La fidélité des Français par INIT Capital clients : les restaurateurs savent attirer les clients mais ne savent pas les garder ?

Voici les résultats de l'étude exclusive sur la fidélité des français réalisée par INIT Capital clients. Alors que la crise oblige nombre d'entreprises à se concentrer sur une meilleure gestion de leur capital client et à arbitrer entre recrutement et fidélisation, deux professionnels du Marketing Client donnent un éclairage inédit à la question de la fidélité avec une étude exclusive publiée à l’occasion de la Saint Fidèle. On y apprend que les Français, s’ils se révèlent fidèles à leurs proches, sont de moins en moins fidèles à tous ceux avec qui ils entretiennent une relation contractuelle ou commerciale. Premier enseignement : les français restent très fidèles à leurs proches. 89 % des français se déclarent fidèles à leur conjoint(e), ou compagne/compagnon (les femmes se déclarant plus fidèles que les hommes). On est « plus fidèle qu’avant » pour 22% des répondants. La fidélité amoureuse est une valeur qui monte !Deuxième tendance dans la fidélité « commerciale » : les Banques et les Fournisseurs d’Accès à Internet en tête. C’est une surprise : seules les Banques et les FAI tirent leur épingle du jeu avec respectivement 56% et 54% de clients qui se déclarent « tout à fait fidèles ». Comme tous les sujets d’ordre commerciaux, la fidélité est cependant une valeur en baisse. En troisième position dans cette étude, les Opérateurs de téléphonie mobile .L’Employeur connait un taux de fidélité de 48%. Un écart de fidélité marqué en faveur des femmes (54% de fidélité, contre 43% pour les Hommes). Une évolution négative avec 11% de personnes qui se déclarent « moins fidèles qu’avant », principalement en Province. L’effet de la crise rend fragile la relation employeur/employé pour un salarié sur deux ! Le Coiffeur n’a étonnamment que 40% de clients se déclarant « tout à fait fidèles ». Une évolution défavorable puisque 16% des clients se déclarent « moins fidèles qu’avant », principalement les femmes (19%) et en Province. Le Boulanger se trouve relégué dans les derniers rangs de la fidélité, avec seulement 28% de fidèles. L’évolution de la fidélité est négative avec 16% de clients «moins fidèles». On peut penser que la baisse de la consommation (-7% en dix ans), l’élargissement de l’offre boulangerie des grandes surfaces, le développement d’enseignes ont mis fin à la relation étroite qui nous reliait à notre boulanger d’antan. Bon dernier de notre liste : le Supermarché ne compte que 27% de clients « tout à fait fidèles ». L’évolution de la fidélité est en baisse, avec 17% de clients « moins fidèles ». Rappelons que les supermarchés sont également un marché «polygame» où on peut être fidèle sans être exclusif ! Inquiétant le restaurant ou toutes formes de restauration hors du domicile ne sont absolument pas évoqués dans cette étude. Oubli ou bien serai-ce que les consommateurs zappent plus et plus vite et que la fidélité à un restaurant se perd ? Peut être que la conclusion de cette étude donne un début de réponse. Les français ne se sentent pas récompensés de leur fidélité et la fidélité aux marques est en berne. «Avez-vous le sentiment d’être récompensé de votre fidélité ? » : les Français répondent à 19% par l’affirmative à cette question et 18% ont le sentiment d’être moins récompensées qu’avant. Alors cela signifie t il que les restaurateurs savent attirer les clients mais ne savent pas les garder ? Gestion - Marketing | BBoutboul | samedi 2 mai 2009

Produits d'entretien : ne doivent-ils pas rentrer dans le bilan ?

Bonsoir MONSIEUR JE VOUDRAI VOUS POSER UNE QUESTION OU J AI ETAIT TRES SURPRIS AUJOUR D HUIT A LA SIGNATURE DE MON BILAN SUR LES INVENTAIRES LA COMPTABLE M AFFIRLME QUE TOUT LES PRODUITS D ENTRETIENS N ENTRE PAS DANS UN INVENTAIRE ET DONC NON COMPTABILISE POUVEZ VOUS ME DIRE SI CELA ET VRAI CAR JUSQU A PRESENT IL ETAIT COMPTABILISE MERCI DE VOTRE RENSEIGNEMENT CORDIALEMENT CHRISTIAN Gestion - Marketing | christian | jeudi 30 avril 2009

Baisse de la TVA : échec ou satisfaction?

ça commence à bouger dans LANDERNEAU. Les réactions n'ont pas tardé suite aux accords qui aujourd'hui me font penser comme beaucoup que tout était plié d'avance.Quelles conclusions peut on en tirer? La mise en place des contre-parties va scinder la profession en trois catégories. 1°les restaurateurs bien implantés et qui ont surmonté la première baisse de fréquentation suite à l'interdiction de fumer et qui ne s'inquiètent pas de la crise actuelle car ils possède la trésorerie nécessaire pour appliquer ces contre-parties. 2° Les restaurateurs consciencieux qui ont déjà entre autre baissé leurs prix pour répondre à ces deux baisses de fréquentation et qui ont déjà un manque de trésorerie qui ne leur permet pas de mettre en place ces mesures (surtout nos jeunes qui viennent de s'installer). 3° Les restaurateurs peu scrupuleux qui vont encore s'en mettre un peu plus dans la poche. On revient encore en arrière avec des mesures de contrôles et d'encadrement des prix sans le personnel administratif nécessaire 40 000 contrôles par an c'est peu pour remettre de l'ordre. En conclusion une mesure sera + positive c'est le retour à l'apprentissage si il y a suffisamment de candidats dans ce secteur.Malgré tout c'est le client qui sera vigilant à cette baisse de prix mais je me demande si un simple auto-collant sera suffisant pour les rassurer.Michel Coquart Gestion - Marketing | Michel Coquart | mercredi 29 avril 2009

Société de nettoyage : que faire lorsqu'elle ne veut plus travailler avec vous malgré un contrat signé ?

Bonjour Quels recours a t-on lorsqu'une societe de nettoyage parle de vous laisser tomber malgre 'un contrat signé: prix par chambre faite' d'une durée de trois ans?(est rentré en fonction depuis aout 2008)et qui ne parle même pas de préavis 'alors que la saison est là'.Je signale au cas ou qu'une facture importante est en cours(avril 2009). qui pourrait me renseigner sur la convention de ces entreprises car me dit soudainement qu'il faut que j'assure un minimum par jour car sinon ne peut faire de contrat reglementaires à ses employeés car doit le faire par site, par jour etc....Alors oû est l'interêt de payer presque bcp plus cher? Le but est de faire face aux fluctutions d'activité pas de chambre pas d'intervention. Merci pour vos réponses Gestion - Marketing - Service d'étage | chris | samedi 25 avril 2009

Service client : supprimons le <i>C'est pour qui ?</i>

Qui n'a pas été énervé régulièrement par le serveur qui se présente à la table, 2, 4 ou 10 personnes, avec des assiettes accompagnées d'un 'c'est pour qui ?' Qui n'a pas entendu dans une équipe : 'faire un plan de table à la commande ou un signe distinctif sur un bon, c'est ringard ?' On observe que beaucoup de serveurs n'utilisent pas systématiquement leur 'game boy' en prise de commande, ils passent par une prise de note sur un bloc. Vécu la semaine dernière : - la prise de commande sur un bloc notes prévoyant les emplacements des clients - ticket moyen du restaurant : 35 euros. - l'organisation d'une fête familiale où le restaurateur s'engage, pour 80 clients, à demander la cuisson de la pièce de rumsteak poêlée. Temps de service du plat principal envisagé : 30 mns. Réflexes de pros ! Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mardi 21 avril 2009

Formule repas : pouvez-vous m'aider à élaborer une formule à 12€ ?

Bonjour Qui peut m'aider à monter une formule repas, sachant que notre prix moyen des repas est autour de 12 €, voici +/- ce que nous proposons 'à la carte ' 100 % ultra frais et fait maison : - Soupe 40 cl + cake : 6,00 € - soupe seule : 3,50 - Tarte du jour + mesclun : 7,50 e - Part tarte du jour seule : 5 € - Plat du jour : 8,50 € - Petite salade en entrée : 2,50 € - Grande salade plat principal : 6,50 € - Desserts : 3 € - Jus fruits frais presses : 3 € Merci de votre aide Gestion - Management - Marketing | les souris vertes | mardi 21 avril 2009

Tarif séminaire : peut-on 'éclater' le forfait sur 2 factures différentes tout en bénéficiant du 3/4-1/4 ?

Bonjour, la société cliente qui bénéficie d'un tarif séminaire (avec TVA 3/4-1/4) souhaite qu'une partie du forfait soit réglée par les participants (qui appartiennent à d'autres entités juridiques) : pouvons nous 'éclater' le forfait sur 2 factures différentes tout en bénéficiant du 3/4-1/4 ou devons nous facturer les prestations séparément (chacune avec sa TVA) pour chaque entité? merci Gestion - Marketing | valérie | vendredi 17 avril 2009

Conserver ses clients : faut les retenir à n’importe quel prix ?

Par les temps qui courent ou les clients réduisent leur consommation, sortent moins au restaurant ou modifient leur comportement, il est devenu aussi important de conserver ses clients que d’en gagner des nouveaux pour faire croitre son chiffre d’affaires. Pourquoi ? Il se passe en ce moment et depuis l’été 2008 un phénomène intéressant à analyser. Il s’agit d’un décalage de consommation d’un ou plusieurs crans vers le bas de la part de l’ensemble des consommateurs. Se retrouvant dans une zone de consommation peu habituelle ces mêmes consommateurs ne se comportent pas comme les habitués de cette même zone. Ils dépensent plus, ils structurent leur repas différemment, ils n’ont pas le même temps pour se nourrir etc … La question qui se pose alors pour le restaurateur est de savoir si il faut satisfaire les exigences de qualité de ces nouveaux clients pour les fidéliser au delà de la période de crise. La question qui se pose globalement aussi est de savoir si tous ces clients retourneront dans leur zone de consommation après la crise. L’autre grande question consiste à se demander s’il faut retenir des clients à n’importe quel prix. Le jeu n’en vaut probablement pas toujours la chandelle face à des clients de plus en plus infidèles et zappeurs à la recherche de la meilleure affaire à un instant T. Les restaurateurs qui ont cassés leurs prix de 40, 50 et 70% sur leur menu ont-ils boosté leur chiffre d’affaires suffisamment pour retrouver leur rentabilité antérieure en valeur absolue ? Une chose est sure il faut absolument éviter d’appliquer des recettes uniques à l’ensemble de sa clientèle. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul(le démasqueur) | lundi 13 avril 2009

Estimation d'une affaire : est-ce au repreneur à finir de payer le crédit en cours ?

bonjour, J'ai bien compris le mode de calcul classic pour estimer une affaire en consultant votre blog. Je souhaiterais juste savoir l'estimation d'une affaire si le vendeur a fait des travaux de rénovation de décoration quelques mois voir deux à trois ans avant de vendre, c'est à dire si a encore un crédit sur cet investissement. C'est au repreneur à finir de payer le crédit en cours? le prix de vente peut être supérieur au C.A, et dans ce cas la rentabilité peu interressante? Est-ce différent si c'est une SARL ou en non-propre? 9216B Gestion - Marketing | nicolas | lundi 13 avril 2009

Des sondages en veux-tu, en voilà

La crise est là ! "- 5 % d'activité. Non, c'est de -7 à -12 %, non -25 % de moins de CA, au bas mot, euh...non, la crise c'est - 50 % d'activité en restauration ou alors - 60 %, je ne sais plus". Tout le monde y va à qui-mieux-mieux : les consultants en restauration bien inspirés, les syndicats hôteliers chagrineux, les CCI dans la compassion, les journaux trop content d'avoir à raconter,… Les pseudos "sondages" et "enquêtes" auprès des restaurateurs (que personne n'a le cran d'appeler tout simplement estimations) poussent comme le pissenlit dans le pré. On a même pu lire un - 12,72 % de recul d'activité pondu par un consultant en restauration sans doute très scientifique, alors que l'on sait que les restaurateurs eux-mêmes de tiennent pas leurs chiffres dans le détail. Les sondages portent sur quelques personnes interrogées dans la plupart des cas ; voire, leurs résultats sont rédigés sur un coin de table, sans interviewer personne. Ni vu, ni connu, et hop, j't'embrouille ! Qu'il y ait un recul de la fréquentation des restaurants, personne n'en doutait. Mais, là cela devient n'importe quoi. Alors à qui profite le crime ? En dehors de ceux qui veulent se faire mousser auprès des journaux, on peut comprendre que juste avant la décision qui portera sur ce que les restaurations feront après la baisse de la TVA et avant les "Etats généreux" de la restauration, il est dans l'intérêt de la profession de jouer les pleureuses. La ficelle est aussi grosse que la bêtise de certains syndicalistes, que l'on lit dans les journaux professionnels. Alors quoi, on veut que le gouvernement larmoie sur le sort de la restauration et que les Français pleurent dans leur chaumière en se disant : "oui, bon, la TVA c'est nous qui la payons et si elle baisse c'est nous qui devrions en payer moins. Mais vu la situation des pauvres restaurateurs, on va les laisser tout garder pour eux". Je verse ma larme à mon tour. Gestion - Management - Marketing | Thénardier Père & fils | dimanche 12 avril 2009

Restauration-plaisir : un comportement nouveau

Les hôteliers l'appelle le 'tourisme de court séjour'. Les restaurateurs leur donneront un nom. Il est une tendance, mise en évidence dans ma zone par des restaurateurs, déjà l'été dernier, avec une fréquentation inhabituelle au mois d'août alors que d'habitude, il ne reste pas grand monde : les clients partent moins longtemps en vacances, ils consomment un peu par impulsion de dernière minute, ils se tournent vers des plaisirs de proximité, où le restaurant qui offre un dépaysement par l'environnement externe, le décor, l'assiette, et bien entendu avec un personnel générateur de convivialité et de bonne humeur, trouve sa place. Tout en relativisant l'effet grossissant d'une émission tv, Capital sur M6, ce dimanche 12 avril, aborde ce comportement du consommateur. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | dimanche 12 avril 2009

Prêt à taux variables : pourquoi cela ne baisse-t-il plus ?

Bonjour, J'contracté des prêts à taux variable indexés sur l'Euribor capés à 2%. J'ai démarré à 3.51 %, ils sont montés très rapidement à 5.51% et ont été bloqués comme cela. Jusque là normal. Maintenant, les taux sont en chute libre, l'inflation est quasi nulle, le livret A passe à 1.75, le taux directeur de la BCE ezst à son plus bas historique. Et mon taux reste à 5.51% car la banque n'est redescendu qu'à 5.55% à ce jour. Point numéro 2 : depuis plus de 15 ans que nous sommes passés en SARL, ma femme signe les chèques tout comme moi (elle avait une procuration sur l'entreprise individuelle dont elle était conjoint collaborateur, ensuite ????? à savoir qu'elle est associée avec moi et salariée avec pouvoirs maintenant). J'ai découvert (mon comptable ne l'avait jamais fait remarqué, malheureusement malgré tous ses honnoraires) qu'un associé salarié avec pouvoir n'avait pas droit au chomage le cas où et pouvait donc exonéré de cotisations assedic. Afin de me faire rembourser les trois dernières sannées, les assedic me demande une copie de la procuration. Problème quand je contacte la banque, aucune procuration trouvée. ils me demandent de régulariser la situation pour me faire une attestation mais ne veulent pas attester qu'ils ont accepté des chèques depuis 15 ans sans jamais vérifier la signature autorisée. Depuis, dialogue de sourds, je refuse de régulariser la situation s'ils n'assument pas leur erreur et ils ne veulent rien me donner si rien n'est signé. Ils sont en porte à faux mais aucun ne veut assumer. J'ai décidé, peut être ai-je tort de demander à ma femme de signer les prochains chèques et 15 jours après l'encaissement, aller les voir en leur disant que je n'ai jamais émis de chèque. Qu'en pensez vous ? La pression payera-t-elle ? Je les relance de ma,nière amiable et les contacte en permanence pour avoir une explication que je n'arrive pas à avoir. Il semblerait que ces gens avec qui je travaille depuis 20 ans m'ai subitement oublié le jour où je demande des comptes Gestion - Marketing | bertrand | samedi 11 avril 2009

Dans l'étude de faisabilité

Vous dites, sauf erreur de ma part, que la rémunération du dirigeant n'est pas comptabilisé dans les charges personnels pour une entreprise individuel mais dans le résultat. Et pourtant un peu plus bas dans le dossier de faisabilité vous groupé les salaires des deux salariés (1500 + 1500 et des deux repreneurs 1900 + 1900)+ 39% * 12 mois et vous le mettez dans les charges personnels Je ne suis pas sûr de saisir nicolas Gestion - Marketing | nicolas | samedi 11 avril 2009