Contact Jean Gabriel de Jaiflin

Bonjour. A peu de choses près nous avons vécu la même expérience. Après plus de vingt ans consacrés à exploiter 5 restaurants, j'ai écrit un ouvrage intitulé Créer er développer un restaurant édité aux Editions du puitsfleuri et créer une structure d'accompagnement aux créateurs de restaurants. Je viens de découvrir l'existence de votre livre et j'aimerais me le procurer, d'autre part je souhaiterais entrer en contact avec vous pour partager des expériences communes. Cordialement. Marc BINET Conseils. Équipement | Marc BINET Conseil | mercredi 2 décembre 2009

Se lancer dans la vente de fruits de mer : quels sont les avantages et les inconvénients ?

Bonjour, merci de me communiquer les avantages et les inconvénients de se lancer dans la vente des fruits de mer ? spécialité que nous souhaitons développer. On garderait une carte avec deux trois viandes type Côte de boeuf, entrecote, faux filet, mais on se spécialiserait dans les fruits de mer. Au niveau équipements que faut-il ? Une machine à broyer les glacons et quoi d'autres ?? Si il vaut mieux séparer l'activité en équipant un abri à côté pas de souci c'est tout à fait possible. Merci à bientôt guigui Équipement | guigui | mardi 1 décembre 2009

Changement destination local : qui effectue la déclaration à la mairie ?

Bonjour, Je suis en pourparlers d'achat du fonds d'une brasserie au RDC d'un immeuble. Le propriétaire du bâtiment est aussi celui du fonds. Dans la négociation, je désire inclure dans le bail un local (actuellement un appartement de 72 m²) au dessus de la brasserie pour faire une extension (45m²; salle 30pers-office-sanitaires clients/27 m² vestaires et sanitaires personnel + 1 bureau).Création d'un escalier intérieur depuis la salle de la brasserie vers la salle du 1er étage. QUESTION: Qui effectue la déclaration de changement de destination du local à la mairie (loueur ou locataire)? Qu'elles seront d'après vous les obligations en matières d'ERP et dois-je passer par un architecte (aucune modification en façade)? Enfin que me conseillez-vous de faire figurer comme conditions suspensives sur l'éventuel compromis de vente du fonds et du bail. D'avance, Merci. Équipement | Jean-Louis | lundi 30 novembre 2009

Vente de fruits de mer : diverses questions pour cette nouvelle orientation, où se les procurer, hygiène, etc. ?

Bonjour, nous sommes en restructurution totale de notre établissement. Nous disposons d'un établissement où nous pouvons réorienter notre activité différemment : Espace, Terrasse, pas de vis à vis, aux normes puisque tout a été refait. Nous souhaitons nous orienter dans la spécialité de la vente de fruits de mer. Nous souhaitons obtenir du blob toutes les conditions que l'on doit réunir pour être opérationnel : l'aspect visuel, hygiène, où acheter les fruits de mer en gros (adresses) enfin tout pour réussir cette nouvelle activité bien entendu nous rechercherons un écaillé. merci beaucoup pour le coup main. Bien cordialement guigui Équipement | guigui | dimanche 29 novembre 2009

Abri de piscine : y a-t-il une réglementation particulière dans ce domaine imposant ce matériau ?

une aubergiste disposant de 5 chambres accueillant 14 personnes, code NAF 5510 Z, me pose la question des matériaux à utiliser pour la couverture d'une piscine haute et télescopique, installée dans le parc de l'hôtel. Il est prévu de chauffer l'eau par un système de panneaux solaires Le fabricant lui parle d'une norme 'ERP' pour le matériau, imposant ainsi une différence de coût appréciable. Y a t'il une réglementation particulière dans ce domaine imposant ce matériau ? Merci de vos contributions Équipement | boulais | jeudi 26 novembre 2009

Logiciel de gestion : problèmes dans la remontée des données des caisses et des ventes

Bonjour, Ma question est plus juridique que technique. Ne sachant à qui m'adresser je vous la pose. Je possède une machine de caisse SHARP 3300 à laquelle j'ai adjoint - via l'ordinateur - un logiciel de gestion édité par GOMC. Je rencontre de nombreux problèmes avec ce logiciel notamment dans la remontée des données des caisse et des ventes. Les données sont erronées et ne me permettent pas de contrôler valablement les caisses et de suivre mes ventes ainsi que les statistisques nécessaires pour une gestion saine.Sans compter que je perds beaucoup de temps en régulations comptables et à établir des manuellement des documents qui devraient être faits automatiquement par le logiciel. Le revendeur du logiciel ne trouve pas à priori la cause qui génére les données erronées. Celà dure depuis plusieurs mois. Je perds patience. Mes lettres sentencieuses sont sans effets. Que faire? Y a-t'il un recours juridique? Avec mes remerciements, Didier DETRIVIERE LE PELICAN 59400 CAMBRAI Équipement - Informatique | DETRIVIERE didier | jeudi 26 novembre 2009

Congrès de l'Umih + Synhorcat : la fin des syndicats ?

Dépêche AFP sur le Congrès de l'Umih : Ambiance, ambiance. Le congrès de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) s'est ouvert ce mardi à Nantes dans une ambiance tendue. Son ancien président, André Daguin, assure avoir obtenu la révocation de l'actuelle présidente Christine Pujol qui affirme être «toujours présidente». Ce matin, les partisans d'André Daguin ont tenté vainement le coup de poing pour donner la parole à l'ancien président lors du discours d'ouverture de l'actuelle présidente dans le but de demander l'organisation d'une assemblée générale extraordinaire. Lassés d'attendre, ils ont organisé eux-mêmes une assemblée générale extraordinaire (AGE), qui a réuni 62 départements? Selon André Daguin, qui a cédé sa place de président du principal syndicat de restaurateurs en 2008 à Christine Pujol, le résultat a été de «94,7% des voix pour la révocation de la présidente, soit 66,5% ramené au nombre d'adhérents». Cette AGE a nommé le président du conseil de surveillance de l'Umih, André Daguin, comme président intérimaire pendant trois mois, le temps d'organiser une nouvelle élection. «Il y a eu une réunion de types pas contents qui ont décidé qu'ils pouvaient me destituer, hors cadre juridique, mais ça n'a aucune valeur, a considéré Christine Pujol. Moi je suis toujours présidente, je garde le cap.» Avant d'ajouter: «Je suis en position de présidente, élue l'année dernière avec 56% des voix contre deux adversaires. J'ai toute ma légitimité, j'essaie d'apporter un souffle nouveau à la profession.» Le soir, la confusion régnait toujours au congrès, alors que le Sénat a rejeté dans la nuit un amendement de sa commission des Finances prévoyant un retour à une TVA à 19,6% au lieu des 5,5%. Un amendement perçu comme un avertissement adressé aux restaurateurs qui n'auraient pas tenu les promesses faites en échange de la baisse de la TVA. Le matin, Nicolas Sarkozy avait déclaré qu'il ne reviendrait «jamais» sur la réduction de ce taux à 5,5%. (Source AFP) Communiqué de Presse du Groupe Flo Groupe Flo annonce sa décision de quitter le Synhorcat « Depuis plusieurs mois Groupe Flo a souhaité que le Synhorcat accélère la professionnalisation de son organisation et sa démarche afin de s’adapter aux profondes mutations des métiers de la Restauration : les enjeux de la TVA ; les enjeux sociaux ; l’apprentissage … Dans ce contexte, la dégradation de l’image de nos métiers auprès de l’opinion publique ainsi que la perte de crédibilité auprès des pouvoirs publics deviennent préoccupantes. Un fossé se creuse entre le discours syndical, sa capacité à mobiliser et la réalité des entreprises engagées dans l'accompagnement de modernisation du secteur. C’est la raison pour laquelle, Groupe FLO considérant que tous les éléments de mobilisations sur ces principaux thèmes ne sont pas réunis, annonce sa décision de quitter le Synhorcat. Il s’associera à toute initiative visant à permettre à notre profession de se moderniser et de retrouver sa crédibilité." Équipement | Resto-radoteur | mercredi 25 novembre 2009

Projet d'ouverture de restauration rapide sans expérience ni diplômes : qu'en penser ?

Bonjour à tous. Dans le cadre d'une reconversion, j'ai pour projet d'ouvrir avec un associé (en SARL) un établissement de restauration rapide à forte orientation 'biologique'(bar à pâtes fraîches/jus/soupes/salades, salon de thé, cakes & pâtisseries), peut être associé à une petite licence (VIII?). En province (grand Sud Ouest), parce que marre de Paris aussi... Sachant que j'ai 32 ans (dont 8 dans l'industrie pharma), pas de diplôme de cuisine (mais un hobby, que je pratique depuis très longtemps, ainsi que mon associé), pas de formation hygiène (mais biochimiste de formation -les protocoles qualité et microbes divers, ca me connaît- et tous les textes de lois comme livre de chevet), et une expérience 'terrain' somme toute assez limitée dans le milieu. Pour mon affaire : Fournisseurs identifiés, recettes de base ciblées, coûts de revient estimés (sur la base de +300% de marge en vigueur dans la restauration conventionnelle), ébauche de carte établie, marché en augmentation de +10% par an depuis 10 ans, logiciel novateur de gestion stocks-recettes/traçabilité/encaissement en programmation par un prestataire, je pense que le projet est viable... Mais n'étant ni expert reconnu ni riche à millions, ce que je pense n'a guère de valeur devant un banquier... Selon vous, qu'en est-il des (questions multiples) : 1-Contraintes financières Je dispose de 20-30k€ d'apport personnel et 0 caution, plus 1 an d'indemnités ASSEDIC. Devant la frilosité des banques, nous visons des locaux de petite à moyenne taille (40-60 m², voire moins), la VAE en priorité, des tarifs raisonnés pour toucher un plus large public (majorité de préparations 'maison' à meilleure marge), une déco épurée et végétale (panneaux végétaux muraux, serres d'intérieur, pots et lampes fleuries...), peu voire pas de vente en table (remplacées alors par un plus grand comptoir) selon la configuration des lieux pour diminuer les charges au minimum. Compte-tenu de ceci, et ne tablant guère sur plus de 50-70% max d'apport bancaire vu la conjecture, les sommes disponibles vous paraissent-elles suffisantes pour couvrir les besoins pressentis pour un tel projet ? 2-Contraintes réglementaires J'ai lu que pour certaines préparations (type pâtisserie, même de faible volume), un CAP boulangerie/pâtisserie était nécessaire... Or, cakes salés et sucrés, tartes et autres gâteaux sont assez simples à produire en gros volume, fonctionnent très bien en VAE, et je ne me sens ni d'abandonner un quart de mes recettes potentielles, ni de repartir pour 3 ans d'études, fussent-elles passionnantes (d'autant qu'alors, le filon actuel du 'bio' sera probablement tari). Ce projet est-il réglementairement envisageable, sans diplôme ou formation spécifique ? Sinon, qu'est-ce qui coincerait ? 3-Contraintes local Nonobstant toute notion d'achalandage, quelle est selon vous la surface minimale (en salle / cuisine / comptoir) nécessaire pour assurer le bon fonctionnement et la viabilité d'un tel projet pour 2 associés en cogérance ? 4-Contraintes d'équipement Bien que disposant de quelques équipements de seconde main, il nous sera nécessaire d'acheter (Métro ou autre, ventes aux enchères...) pour majorité. Outre hygiène, vaisselle/verrerie, etc... quel est selon vous l'équipement minimal incompressible pour un établissement de ce volume ? J'aurai sans doute bien d'autres questions, mais je vous laisse déjà digérer celles-ci ;o) Cordialement, MUF Équipement | MUF | samedi 21 novembre 2009