autres respectent le matériel. Est-il possible d'introduire dans le Contrat de travail la possibilité d'une prime, forfaitaire ou relative, dont pourraient être déduits les coûts des matériels à remplacer ? Puisqu'il est illégal de retenir sur le salaire, et qu'une fois passée la période d'essai on ne peut rompre un CDD pour ce seul motif, comment les motiver autrement ? J'ai le même Pb avec le respect des horaires d'ailleurs... Pourtant "la maison" ne doit pas être si mauvaise, puisque plusieurs employés demandent à revenir la saison suivante. Juridique | HENRI | vendredi 3 décembre 2010

historique de la 6e semaine et des fériés : existe-t-il un document de synthèse pour expliquer ?

Madame, Je dois expliquer à une de mes employées le déroulement qui a conduit la profession de cinq semaines de CP aux 11 fériés en passant par la "sixième semaine" de congés payés . Pouvez vous m'indiquer s'il existe un document de synthèse avec sa chronologie et les actes administratifs qui en sont à leurs origines? Petite question complémentaire qui détermine les jours fériés garantis et comment ? Juridique | ferid | vendredi 3 décembre 2010

Contrat temps partiel : mentionner 86,60 h à raison de 20 h/semaine, est-on en conformité avec la loi ?

Bonjour, nous envisageons d'embaucher un salarié à temps partiel et avons besoin de vos conseils pour la rédaction du contrat. Le Code du Travail impose la mention sur le contrat à temps partiel de la durée hebdomadaire ou mensuelle du travail ainsi que la répartition de cette durée entre les jours de la semaine ou les semaines du mois. Si on envisage de mentionner sur le contrat de travail une durée mensuelle de 86,60 H à raison de 20 H/semaine, sommes nous en conformité avec la loi ? ou bien doit-on mentionner : semaine 1 = 20 H semaine 2 = 20 H semaine 3 = 20 H semaine 4 = 20 H Si la mention dans le contrat d'une durée mensuelle de 86,60 H à raison de 20 H/semaine suffit, nous communiquerons au salarié ses horaires de travail par écrit au moins 7 jours à l'avance et lui ferons signer son planning sur lequel elle indiquera la date à laquelle elle l'a reçu. Cela vous semble t-il suffisant pour établir la preuve qu'elle n'a pas à se tenir en permanence à notre disposition. Merci par avance de tous les conseils que vous pourrez m'apporter. Juridique | Nat | mardi 30 novembre 2010

Une propriété du Bordelais achetée par des Chinois : polémique sur le mot "laffite"

L'acquisition récente par un riche Chinois du château Chenu Lafitte donne lieu à une polémique. La raison : la présence du mot "laffite" dans l'intitulé de cette propriété. D'aucuns craignent qu'en Chine, il y ait confusion avec le premier cru classé de Pauillac. Mais il faut savoir que nombreux sont les crus du Bordelais dont le nom comportent "Laffite ou Laffitte" même chose pour "La Tour ou Latour". Dans le cas de Chenu Lafitte ; Lafitte est écrit avec 2 t contrairement à Château Lafite (cru classé de Pauillac) qu'y n'en comporte qu'un. Sans aller jusqu'en Chine, combien de Français ne font pas la différence entre un " margaux " et un " château margaux " ? un " montrachet " et un " puligny-montrachet"?. Avant d'avoir vu les prix bien évidemment? Pour en revenir au Château Chenu Lafitte, c'est un domaine de 82 hectares situé dans la région de Bourg-sur-Gironde qui commercialise la majorité de ses vins sous l'AOC " bordeaux supérieur " et une petite partie sous l'AOC " Côtes de Bourg " En ce qui concerne l'achat de châteaux du Bordelais par des étrangers, rien de nouveau. Dès 1935, le château Haut-Brion, un des plus beaux fleurons de la région a été acheté par le financier américain Clarence Dillon. L'acte d'achat a été signé le 13 mai 1935. Boissons - Produit - Sommellerie | Paul BRUNET auteur | mardi 30 novembre 2010

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