Création d'un restaurant : les banques ne prêtent plus

Créer un restaurant a l'heure actuelle est mission impossible. Le discours de monsieur Fillon disant que les banques doivent aider les entrepreneurs pour relancer l'économie n'est que du blabla. 15 ans d'expérience professionnelle en tant que chef d'entreprise, 20% d'apport pour le prêt demandé, des cautions familiales de folies, le résultat est un vulgaire refus au bout de 6 mois d'attente, obligés d'appeler tous les jours et presque de supplier pour avoir une réponse. C'est écoeurant, les banquiers n'ont pas de figure. Merci d'avoir lu mon message de révolte! Gestion - Management - Marketing | Gilou | mercredi 23 novembre 2011

Buffet dejeunatoire de 400 personnes : combien de personnel prendre ?

Bonjour , Je dois réaliser un buffet dejeunatoire de 400 personnes et j'aimerai être aider pour savoir le nombre de personnel qu'il me faudrait pour réaliser ce service du midi . tout en sachant que toute la vaisselle est jetable ,en entrées 4 petite entrées dans une assiette jetable, barquette de filet de dinde aux champignons riz pilaf et en dessert café et 4 petits desserts par assiette, de plus je suis auto-entrepreneur et la difficulté est pour établir les bulletins de salaire des employés , la encore pouvez vous m'aider ? très cordialement, hervé marquet Gestion - Management - Marketing | marquet | mercredi 16 novembre 2011

Complexe hôtelier : quels sont les 20 indicateurs de performance les plus pertinents à mettre en place ?

Bonjour Monsieur,je me nomme KOUABLAN Christian et je suis exper-comptable stagiaire de l'état français. Je prépare à ce titre mon mémoire en vue de l'obtention du DEC (Diplôme d'Expertise-Comptable) et le titre de mon mémoire est le suivant: MISE EN PLACE D'UN CONTRÔLE INTERNE ET D'INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS UN COMPLEXE HÔTELIER. Je voudrais donc pour le volet indicateur de performane solliciter votre assistance. En fait pour ce volet , j'ai besoin de savoir les 20 indicateurs de performance les plus pertinents qu'on pourrait mettre en place dans un complexe hôtelier, leurs mode de calcul, leurs interprétations et si possible savoir pour chaque indicateur s'il existe une norme et l'interprétation qu'on pourrait en faire. Aussi, pourriez-vous me mettre en contact avec un expert à qui je pourrais demander conseil pour le volet contrôle ineterne de mon mémoire. Merci et je reste en attente de votre réponse Gestion - Management - Marketing | CHRISTIAN KOUABLAN | samedi 15 octobre 2011

Commissions CB : pensez à les renégocier

Depuis le 1er octobre 2011, de nouveaux taux de commissions interbancaires sont applicables, à l'avantage des commerçants, et ce sous la pression de l'Autorité de la Concurrence http://www.cartes-bancaires.com/IMG/pdf/Autorite_7_7_11.pdf La CIP (commission Interbancaire de Paiement passe à 0,28 % + TBTB (ex-Tico), actuellement à 0,04 %. http://www.cartes-bancaires.com/IMG/pdf/Commissions_et_Tarifications_Interbancaires_CB-2.pdf Les nouveaux taux sont applicables si vous avez demandé à votre banquier de modifier votre contrat avec lui. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | jeudi 6 octobre 2011

Produits frais : les oignons surgelés, les fonds en poudre entreront-ils ils en ligne de compte ?

bonjour, je viens d'entendre aux infos de midi qu'un amendement a été voté cette nuit obligeant les restaurateur à annoncer si ils font des produits frais ou non. Je suis pour mais pour l'instant c'est vraiment vague car il aurait beaucoup mieux fallu parler de produits maison quand l'on voit le reportage qui suit en montrant les plats sous vide de chez metro (de la 5eme gamme sauf erreur donc frais mais juste réchauffés sur place). Comment le législateur va-t-il pouvoir arrivé à quelque chose de juste et contrôlable. Le fait d'adjoindre des oignons grelots surgelés dans un plat où tout le reste est frais et maison sera-t-il considéré comme un plat issu du surgelé, les fonds en poudre entreront-ils dans les conserves (nous faisons tous nos fonds, nos glaces etc maison mais utilisons quelques produits de complément en surgelé de même que le pain et les viennoiseries car de toutes façon les boulangers du coin se servent chez coup de pâte, autant sauter un intermédiaire à produit égal. Je me vois bien mettre sur ma carte : tout est à base de produits frais et maison à l'exception du pain, des viennoiseries, des petits oignons et de la purée de cassis que nous utilisons hors saison pour le sorbet. Gestion - Management - Marketing | bertrand | mardi 4 octobre 2011

Les clients : transformez-les en acteurs

Jeudi, c'est bientôt la fin de semaine pour vos clients de l'hôtel, vous constatez moins de stress en eux. Vous avez déjà essayé la table d'hôtes, persévérez avec cette formule, vos clients ont besoin d'établir des contats entre eux. Lancez aussi, 1 jour par semaine, la formation de vos clients à l'élaboration de cocktails alcoolisés ou non, au bar. Gestes, techniques, connaissances se partagent, ils vont adorer, et bien sûr, payer leur consommation. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | mercredi 14 septembre 2011

Formule demi-pension dans établissement thermal : carte pas assez variée pour les clients, que faire ?

Bonjour, je travaille dans un etablissement thermal et j'ai une partie de la clientele qui sont des curistes. Ces personnes reste 3 semaine et la formule DP, inclus le restauratnt gastronomique le soir. Le prix payé pour la DP, est de 33€. Les clients se plaignent que la carte n'ai pas assez varié pour un séjour de 3 semaines. Ce que je concoit, car nous changeons celle-ci toutes les saisons. Nous proposons au curiste le choix entre : un menu fixe, un menu bien etre (change tous les jours) et les suggestions du jours (soit une Entré/1 plat&1 dessert). Meme avec ceci ils ne sont pas satisfait. en effet, les habitués depuis plusieurs années, avaient le choix dans toute la carte avec des suppléments pour certain produit. Je ne sais plus quoi faire pour les contenter, merci pour votre avis afin de construire une offre attractive également pour les DP merci Gestion - Management - Marketing | JOSH | vendredi 26 août 2011

Être ou ne pas être sur les réseaux sociaux : revenir à des méthodes éprouvées de l'action commerciale

Etre ou ne pas être présent sur les réseaux sociaux : voilà une question qui revient régulièrement chez les restaurateurs. La majorité des commerçants que je croise savent vendre lorsque le client est présent dans la boutique. Qu'est-ce qu'il en ait du plan d'action commerciale ? là, la réponse courante est encore : "mais je fais de la pub". C'est oublier que c'est la relation directe avec les prospects qui comptent aujourd'hui. Hors, les réseaux sociaux procurent un espace de dialogue direct avec des contacts qui s'intéressent aux produits du commerçant, ce sont des acheteurs potentiels. Animer ses contacts sur son réseau social me fait penser à "grand-papa-commerçant" qui déambulait en ville au siècle dernier pour croiser des contacts. Avec quelques paramètres supplémentaires intéressants : le volume et le profil des contacts, le temps pour s'y consacrer. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | jeudi 18 août 2011

Gestion : suivi par tableau de bord ou bons sens sur le terrain de la restauration

maîtrise des coûts de main d'oeuvre, des matières premières : un contrôleur de gestion pourra toujours élargir les sources d'informations et de contrôle, ça va jusqu'à alourdir les tâches de ceux qui sont à la production. Ca peut aller à l'encontre du temps consacré à la prestation et aux clients. 2 exemples : - lorsque ce salarié du bar a su le prix des cacahuètes enrobées de chocolat (il en consommait une vingtaine par jour), il a cessé de pratiquer cet usage toléré par son patron, - et cet exemple ne se voit pas sur les tableaux de bord. Ce restaurant fait de la pub sur les revers des tickets de caisse du supermarché. Il suffisait d'en récolter un maximum dans son propre entourage pour les intégrer au fur et à mesure dans la caisse, au gré des encaissements en espèces, contre un billet de 5 euros pour lui. Comme quoi, on rappelle souvent que le rôle d'un patron est d'être sur le terrain avec ses équipes, et pas simplement pour ces motifs. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | dimanche 24 juillet 2011

Critères de choix d'un bar entre copains : il faut bien cadrer la gamme des prix

Certains professionnels n'ont pas hésité à simplifier leur offre, autour de quelques tarifs : soft à 2,10 e, bières pression courantes 2,60 e, bières bouteilles entrée de gamme 3,40 e, bières bouteilles gamme supérieure, 4,40 euros, etc. Lors d'une discussion avec un groupe d'étudiants sur les critères de choix d'un bar entre copains, la façon avec laquelle un bar présente son offre de prix est importante pour eux, comme indiqué plus haut. Pourquoi ? au moment de payer, la discussion n'est plus : à combien est le Coca, la Leffe pression, la Leffe brune ? Car le client a retenu dans quelle gamme de prix il a fait son choix. Finies les discutes, les disputes, pour les 10 cts manquants. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | vendredi 22 juillet 2011

Vers la valorisation des tuteurs : ils recevront une formation assurée par un formateur labellisée

Les initiatives prises par les partenaires sociaux, dans le domaine de l'encadrement de la formation en Alternance sont intéressantes. Pour l'instant applicables aux Contrats de Professionnalisation préparant à des CQPIH, les tuteurs devront recevoir une formation assurée par un formateur labellisée. Le tuteur, et non l'entreprise, est titulaire de cette accréditation, en qualité de personne, elle sera valable tout au long de sa vie professionnelle. Les formateurs labellisés "formateur de tuteur accrédité" sont au nombre de 140 aujourd'hui en France. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | lundi 20 juin 2011

Gestion des imprévus : tenir informer les clients

De l'expérience vécue hier soir, j'attire votre attention sur la gestion des imprévus. C'est une histoire d'oiseaux et de réacteur qui cloue l'avion arrivé en bout de piste. Le protocole d'information des passagers et anti-panique fonctionne à merveille, avec le sang froid des stewards et du commandant de bord. Là où ça se complique, c'est lorsque le personnel au sol prend le relais. Derrière les guichets, 3 personnes s'affairent à trouver hébergement, taxis et billets de remplacement pour le lendemain, dans une métropole lilloise dont les hôtels sont bondés à 40 kms à la ronde. Entre le débarquement et le 1er contact au guichet, il se passe près d'1 heure. Les clients ont le temps d'émettre toutes les hypothèses, et la place est ouverte à la montée de toutes les angoisses. Pourtant, que ce soit chez Air France ou dans un restaurant qui se trouve confronté à un imprévu, coupure d'électricité, panne d'un four,la règle reste la même : - aller au devant des clients pour les informer de la situation, au plus tôt, - les informer des perspectives, même parmi les plus difficiles à accepter, - circuler dans les files d'attente, dans la salle pour répondre à quelques questions, - mais jamais laisser le client dans l'inconnu. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | jeudi 16 juin 2011

Service Compris 2.0 : les clients adorent se servir eux-mêmes

Alors que je m'insurgeais sur le cas de ce spécialiste de la pizza, voilà que Philippe Bloch m'apporte une partie de la réponse dans son dernier Service Compris 2.0. Effectivement, les clients n'ont cessé de demander à rester des acteurs de leurs achats, le "Do it yourself" se porte bien. On pourrait même l'aider à se développer. Si l'on continue à écoeurer les clients par des services déplorables, sans âme, le client aura plus d'intérêt à s'organiser lui-même : aller chercher son plateau d'apéritifs quand il le veut au bar, s'en retourner vers le passe en cuisine pour faire marcher sa pizza, ... Tenez, la prochaine fois que j'organise un stage sportif, nous irons nous approvisionner en apéritifs à la supérette du coin, et le livreur de pizzas viendra jusqu'à nous au bord du lac. Allez, encore un petit effort dans l'absence de service. maintenant, si vous êtes encore convaincu qu'il y a de la place pour le service à table, et en général, sur les égards qu'un commerçant apportera à ses clients, plongez vous dans cette dernière version de Service Compris 2.0. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | mardi 14 juin 2011

Service à table : certains jettent l'éponge

Un vendredi soir, chez ce spécialiste de la pizza, 5 cts passent à table ; 10 mns d'attente pour commander l'apéritif ; ok ; dans la foulée, la commande complète du repas est faite ; et voilà qu'arrivent sur le plateau les apéritifs (5 cocktails avec ou sans alcool) et ....les boissons (1 bière, 4 softs). Ma remarque sur cette anomalie est suivie d'un "c'est comme ça que ça part ici". Ma bière n'avait plus le même goût ensuite. Donc, côté service, il n'y a rien à dire, car il n'y avait rien, si ce n'est que la "livraison" était faite. Comment voulez vous que les clients s'intéressent encore au service à table ? Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | mardi 7 juin 2011

Collaborateur motivé : comment passer à côté ?

Jérome, 23 ans, cap menuisier parait professionnel et impliqué dans ce qu'il entreprend. Actuellement cdi, il décide de renégocier ailleurs, parce que "son employeur n'est pas reconnaissant". Pourquoi ? Voici donc ses explications : "avec un salaire de base correct et un bon volume d'heures sup. rémunérées seront les règles de son secteur, il estime que son employeur ne pilote ses équipes qu'à forte voix et surtout qu'il ne dit jamais que le travail est bien fait, qu'il ne fait jamais de compliments". Cet exemple montre que l'on est bien sorti, depuis longtemps, et dans n'importe quel secteur, de la simple relation au travail autour de la fiche de paie. Ici, l'entreprise va perdre un bon menuisier et l'on sait que dans ce secteur aussi, la main d'oeuvre qualifiée est rare. Et vous, qu'est ce que ça vous inspire ? Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | lundi 30 mai 2011