Découvrir le vin au restaurant : associer sur la carte un plat avec un verre de vin ou 'parler' des vins autrement

Chacun sait la difficulté de vendre du vin au restaurant depuis de nombreuses années. Beaucoup d’initiatives ont été tentées et remarquées par le journal de l’hôtellerie. Deux idées récentes ont attiré mon attention. La première consiste à associer sur la carte un plat avec un verre de vin. Les 2 sont décrit simplement l’un en dessous de l’autre au fil des entrées, plats et desserts. La contenance des verres proposés est inférieure à celle habituellement rencontrée et bien évidemment les prix sont plus incitatifs. Résultat ? Ce restaurant constate que ses clients apprécient de pouvoir manger avec un petit verre de vin à moindre coût, un client sur 3 se laisse tenter par « un peu de vin ». La deuxième consiste à classer les vins autrement : 4 catégories sont clairement lisibles sur cette carte avec l’accroche « Une nouvelle façon de découvrir le vin » -Frais et gourmand -Equilibré et élégant -Fruité et léger -Epicé et charpenté Je ne connais pas encore l’impact sur le choix des clients mais cette façon de présenter l’offre vin est plus attirante et permet de choisir selon ses goûts, selon son humeur sans se tromper. Vu à Paris pour la première et à La Roche-sur-Yon pour la deuxième Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 6 octobre 2007

Fidéliser ses clients : et si on appliquait tout simplement 4 principes ?

1-Développer le sens de l’accueil chez les salariés Rester petit tout en grossissant La réussite se joue dans chaque échange avec les clients 2-Ne rien laisser au hasard Le secret de la vente réside dans les détails Les mécontents préfèrent changer d’adresse que se plaindre En plus ils en parlent à 11 personnes 3-Surprendre et enchanter le client pour le séduire La séduction c’est un zest d’inattendu dans un climat de sécurité autrement dit le respect des fondamentaux et la surprise 4-Utiliser chaque critique pour s’améliorer Gestion - Management - Marketing | Bruno | mercredi 3 octobre 2007

Petit-déjeuner inclus dans le prix de la chambre : la prestation bénéficie-t-elle de la TVA hébergement dans sa totalité ?

bonjour, nous avons inclus la prestation petit dejeuner dans le prix de vente de notre chambre. Nous annonçons que le petit dejeuner est une prestations gratuite et incluse dans le prix de chambre. Exemple : je vends ma chambre a 100 euros petit déjeuner gratuit et compris. La question est la suivante: la prestation bénéficie t-elle de la TVA hebergement dans sa totalité ? ou doit on répartir les deux TVA ? comment réalisé la normes digilence comptable ? merci de m'apporter vos explications et m'orientez vers le texte de loi. en effet il existe une tolérance sur ce cas. Mais chaque inspecteur de la DGI, peut l'admettre ou pas. Avez un texte de loi pouvant être clair sur ce cas ? Gestion - Marketing | Philippe | mardi 2 octobre 2007

Montage financier d'un hôtel SCI + SARL : doit-on augmenter les loyers afin que la SCI ne fasse pas de pertes sur le résultat net ?

Dans mon projet d'hôtel 3* 50 chambres, un point de désaccord 'm'oppose' à mon expert comptable. Les murs appartiendraient à une SCI et l'exploitation à une SARL. L'expert souhaite augmenter sensiblement les loyers afin que la SCI ne fasse pas de pertes sur le résultat net. Je m'explique : J'étais parti sur un loyer représentant environ 15% du CA de la SARL, générant pour la SCI des cashflow couvrant sans soucis ses emprunts. Le poids des amortissements entraînait un résultat net largement négatif mais ça permettait à la SCI de ne pas payer d'IS tout en capitalisant sur l'immobilier... en tout cas c'était mon point de vue. Mon expert est parti sur une lecture comptable pure et dure, les bilans négatifs pour la SCI ça ne lui plaît pas (c'est vrai que la valorisation immoblière ne se lit pas dans un bilan). Seulement avec sa vision, je devrais faire payer un loyer non supportable par l'exploitation pour couvrir le poids des amortissements et générer un résultat net positif au niveau de la SCI. Qu'en pensez vous ? PS : la SCI appartiendrait majoritariement à des investisseurs de haut de bilan, elle serait assujettie à l'IS et à la TVA. La SARL appartiendrait majoritairement à mes associés et à moi. Gestion - Marketing | MO | dimanche 30 septembre 2007

La bouteille de vin à table : proposer de l'emporter en fin de repas

Il arrive parfois et même souvent dans certaines formules de restauration que les clients ayant pris une bouteille de vin, ne la terminent pas entièrement. Il y a même des clients qui ne prennent pas ou plus de vin pour les raisons de répression que l’on connait. Et puis il y a ceux qui ne prennent pas de vin pensant que la bouteille ou la demi-bouteille est beaucoup trop et qu’ils ne boiront pas tout cela !!!A part bien entendu le vin au verre avec son succès assez mitigé du à l’abus sur son prix, sa qualité pas souvent au rendez-vous ou bien la contenance pas appropriée quelques restaurateurs ont eu une idée… A la fin du repas il suggère au client d’emmener leur bouteille. La bouteille est emmenée en cuisine (car il est souhaitable de ne pas le faire devant les autres clients) elle est mise dans un joli sac à la forme de la bouteille et aux couleurs du restaurant, le sac est ramené à la table et remis au client au moment de son départ. Cout de l’opération ? 0 à part les sacs que vous pouvez vous faire financer par votre fournisseur. Avantages ? Cela peut inciter un peu plus les clients à prendre du vin, c’est sympa, ça fait plaisir et ce n’est pas très cher ! Vu à Amiens... Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 29 septembre 2007

La satisfaction de la clientèle : 'des clients heureux font des entreprises gagnantes'

Au-delà des chiffres qui submergent souvent l’ensemble de nos activités, le problème est de cerner les véritables facteurs de la réussite. Les chiffres sont en effet les témoins concrets de l’état de nos affaires (cout matières, frais de personnel, cout d’occupation…) et c’est pourquoi, ils demeurent plus familiers que les éléments moins évidents qui rentrent en compte, eux aussi. Ces éléments, dont il est difficile d’établir des prévisions, sont vraisemblablement ceux qui font la différence à l’échelle des affaires. De prime abord, les relations humaines et la motivation du personnel jouent un rôle non négligeable, et nous irons jusqu’à dire qu’ils sont les véritables critères de la satisfaction du client. Nous touchons ici à notre but final : la satisfaction de notre clientèle, objectif que doit atteindre notre entreprise en déployant les moyens dont elle dispose ; ainsi les directives doivent être transmises dans un climat de confiance réciproque. Le pouvoir demeure, mais son efficacité est due à l’initiative générale, au bien être de chacun et surtout à la prise de conscience des responsabilités. C’est pourquoi notre action, que nous voulons maintenant comme un investissement vers la réussite, consiste à répondre naturellement à ces deux formulations stimulantes : « des clients heureux font des entreprises gagnantes » et « les idées des uns enrichissent les idées des autres ». Mais il appartient aux entreprises d’être gagnantes, avant de pouvoir faire des clients heureux ; de plus, pour qu’il y ait enrichissement réciproque au sein d’une équipe, il faut encourager la communication, sans quoi les idées ne sont ni transmises ni échangées. C’est là que réside notre difficulté afin d’entretenir un esprit vainqueur avec nos équipes : les sécuriser, afin de faciliter la communication et de tendre ainsi vers une seule victoire : la satisfaction du client. Toutefois nous comptons aussi sur l’aide précieuse extérieure, et les contacts avec quelques « tremplins de la réussite », encourageant vivement nos efforts : la formation, par son influence précieuse et mesurée, facilite une remise en cause permanente, axée toujours vers la même fin et sous le regard du même juge : LE CLIENT Vu à Louveciennes (78)….en 1984 Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 29 septembre 2007

Interdiction de fumer au 1er janvier 2008 : comment faire pour la soirée du réveillon ?

Bravo pour le dossier de la semaine consacré à l'interdiction du tabac à partir du 1er janvier. Mais vous auriez du aborder la douloureuse question à laquelle aucun des bureaucrates qui nous gouvernent n'a songé:pendant le réveillon du Nouvel An,il sera permis de fumer jusqu'à 23h59 secondes du 31 décembre et interdit à partir de 00h du 1er janvier?Il va y avoir du sport pour les accros au respect littéral de la loi... Gestion - Marketing | Silvana | mercredi 26 septembre 2007

4 principes à respecter : vus chez Starbuck's

Et si on appliquait tout simplement ces 4 principes ! 1-Développer le sens de l’accueil chez les salariés Rester petit tout en grossissant La réussite se joue dans chaque échange avec les clients 2-Ne rien laisser au hasard Le secret de la vente réside dans les détails Les mécontents préfèrent changer d’adresse que se plaindre En plus ils en parlent à 11 personnes 3-Surprendre et enchanter le client pour le séduire La séduction c’est un zest d’inattendu dans un climat de sécurité autrement dit le respect des fondamentaux et la surprise 4-Utiliser chaque critique pour s’améliorer Vu chez Starbuck’s Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 22 septembre 2007

Intéressement au couvert : y avez-vous pensé ?

Feu le % a montré ses limites et dans la plupart des restaurants, on retrouve des rémunérations homogènes, souvent basses. Les commentaires des clients, via les médias, sur la qualité du service sont souvent plutôt négatifs. Vous savez que les origines sont multiples : seuil de rentabilité, motivation individuelle, animation de l'équipe, l'état du marché. Du côté financier, avez vous pensé à mettre en place un intéressement au couvert, attribué à tous d'une façon homogène, service, cuisine, plonge. Selon les qualifications et les compétences, l'entreprise conserve bien sûr une hiérarchie dans les salaires. Ex : Imaginons qu'en dessous d'un seuil de 140 couverts/jour, l'entreprise ne soit pas rentable (point mort + 1er niveau de marge). Pour un mois de 30 jours, au delà du seuil de 4200 couverts, à la fin du mois, vous attribuez une prime, en salaire brut, de (x)centimes par couvert supplémentaire. Vos avis sont les bienvenus. Gestion - Management - Marketing | André Picca - auteur | jeudi 13 septembre 2007