Questions - Réponses


Jour férié non garanti : qu'en est-il du 25 décembre pour un temps complet qui ne travaille que 3 h ce jour ?

Bonjour, suite à l'article du N° 3113 du 26/12/08 de L'Hotellerie, vous indiquez que le 25 décembre s'il est travaillé, le salarié, en jours fériés non garanti, bénéficiera d'une journée en compensation.Qu'en est il d'un salarié à temps complet,mais qui ce jour précis, en fonction de ses horaires habituels,ne travaille que 3 heures.Doit on lui rendre 3 heures ou une journée compléte. Merci pour toutes réponses. Juridique | roro | vendredi 26 décembre 2008

Face à la crise, ajustez votre carte des vins : mettez en valeur vos vignerons, reduisez le coût des réseaux de distribution (REAGIR 2)

Situation actuelle :les cartes des vins se sont réduites : coût du stockage, lutte anti-alcool, baisse des connaissances de la clientèle. Les achats se font souvent via les réseaux de distribution, des produits sélectionnés uniquement auprès de maison de grande capacité de production, d'où une tendance au lissage des saveurs. cf le film Mondovino de Jonathan Nociter Objectifs visés par la solution : réduire les coûts d'achat ou améliorer la qualité à l'achat, donc améliorer les marges du restaurateur - offrir des produits sur lesquels vous pouvez parler en toute connaissance car vous connaissez les vignerons et leurs propriétés - en bouteille ou au verre, augmenter l'envie du consommateur de goûter des produits marqués par vos argumentaires authentiques. - vendre des produits uniques, car, vous argumentez au delà de l'appellation. Solutions : par un encart, centrer l'offre sur des produits sélectionnés dans votre réseau de vignerons, découverts dans vos déplacements, dans les salons des vignerons indépendants. Maintenir à la carte quelques produits issus des réseaux de distribution Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mercredi 24 décembre 2008

Médecine du travail : pourquoi est-on convoqué tous les 2 ans alors que l'on paie tous les ans ?

Comment pouvez vous expliquer que la médecine du travail ne convoque nos employés que maintenant tout les deux ans alors qu'elle nous demande de continuer à régler tout les ans la même cotisation que par le passé!!!! Pour le même service la cotisation a donc augementé de 100%!!!! Les salariés ont ils moins de chance de tomber malade en 12 mois qu'en 24 mois!!!! Encore une fois ont est de vaches à lait et personne ne fait rien!!! Juridique | PMP132 | mardi 23 décembre 2008

Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) : définition

La validation des acquis de l'expérience permet d'obtenir tout ou partie d'un diplôme (BEP, bac pro, BTS, licence professionnelle), d'un titre professionnel, d'un Certificat de Qualification Professionnelle (CQP). La validation s'adresse : - aux salariés, - aux chefs d'entreprise souhaitant améliorer l'image de leur entreprise auprès des banquiers, des collaborateurs ou pour obtenir le titre de Maître Restaurateur ouvrant droit à un crédit d'impôt... - aux conjoints collaborateurs, aux conjoints associés, aux conjoints salariés pour démontrer les compétences acquises lors de la tenue de la comptabilité, de la réalisation de tâches administratives ou de la gestion de la relation clientèle. Certains groupes ont depuis plusieurs années compris l'intérêt de cette démarche, comme l'illustre l'article paru dans l'Express Réussir n°2998 du 18 au 24 décembre 2008. Extraits : 'C'est grâce au vote, en 2002, de la loi de modernisation sociale définissant la validation des acquis de l'expérience (VAE) que nous avons eu l'opportunité de concrétiser une réflexion engagée depuis longtemps sur la reconnaissance de l'expérience professionnelle de nos responsables de restaurant, déclare Hubert Mongon, vice-président RH de McDonald's France (...). Mise au point du référentiel métier, ciblage du diplôme (bac +3), implication de la hiérarchie... depuis 2004, quarante-trois directeurs et directrices de restaurant ayant, en moyenne, 35 ans et une expérience de 14 ans dans l'entreprise ont obtenu leur diplôme (...) soit un taux de réussite de 93%.' Bertand Le Balc'h Formation - Juridique | Virginie Barret - Auteur | lundi 22 décembre 2008

Carte de restaurant : un instrument commercial majeur

La carte est l’instrument commercial majeur de votre restaurant. Elle est le premier contact du client avec votre offre produit avant même d’être rentré chez vous. Elle est malheureusement de plus en plus la seule « vendeuse » au moment de la prise de commande. Elle se doit donc d’être propre, lisible, compréhensible et en bon état Une carte surchargée d’informations, raturée ou tâchée ne donne pas envie de consommer et de plus créé des doutes sur l’hygiène du restaurant (si la carte ressemble à la cuisine ?!!!). Afin de la rendre attractive et de donner envie de consommer, il est possible de mettre en avant les produits à forte marge avec : -Un changement de code couleur -Un descriptif du plat (composition, mode de cuisson, origine) -Une présentation photographique du plat (attention cette photographie ne doit pas leurrer le client et doit être à l’image de ce qu’il aura réellement dans son assiette) La carte doit être renouvelée régulièrement afin de fidéliser la clientèle et de ne pas créer de phénomène de lassitude. L’idéal est un changement à chaque saison, mais 2 changements par an (hiver et été) est déjà très bien. En revanche la rotation journalière est fortement recommandée (stickers ou ardoise) Il est recommandé de créer des cartes différentes (ex : carte des desserts sur un autre support) afin de mieux mettre en avant les produits. De plus cette technique permet de susciter l’intérêt des clients en leur montrant en fin de repas un nouveau support qu’il n’avait pas vu auparavant. La carte doit être facile à consulter et maniable afin que le consommateur puisse prendre son temps pour construire son repas. Préférez la simplicité aux complications. Un client qui fait 3 fois le tour de la carte et qui interroge la personne en face de lui en lui disant « Et toi tu prends quoi ? » est un client que vous n’avez pas séduit, qui est perdu ou qui ne comprend pas. En plus si la prise de commande est robotisée du type : « Vous souhaitez un apéritif ? » -Non merci « Alors je vous écoute… » En plus d’être perdu le client ne va pas se sentir aidé et il va vite devenir stressé car la serveuse ou le serveur va montrer certains signes d’impatience. Il y a aujourd’hui 2 possibilités si vous voulez vendre en maitrisant cette vente. Soit vous êtes d’excellents vendeurs et conseillers qui connaissent parfaitement leur carte et dans ce cas ne faites pas de carte…venez discutez avec vos clients de leur envies, de leurs gouts et orientez les. Soit votre équipe ne connait pas la carte, ni les produits et se contente d’attendre que le client décide seul et dans ce cas investissez dans une carte, une vraie, une carte qui vend… Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 21 décembre 2008

Démarche environnementale dans les étages : utilisez des déstructeurs d'odeurs écologiques

Actions à mener concrètement ? Lutte contre la pollution de l'air. Canaliser les odeurs. Entièrement d'accord mais utilisez des vrais destructeurs d'odeurs, naturels et écologiques. Voir par exemple un produit qui s'appelle Nolfax qui n'est pas masquant et attesté par un laboratoire du Ministère de la consommation. Gestion - Marketing - Service d'étage | JLDPROMOTION | vendredi 19 décembre 2008

Conclusion d'un nouveau contrat de travail avec la même société : est-il normal de recevoir un solde de tout compte ?

Bonjour, Ma société établis en France vient d'avoir 2 contrats à Monaco. Pour se faire, a été créer une nouvelle société, basé à Monaco avec l'entité monégasque. On m'as proposé un poste sur Monaco (j'étais basé à Paris avant) que j'ai accepté. Mon contrat de travail français à été rompu, et je viens de recevoir mon solde de tout compte (j'étais cadre, sous forfait 218,jours). Or le motif de la rupture de contrat évoqué sur le document ASSEDIC est 'tranfer du contrat de travail selon l'article L122-12' ce qui m'étonne énormement !! De plus, les horaires de travail indiqué est 35h (le forfait annuel n'est nul par mentionné). On indique que mon dernier lieu de travail est celui du siège en France (qui n'est en réalité qu'une adresse postale). Est ce que tout ceci est correct ?? Juridique | Christian | jeudi 18 décembre 2008

Vente à emporter + service à table : de quelle convention dépend-on ?

Bonjour Mon activité est double : vente à emporter 25% en CA)et restauration servie à table(75%) (inscription RM et RC). • De quelle convention collective doivent dépendre mes employés ? Je reprends un fonds de commerce restauration avec son cuisinier qui ne correspond pas à mes attentes en termes de compétences et de salaire. • Puis-je licencier ce cuisinier au motif que mon cuisinier doit dépendre de la convention collective de la restauration rapide ? et en reprendre un autre. Merci pour votre réponse urgente. Juridique | irene | jeudi 18 décembre 2008

Cuisinier en CDI : quelle peut être la durée maximum de la modulation du temps de travail prévue par ce contrat ?

Dans un établissement (hôtel + restaurant) ouvert du 15 mars au 20 décembre, 3 personnes sont en CDI donc pratique de la modulation du temps de travail. Parmi ce personnel : 1 cuisinier : quelle peut être la durée maxi de sa modulation prévue par contrat de travail ? idem pour un réceptionniste et un serveur. De plus, cette entreprise embauche 2 contrats d apprentissage, comment faire en pratique pendant la période de fermeture de l'établissement? Merci de vos réponse Juridique | Corinne | mardi 16 décembre 2008

Face à la crise : menu de crise (REAGIR 1)

Situation de l'entreprise : brasserie en centre commercial, 120 couverts le midi, 13.50 euros ticket moyen - perte de clientèle, déjà, en brasserie le matin et l'après midi (effet cigarettes et 1ers effets de la perte du pouvoir d'achat, depuis + 1 an - fréquentation faible en fin de journée. Baisse de la rentabilité, et baisse du ca - Objectif de l'initiative : mise en place d'une prestation à valeur ajoutée maîtrisée : 'Menu de crise', tel est son titre - Contenus et rentabilité : 7,90 euros - 1 plat fixe (autour des spaghettis, des omelettes, ...), frites - 1/2 bière, ou 1 verre de vin de pays, ou 1 diabolo - 1 café - uniquement les soirs d'ouverture de la brasserie (4)- coût matières premières : entre 21 et 26 % Résultats attendus : personnel opérationnel dans l'une des périodes les plus calmes, le soir, bonne concurrence avec le fast food et la cafétéria d'enseignes bien implantées - maintien de l'ambiance de brasserie, bonne rentabilité sur chaque prestation - générer des ventes additionnelles. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mardi 16 décembre 2008

Mention Complémentaire sommellerie : les actions de l'association des sommeliers de Paris Île-de-France

A lire pour connaître les actions de l'association des sommeliers de Paris Île-de-France : https://www.lhotellerie.fr/journal/salon-concours-syndicat-association/2008-11/Lassociation-des-sommeliers-Paris-Ile-de-France-intensifie-son-action-aupres-des-eleves-des-mentions.htm Site Internet de l'association : http://www.sommelier-paris.org/accueil Formation - Juridique | Virginie Barret - Auteur | lundi 15 décembre 2008

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