Fidéliser le client : 3 idées de plus...

Améliorer la vie des clients, leur rendre service, leur faire plaisir être attentif à leurs besoins…que rechercher de plus lorsqu’on est restaurateur au-delà de bien faire son métier.3 idées ont retenu mon attention pour illustrer ce propos. Mettre en place une véritable carte enfants avec 3 menus possibles et à l’intérieur de ces 3 menus l’enfant a du choix…bref l’enfant est traité comme un adulte avec sa propre carte. De plus c’est une carte qui sort du traditionnel steak haché frites avec glace, en proposant des produits découvertes, plus light et surtout originaux. Les enfants adorent, les parents aussi ! A noter qu’en bas de cette carte enfant le restaurateur mentionne : « Pour les bébés et leur maman, nous nous ferons un plaisir de vous servir vos petits pots réchauffés, accompagnés d’une bouteille d’eau Evian que nous vous offrons » Il y a les menus, les ardoises, les plats du jour, le semainier, ce même restaurateur a invente les « rendez-vous ». Trois fois par semaine un plat institutionnel est la star du jour. Par exemple, tous les mardis : Jarret demi sel aux lentilles vertes du Puy A.O.C, le jeudi c’est pot au feu traditionnel Toujours lui, ce restaurateur propose les soirées privilèges. Qu’est ce que c’est ? Tout simplement en allant sur son site internet le client choisit le spectacle qu’il a envie de voir et le site lui propose le restaurant le plus proche avec un prix très attractif pour l’ensemble de la soirée. Ce restaurateur possède environ 20 restaurants dans Paris, mais la même technique peut être appliquée pour un restaurant isolé dans n’importe quelle ville. 3 initiatives qui vont dans le sens de l’histoire, vos clients ont besoin de pouvoir d’achat, ils aiment qu’en pense à eux et ils adorent les cadeaux et si l’on fait bien les comptes, il s’agit de bien peu d’investissement qui peuvent rapporter gros : la fidélisation d’un client ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | jeudi 10 décembre 2009

Concept tapas : comment s'y prendre pour que les clients ne stagnent pas mais consomment les tapas ?

Bonjour, Nous voulons ouvrir un établissement à mi chemin entre bar et restaurant type tapas mais avons peur de nous ennuyer dans un concept restaurant pour avoir travaillé dans des bars depuis longtemps. Nous craignons les débordements alcooliques. Connaissez vous un concept, une idée pour que les clients ne stagnent et consomment que de l’alcool ? Faut il les obliger à consommer des tapas et surtout comment ? Si vous avez entendu parler d’un concept sympa différent de celui du tapas classique, merci de nous renseigner. Cordialement Gestion - Marketing | alex | mercredi 9 décembre 2009

Retraite complémentaire : quelques incompréhensions

Bonjour, J'ai repris un restaurant début juin 2009 sous la forme d'une SARL Je viens de recevoir le courrier suivant du Groupe XXXX concernant la retraite complémentaire 'Savez vous que la reprise au 7/5/2009 du fonds de commerce de ...... nous permet de vous accueillir parmi nos adhérents. En effet, selon la réglementation de nos fédérations AGIRC et ARRCO, vous avez l'obligation de reconduire les contrats retraite de votre prédécésseur auprès des mêmes institutions et aux mêmes conditions. Vous trouverez ci-joints les certificats concrétisant vos adhésions retraite auprès de notre Groupe.'.... Je suis très étonnée de ce ton péremptoire.... pouvez vous me renseigner. Merci par avance. Gestion - Marketing | origne | samedi 28 novembre 2009

Publicité sur internet : est-ce vraiment rentable ?

on sait tous le peu de retour de la pub pour un restaurant a la télé a la radio , sur les journaux gratuit ou panneau 4x3 donc depuis quelques mois je m’interroge sur les sites de réservation en ligne je ne sais pas si j’ai le droit de les citer donc je m’abstiendrais mais le partenariat avec le restaurateur est toujours sur le même model 20% de réduction aux clients et 30% a payer a l’entremetteur ou parfois carrément pour un repas acheté un repas offert je suis très perplexe sur l’intérêt de travailler avec de tel partenaire mais on peut s’apercevoir sur ses cites que les restaurants qui travail avec eux sont souvent dirigé par des gens qui ne sont pas réputé pour être des farfelus ou des mauvais gestionnaires donc ma question ,les partenaires qui prennent 30, 40 ou50% de votre CA sont ils rentable ou non par avance merci Gestion - Marketing | tylino | mardi 17 novembre 2009

Permis d'exploitation et mutation entre époux : le conjoint doit-il suivre la formation ?

Est ce que le conjoint non inscrit comme conjoint collaborateur, malgré son implication dans l'affaire doit suivre la formation lors de la mutation entre époux du restaurant, suite à prise retraite de l'exploitant? L'affaire est en nom propre depuis 1994. A mon sens en lisant le texte, sauf erreur de ma part, oui, mais exigera t'on 1 jour ou 3 jours du fait de l'absence de statut officilel du conjoint dans l'entreprise ? Gestion - Marketing | boulais | mardi 17 novembre 2009

Gîte d'étape/auberge de jeunesse : que penser de l'aspiration centralisée ?

Dans le cadre d'une création d'un gîte d'étape/auberge de jeunesse de 50 lits, je me pose la question de l'aspiration centralisée: avez-vous des expériences et des recommandations sur de sujet ? Est-ce un choix judicieux, quels pièges doit-on éviter, quelle est la longueur de flexible utilisé chez vous, vos prises sont-elles murales ou au plafond, quels fabricants sont 'sérieux' ? D'avance merci ! Gestion - Marketing - Service d'étage | Patrick | mardi 17 novembre 2009

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle : le commercial en tenue de cuisinier est descendu en ville

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle, c'est pas nouveau. Périphérie de ville de province : A l'occasion de la semaine du goût, le jeune commercial de l'entreprise a revêtu la tenue du cuisinier, et est descendu en ville, sur la place principale, avec sa doc. et une information sur la TVA : les gens se sont déplacés pour lui demander ce qu'il se passe, qui il est, ..... Effet immédiat : arrivée au restaurant d'un volume important de clients nouveaux. Gestion - Management - Marketing | André Picca - auteur | lundi 16 novembre 2009

Baisse de la TVA en restauration suite : les 1ers résultats ont été dévoilés en exclusivité en octobre

Les 1ers résultats de l’observatoire de la restauration à l’échelle national ont été dévoilés en exclusivité en octobre auprès du conseil d’administration de l’UMIH. Cet observatoire commandité par l’UMIH en plus des performances du secteur devait faire un 1er point sur l’application du contrat d’avenir 4 mois après la baisse de la TVA de 19,6% à 5,5%.Les résultats sont particulièrement étonnants et expliquent probablement pourquoi les médias se déchainent sur les restaurateurs depuis quelques mois. Rappelons que le panel de restaurateurs concernés par cette analyse est de 700 répartis sur l’ensemble du territoire, par segments de marché, par mode de distribution, par type de restauration et en respectant le poids des chaines et des indépendants. A noter enfin que les 700 restaurateurs analysés représentent fidèlement le poids syndical et la répartition de celui-ci. 76% des restaurateurs déclarent avoir baissé ses prix depuis le 1er juillet 2009. Parmi ceux là plus d’un tiers l’a fait sur 7 articles et moins. Autrement dit peu visible par les clients au quotidien. Il y a donc 24% des restaurateurs qui déclarent n’avoir baissé aucun de ses prix au le 1er juillet. Parmi ceux là un tiers dit l’avoir déjà fait avant le 1er juillet depuis longtemps pour tenter de contrecarrer la crise en espérant faire revenir la fréquentation. Un autre tiers dit préférer utiliser cette enveloppe pour leurs salariés. Le dernier tiers avoue n’avoir rien fait et ne fera rien. Autrement dit, et pour être encore plus clair : 48% a envoyé un signal très fort en baissant ses prix au delà des 7 produits que prévoyait l’engagement du 28 avril. 52% n’a envoyé aucun signal ou envoyé un signal trop faible sur ses prix. Si vous rajoutez dans l’analyse que les signaux les plus faibles ont été enregistrés sur les zones les plus fréquentées cet été pendant les vacances, il n’est pas surprenant que la visibilité de cette baisse des prix ai été aussi faible auprès du grand public et que s’est empresser de relayer les grands médias. Beaucoup de restaurateurs n’ont vu la répercussion sur leur trésorerie que 3 mois plus tard, beaucoup de restaurateurs avaient de sérieuses difficultés de rentabilité et de trésorerie ; beaucoup de restaurateur n’ont pas assez de personnel pour servir correctement leurs clients, beaucoup de restaurateurs doivent investir dans du matériel ou de la décoration, beaucoup de restaurateur souhaitent mieux payer leurs salariés pour les garder, beaucoup de restaurateurs sont peut être entrain de sauver leur affaires tout du moins la redresser. Attendons une année pleine de baisse du taux de TVA pour tirer des enseignements précis et fiables tant sur l’aspect prix, que sur l’aspect social que sur l’aspect investissement. Et puis en juillet 2010 il se sera passé autre chose qu’il est difficile de quantifier et prévoir aujourd’hui, le jeu naturel de la concurrence et l’arbitrage du consommateur qui saura ou aller se restaurer pour récupérer un peu de son pouvoir d’achat perdu…Il est clair que cet arbitrage va créer d’autres difficultés particulièrement aux restaurateurs qui auront continué dans la voie de ne rien faire ni pour leurs clients, ni pour leurs salariés ni pour le confort des 2 ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 15 novembre 2009

Nom vendeur pour les plats : comment le choisir, avec qui, exite-t-il des ressources (livres, articles de presse) ?

Bonjour, Donner un nom évocateur, vendeur pour chacun des plats sur la carte n'est pas toujours aisé ! Aussi je suis à la recherche de pratiques et ressources, autrement dit : comment faites-vous pour donner un nom à votre plat ? Comment procédez-vous ? Est-ce le chef cuisinier qui le détermine ou bien fait-il participer l'ensemble de la cuisine et de la salle ? Met-il en place une véritable séance créative ? Et enfin exite-t-il des ressources (livres, articles de presse) sur ce sujet ? Merci pour votre précieuse aide ! Gestion - Marketing | Natoo | mardi 10 novembre 2009

Méthode Toyota : technique qui consiste à réduire le temps perdu des mouvements des employés

Avec la récession et la compétition de plus en plus féroce dans le milieu de la restauration, Starbucks a décidé de revoir ses méthodes en se tournant vers la méthode Toyota ! Cette technique consiste à réduire le temps perdu des 'baristas'. Il ne sera plus question de se pencher sous le comptoir pour prendre les grains de cafés. Fini le temps perdu à jeter du vieux café et encore moins à placer les pâtisseries. Le vice-président de l’enseigne s’est baladé en compagnie d’une dizaine de personnes dans toutes les régions des États-Unis. Armé d’un chronomètre et d’un Monsieur Patate, il défiait les gérants des succursales en leur demandant d’assembler et de démonter le jouet en 45 secondes. Selon lui « les mouvements et le travail sont deux choses différentes. Les employés passent 30% du temps en mouvements. » C’est justement ce qu’ils veulent réduire. En réduisant le temps passé à préparer des cafés et d’autres breuvages, il croit que Starbucks peut en servir plus avec le même nombre d’employés, ou le faire avec moins de personnel. Cependant, certains des employés de la chaine américaine craignent de devenir des automates et de perdre ce qui différenciait leur bannière. Je ne sais pas encore ce que vous pensez de cette initiative mais je pense que la restauration est un métier qui attire de plus en plus de financiers et de grands capitaines d’industrie. Que ceux-ci sont persuadés que la restauration est un métier facile qui doit être structuré, industrialisé et formaté pour améliorer les cadences dans le but de démultiplier le chiffre d’affaires en boostant les rentabilité. Que ceux-ci vont « casser » les concepts qu’ils touchent les uns après les autres et la France a quelques groupes et chaines comme exemple ! Ils vont insatisfaire les clients qui ne reviendront plus et qui feront fonctionner un bouche à oreille désastreux. Ils verront au bout du compte qu’une seule chose : l’échec des méthodes à succès de l’industrie appliquée à la restauration. Pourquoi ? Tout simplement parce que la restauration est un métier de service, de manipulation humaine de produit, et d’une succession de contacts humains avec les clients. Et c’est tout cela qui crée l’alchimie complexe de la satisfaction et de la fidélisation d’un client dans ce métier. Le célèbre critique gastronomique François Simon dit que « nous vivons une lente asphyxie des émotions et des saveurs ». Si la restauration pouvait être robotisée et totalement industrialisée cela se saurait depuis longtemps… Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 8 novembre 2009

Couettes : quels sont les conseils pour la gestion des couettes, des housses, les laver en interne ou externe ?

Bonjour, je souhaite passer mon établissement 2 étoiles de 20 chambres en couette. Je remercie d'avance toute personne qui pourra me donner des conseils sur la gestion des couettes, gestion des houses. Sera t'il préferable de laver les couettes en interne ou en externe, pour les houses idem. Si c'est en interne de quel machine ais je besoin pour les couettes ?. Est ce plus dur pour les fdc de faire le lit avec une couette ou avec drap et couverture ? Gestion - Marketing - Service d'étage | jerome17 | samedi 7 novembre 2009

SARL gérant une brasserie : pour un projet de cession, est-ce mieux de dissoudre ou mettre en sommeil la société ?

Mon épouse et moi meme sommes associés d'une SARL qui gere une brasserie. Nous avons un projet de cession de cette affaire et le compromis est déjà signé ma question est la suivante: d'un point de vue juridique, fiscal et pratique vaut il mieux dissoudre ou mettre en sommeil cette société, surtout que nous ne sommes pas surs d'avoir besoin d'une telle forme juridique pour acquérir un petit hotel ou un meublé merci pour vos réponses Gestion - Marketing | amaribou | mardi 3 novembre 2009

Fidélisation : pourquoi ne pas offir un produit pour la prochaine visite ?

Leclerc a inventé il y a quelques années le « ticket Leclerc ». Il s’agit d’un système très simple qui redonne du pouvoir d’achat au consommateur immédiatement. Concrètement lorsque vous avez un caddy de courses à 76 € le bas du ticket vous indique une somme de 3,8 € à valoir sur votre prochaine visite dans le magasin. Le consommateur a donc une valeur faciale de son ticket de caisse qui l’in cite bien évidemment à collectionner ces tickets mais surtout à revenir plus souvent. Il s’agit donc d’une excellente technique de fidélisation très concrète pour les clients. Pourquoi ne pas imaginer que sur chaque adition qui sort une valeur faciale équivalente à 3 à 5% du montant du repas, à valoir lors d’un prochain repas ? L’Alcyone un restaurant d’Honfleur dans le Calvados l’a fait et…ça marche ! On pourrait se poser la question de savoir si l’on pouvait faire autrement que Leclerc. Au lieu de donner une valeur en euro, pourquoi de pas offrir un produit de la carte lors du prochain repas. Une garniture, une crème brulée, un verre de vin, un café que le client aura la possibilité de consommer gratuitement à sa prochaine visite. Mc Donald’s l’a fait et…ça marche ! Que cela soit des centimes d’euros ou des produits de la carte, il s’agit d’un geste très important pour le client et un cout très faible pour le restaurateur. Alors pourquoi continuer à dépenser des sommes folles en programme de fidélité qui ne fonctionnent pas si bien que cela, ou des sommes folles dans de la publicité qui ne rapporte pas tant que cela ? La réduction immédiate, le cadeau immédiat, le geste généreux, l’attention qui touche le client et cela « tout de suite maintenant » constituent peut être une nouvelle façon de communiquer et de fidéliser un client… Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 31 octobre 2009