Questions - Réponses


Vente de fruits de mer : diverses questions pour cette nouvelle orientation, où se les procurer, hygiène, etc. ?

Bonjour, nous sommes en restructurution totale de notre établissement. Nous disposons d'un établissement où nous pouvons réorienter notre activité différemment : Espace, Terrasse, pas de vis à vis, aux normes puisque tout a été refait. Nous souhaitons nous orienter dans la spécialité de la vente de fruits de mer. Nous souhaitons obtenir du blob toutes les conditions que l'on doit réunir pour être opérationnel : l'aspect visuel, hygiène, où acheter les fruits de mer en gros (adresses) enfin tout pour réussir cette nouvelle activité bien entendu nous rechercherons un écaillé. merci beaucoup pour le coup main. Bien cordialement guigui Équipement | guigui | dimanche 29 novembre 2009

Retraite complémentaire : quelques incompréhensions

Bonjour, J'ai repris un restaurant début juin 2009 sous la forme d'une SARL Je viens de recevoir le courrier suivant du Groupe XXXX concernant la retraite complémentaire 'Savez vous que la reprise au 7/5/2009 du fonds de commerce de ...... nous permet de vous accueillir parmi nos adhérents. En effet, selon la réglementation de nos fédérations AGIRC et ARRCO, vous avez l'obligation de reconduire les contrats retraite de votre prédécésseur auprès des mêmes institutions et aux mêmes conditions. Vous trouverez ci-joints les certificats concrétisant vos adhésions retraite auprès de notre Groupe.'.... Je suis très étonnée de ce ton péremptoire.... pouvez vous me renseigner. Merci par avance. Gestion - Marketing | origne | samedi 28 novembre 2009

VAE : Validation des Acquis de l'Expérience

Comment triompher des épreuves de la VAE tel est le titre de l'un des articles de Courrier Cadres du mois de décembre 2009. "Vous avez travaillé dur et vous voudriez voir vos efforts reconnus par un diplôme . La VAE est là pour ça". Extrait de l'introduction. L'article met l'accent sur les difficultés des candidats pour se faire valider un diplôme sans se faire accompagner, à travers diverses "épreuves" : - l'épreuve du financement : financement personnel ou par le DIF (Droit Individuel à la Formation). - l'épreuve du choix du diplôme : il existe en France 14 000 diplômes et certificats. Trouver celui qui correspond le mieux à son expérience n'est pas facile. - l'épreuve du dossier : le candidat doit remplir un dossier administratif relatif à son parcours professionnel et un dossier qui doit permettre de décrire, d'analyser ses activités professionnelles en plusieurs dizaines de pages. - l'épreuve du jury : convaincre le jury des compétences acquises ! Formation - Juridique | Jean-Philippe Barret - Auteur | vendredi 27 novembre 2009

Abri de piscine : y a-t-il une réglementation particulière dans ce domaine imposant ce matériau ?

une aubergiste disposant de 5 chambres accueillant 14 personnes, code NAF 5510 Z, me pose la question des matériaux à utiliser pour la couverture d'une piscine haute et télescopique, installée dans le parc de l'hôtel. Il est prévu de chauffer l'eau par un système de panneaux solaires Le fabricant lui parle d'une norme 'ERP' pour le matériau, imposant ainsi une différence de coût appréciable. Y a t'il une réglementation particulière dans ce domaine imposant ce matériau ? Merci de vos contributions Équipement | boulais | jeudi 26 novembre 2009

Logiciel de gestion : problèmes dans la remontée des données des caisses et des ventes

Bonjour, Ma question est plus juridique que technique. Ne sachant à qui m'adresser je vous la pose. Je possède une machine de caisse SHARP 3300 à laquelle j'ai adjoint - via l'ordinateur - un logiciel de gestion édité par GOMC. Je rencontre de nombreux problèmes avec ce logiciel notamment dans la remontée des données des caisse et des ventes. Les données sont erronées et ne me permettent pas de contrôler valablement les caisses et de suivre mes ventes ainsi que les statistisques nécessaires pour une gestion saine.Sans compter que je perds beaucoup de temps en régulations comptables et à établir des manuellement des documents qui devraient être faits automatiquement par le logiciel. Le revendeur du logiciel ne trouve pas à priori la cause qui génére les données erronées. Celà dure depuis plusieurs mois. Je perds patience. Mes lettres sentencieuses sont sans effets. Que faire? Y a-t'il un recours juridique? Avec mes remerciements, Didier DETRIVIERE LE PELICAN 59400 CAMBRAI Équipement - Informatique | DETRIVIERE didier | jeudi 26 novembre 2009

Indication géographique protégée : les vins, mais aussi la moutarde

Le règlement européen enregistrant l’Indication géographique protégée « Moutarde de Bourgogne » a été publié au Journal Officiel de l’Union Européenne du 25 novembre 2009. Cet enregistrement fait suite à la demande française sur la base de l’avis de l’INAO. Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas que les vins qui peuvent bénéficier de cette reconnaissance. Boissons - Produit - Sommellerie | Paul Brunet - auteur | mercredi 25 novembre 2009

Effervescents du monde : six vins français dans le Top 10

Six vins français, dont 3 crémants d’Alsace, dans le Top 10 des meilleurs effervescents du monde. Organisée par l’association Forum Œnologie, cette compétition s’est déroulée les 19 et 20 novembre 2009 à l’École Hôtelière du Lycée Le Castel à Dijon, selon les règlements des concours internationaux et l’ application stricte de l’Assurance qualité ISO 9002. (voir mon article, publié sur le site de l’Hôtellerie, le 4 novembre 2009). Quelques chiffres : 24 pays 519 échantillons 75 experts jurés internationaux Les lauréats du Top 10 : 6 vins français, un canadien (Icewine), deux italiens et un argentin. Résultats complets sur http://www.effervescents-du-monde.com Boissons - Produit - Sommellerie | Paul Brunet - auteur | mercredi 25 novembre 2009

Congrès de l'Umih + Synhorcat : la fin des syndicats ?

Dépêche AFP sur le Congrès de l'Umih : Ambiance, ambiance. Le congrès de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) s'est ouvert ce mardi à Nantes dans une ambiance tendue. Son ancien président, André Daguin, assure avoir obtenu la révocation de l'actuelle présidente Christine Pujol qui affirme être «toujours présidente». Ce matin, les partisans d'André Daguin ont tenté vainement le coup de poing pour donner la parole à l'ancien président lors du discours d'ouverture de l'actuelle présidente dans le but de demander l'organisation d'une assemblée générale extraordinaire. Lassés d'attendre, ils ont organisé eux-mêmes une assemblée générale extraordinaire (AGE), qui a réuni 62 départements? Selon André Daguin, qui a cédé sa place de président du principal syndicat de restaurateurs en 2008 à Christine Pujol, le résultat a été de «94,7% des voix pour la révocation de la présidente, soit 66,5% ramené au nombre d'adhérents». Cette AGE a nommé le président du conseil de surveillance de l'Umih, André Daguin, comme président intérimaire pendant trois mois, le temps d'organiser une nouvelle élection. «Il y a eu une réunion de types pas contents qui ont décidé qu'ils pouvaient me destituer, hors cadre juridique, mais ça n'a aucune valeur, a considéré Christine Pujol. Moi je suis toujours présidente, je garde le cap.» Avant d'ajouter: «Je suis en position de présidente, élue l'année dernière avec 56% des voix contre deux adversaires. J'ai toute ma légitimité, j'essaie d'apporter un souffle nouveau à la profession.» Le soir, la confusion régnait toujours au congrès, alors que le Sénat a rejeté dans la nuit un amendement de sa commission des Finances prévoyant un retour à une TVA à 19,6% au lieu des 5,5%. Un amendement perçu comme un avertissement adressé aux restaurateurs qui n'auraient pas tenu les promesses faites en échange de la baisse de la TVA. Le matin, Nicolas Sarkozy avait déclaré qu'il ne reviendrait «jamais» sur la réduction de ce taux à 5,5%. (Source AFP) Communiqué de Presse du Groupe Flo Groupe Flo annonce sa décision de quitter le Synhorcat « Depuis plusieurs mois Groupe Flo a souhaité que le Synhorcat accélère la professionnalisation de son organisation et sa démarche afin de s’adapter aux profondes mutations des métiers de la Restauration : les enjeux de la TVA ; les enjeux sociaux ; l’apprentissage … Dans ce contexte, la dégradation de l’image de nos métiers auprès de l’opinion publique ainsi que la perte de crédibilité auprès des pouvoirs publics deviennent préoccupantes. Un fossé se creuse entre le discours syndical, sa capacité à mobiliser et la réalité des entreprises engagées dans l'accompagnement de modernisation du secteur. C’est la raison pour laquelle, Groupe FLO considérant que tous les éléments de mobilisations sur ces principaux thèmes ne sont pas réunis, annonce sa décision de quitter le Synhorcat. Il s’associera à toute initiative visant à permettre à notre profession de se moderniser et de retrouver sa crédibilité." Équipement | Resto-radoteur | mercredi 25 novembre 2009

Cours du soir : quels sont les organismes ?

Bonjour je souhaiterais prendre des cours du soir en gestion compta . je n'en ai jamais fait . Je suis en réception depuis quelques années . Jai un niveau bac . Je recherche dans un premier temps des organismes dispensant ce genre de cours pouvant déboucher sur une qualification .( département Rhône ) Je ne mentionne par le Cif auquel j'ai droit car souhaite faire cela en parallèle à mon activité . En ce qui concerne le Dif , le nombre d'heures auquelles j'ai droit ( le maxi depuis qu 'il a été mis en place ) ne me semble pas suffisant pour une formation diplomante . Merci pour votre réponse . Roberto Formation - Juridique | roberto | lundi 23 novembre 2009

Projet d'ouverture de restauration rapide sans expérience ni diplômes : qu'en penser ?

Bonjour à tous. Dans le cadre d'une reconversion, j'ai pour projet d'ouvrir avec un associé (en SARL) un établissement de restauration rapide à forte orientation 'biologique'(bar à pâtes fraîches/jus/soupes/salades, salon de thé, cakes & pâtisseries), peut être associé à une petite licence (VIII?). En province (grand Sud Ouest), parce que marre de Paris aussi... Sachant que j'ai 32 ans (dont 8 dans l'industrie pharma), pas de diplôme de cuisine (mais un hobby, que je pratique depuis très longtemps, ainsi que mon associé), pas de formation hygiène (mais biochimiste de formation -les protocoles qualité et microbes divers, ca me connaît- et tous les textes de lois comme livre de chevet), et une expérience 'terrain' somme toute assez limitée dans le milieu. Pour mon affaire : Fournisseurs identifiés, recettes de base ciblées, coûts de revient estimés (sur la base de +300% de marge en vigueur dans la restauration conventionnelle), ébauche de carte établie, marché en augmentation de +10% par an depuis 10 ans, logiciel novateur de gestion stocks-recettes/traçabilité/encaissement en programmation par un prestataire, je pense que le projet est viable... Mais n'étant ni expert reconnu ni riche à millions, ce que je pense n'a guère de valeur devant un banquier... Selon vous, qu'en est-il des (questions multiples) : 1-Contraintes financières Je dispose de 20-30k€ d'apport personnel et 0 caution, plus 1 an d'indemnités ASSEDIC. Devant la frilosité des banques, nous visons des locaux de petite à moyenne taille (40-60 m², voire moins), la VAE en priorité, des tarifs raisonnés pour toucher un plus large public (majorité de préparations 'maison' à meilleure marge), une déco épurée et végétale (panneaux végétaux muraux, serres d'intérieur, pots et lampes fleuries...), peu voire pas de vente en table (remplacées alors par un plus grand comptoir) selon la configuration des lieux pour diminuer les charges au minimum. Compte-tenu de ceci, et ne tablant guère sur plus de 50-70% max d'apport bancaire vu la conjecture, les sommes disponibles vous paraissent-elles suffisantes pour couvrir les besoins pressentis pour un tel projet ? 2-Contraintes réglementaires J'ai lu que pour certaines préparations (type pâtisserie, même de faible volume), un CAP boulangerie/pâtisserie était nécessaire... Or, cakes salés et sucrés, tartes et autres gâteaux sont assez simples à produire en gros volume, fonctionnent très bien en VAE, et je ne me sens ni d'abandonner un quart de mes recettes potentielles, ni de repartir pour 3 ans d'études, fussent-elles passionnantes (d'autant qu'alors, le filon actuel du 'bio' sera probablement tari). Ce projet est-il réglementairement envisageable, sans diplôme ou formation spécifique ? Sinon, qu'est-ce qui coincerait ? 3-Contraintes local Nonobstant toute notion d'achalandage, quelle est selon vous la surface minimale (en salle / cuisine / comptoir) nécessaire pour assurer le bon fonctionnement et la viabilité d'un tel projet pour 2 associés en cogérance ? 4-Contraintes d'équipement Bien que disposant de quelques équipements de seconde main, il nous sera nécessaire d'acheter (Métro ou autre, ventes aux enchères...) pour majorité. Outre hygiène, vaisselle/verrerie, etc... quel est selon vous l'équipement minimal incompressible pour un établissement de ce volume ? J'aurai sans doute bien d'autres questions, mais je vous laisse déjà digérer celles-ci ;o) Cordialement, MUF Équipement | MUF | samedi 21 novembre 2009

Bienvenue aux vins 'primeur' et 'nouveau'

Le Beaujolais et quelques autres appellations ont le droit de commercialiser leurs vins comme vin « primeur » ou « nouveau ». Les autres appellations sont généralement débloquées à partir du 15 décembre. Les deux mentions « nouveau » ou « primeur » peuvent être utilisées indifféremment. Pour le beaujolais, elles concernent les rouges et les vins rosés. En revanche, les 10 crus du Beaujolais ne peuvent pas être vendus en primeur. Pour les restaurateurs, la mise en vente de ces vins ne pose pas de problème particulier. Mais certaines règles doivent impérativement être respectées: - Il est formellement interdit de servir ces vins avant la date fixée ( en principe à partir du troisième jeudi d’octobre 00 heure). Ces vins doivent : - être présentés sous leur millésime - être qualifiés de « vin primeur » ou « vin nouveau » à l’exclusion de toute autre mention. Attention : « nouveau » et « primeur » ne constituent pas des appellations, puisque celles-ci ne peuvent s'appliquer qu'à un lieu géographique. Les vins sont vendus sous leurs A.O.C. respectives. Bonne dégustation! Avec modération, bien évidemment... Boissons - Produit - Sommellerie | Paul Brunet - Auteur | jeudi 19 novembre 2009

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