Restaurants traditionnels : en connaît-on le nombre en France ?

Bonjour monsieur BOUTBOUL, je suis à la recherche dans le cadre d'une étude de marché de chiffres précis sur la restauration traditionnelle ainsi que l'hôtellerie et les hébergements similaires. En effet, je désirerai connaître le nombre de restaurants traditionnels en France, par région avec la répartition de chaînes et hors chaînes. Et les même éléments pour l'hôtellerie et les hébergements similaires. Ayant lu votre intervention, j'aurai aimer savoir si vous disposiez de ce type d'éléments. Et si oui si nous pouvions échanger sur le sujet. En vous remerciant par avance pour la prise en compte de cette demande et dans l'attente de votre retour, je reste disponible pour tout complément. Bien à vous, Brice MICHEL Gestion - Marketing | michel brice | mercredi 6 juillet 2011

Breastaurant : une vision peu réaliste mais plutôt réductrice des centres d'intérêt masculins

Au Etats-Unis, pour attirer le chaland en période de crise, il n'est apparemment pas utile d'améliorer la qualité des plats. Quelques restaurants et chaînes de restaurants et pas des moindres, diffusent du sport sur écran géant, et servent de grosses pintes de bières par des serveuses sexy à forte poitrine et large décolleté. Vous en conviendrez, c'est une vision peut être réaliste mais plutôt réductrice des centres d'intérêt masculins. Mais bon ! Des chaînes comme Hooters, Tilted Kilt Pub& Eatery, Twin Peaks, Mugs'N Jugs ou Bonne Daddy's House of Smoke se disputent le concept de «breastaurants» que l'on pourrait traduire par «seins/restaurant». Ces restaurants ne désemplissent pas. Selon je journal économique l'Entrepreneur, une serveuse de «breastaurant» ne peut pas se contenter d'être agréable à regarder. Elle doit aussi mettre le client à l'aise. «Ça commence par le confort, explique un expert américain de la restauration. Elles apportent un service à des hommes qui n'ont peut-être pas quelqu'un pour s'occuper d'eux de cette manière à la maison. C'est important pour un certain nombre de clients et cela les fait revenir». D'accord pour mettre les clients à l'aise, mais pas trop tout de même? Dans ce pays, un dérapage est si vite arrivé !!! Et plus grave à mes yeux ; lorsqu'on met en place ce type de techniques de trafic et fidélisation, est-ce que cela ne signifie pas que le simple fait de bien faire son travail de restaurateur ne suffit plus à faire du chiffre d'affaires et à le faire progresser ? Je n'ose pas y croire mais plutôt croire que ce genre de techniques «marketing» est utilisé par des restaurateurs qui perdent peu à peu les fondamentaux du métier de restaurateur. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 25 juin 2011

Vers la valorisation des tuteurs : ils recevront une formation assurée par un formateur labellisée

Les initiatives prises par les partenaires sociaux, dans le domaine de l'encadrement de la formation en Alternance sont intéressantes. Pour l'instant applicables aux Contrats de Professionnalisation préparant à des CQPIH, les tuteurs devront recevoir une formation assurée par un formateur labellisée. Le tuteur, et non l'entreprise, est titulaire de cette accréditation, en qualité de personne, elle sera valable tout au long de sa vie professionnelle. Les formateurs labellisés "formateur de tuteur accrédité" sont au nombre de 140 aujourd'hui en France. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | lundi 20 juin 2011

Les Ferniot créent Boco : tout en bocaux

«Un repas de grands chefs en bocaux au bistrot ou au boulot en métro ou en auto pour moins de 15 € et 100% bio» telle est la base line de Boco. Etablissement ouverts depuis quelques semaines rue Daniel Casanova à Paris. C'est l'histoire de Vincent Ferniot (France 2) et de son frère Simon qui ont été élevés dans une famille ou la bonne cuisine était synonyme d'art de vivre et de bonheurs simples. Ils ont donc à leur tour créé une restauration qui leur ressemble. Ils ont été chercher des copains à eux pour les accompagner dans cette aventure. Anne-Sophie Pic, Gilles Goujon, Emmanuel Renaut, Frédéric Bau et Christophe Michalak !! Ils auraient pu avoir pire comme bande de copains !!!! Tous ensemble ils se déclarent en «association de bienfaiteurs» et créent des recettes pour l'établissement, chacun dans leur spécialité. Le tout est mis en bocaux d'où le nom Boco. Les prix ? Les entrées environ 5 €, les plats 8 € et les desserts 3 €. Le service ? Il n'y en a pas car Boco est un établissement de restauration rapide !! Vous vous servez dans des armoires LS réfrigérées, vous passez au comptoir payer et vous vous installez avec votre plateau. Si vous avez des produits chauds, ils vous seront amenés à votre table. C'est tout simplement beau, bon et génial. Si la restauration distribuée rapidement est capable de monter dans des niveaux de qualité tels, la restauration traditionnelle servie à table devra être très vigilante, en se demandant ou se trouvera demain sa véritable valeur ajoutée. Ah j'oubliais, la vente à emporter au bureau à la maison ou ailleurs est possible. Chaque bocal est consigné 1 €. Boco sait pertinemment que le bocal ne reviendra pas et qu'il servira à la maison en pensant régulièrement à Boco !! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 19 juin 2011

Potentiel de repas : combien de couverts compter par mètre carré ?

Bjr, Je travaille sur l'elaboration de mon biz plan, nous allons louer un local pour implanter une brasserie (resto du midi) dans une zi clientele 60% entreprise de la zone et 40%passage. Nous avons un lot de 220 M2 a amenager, + 80M2 terasse chauffée en hiver, nous pensons faire une salle de 120M2 + 80M2TERASSE soit 200M2 d'assise QUESTION quel est la moyenne de couvert/M2 Combien de couvert compter pour 200M2 ? en 1 service, cela afin de calculer le potentiel de repas que nous pourrions servir/service 70/100/150 places assices ??? MERCI SLTS Dédé Gestion - Marketing | Dédé | samedi 18 juin 2011

Benchmarking : pourrait-on en savoir un peu plus ?

Bonjour M. Oulé, Je vous remercie pour vos "cours" très intéressants et que j'ai lus en intégralité. Je suis en stage de "manager hôtel - restaurant" et je travaille, entre autres, sur le benchmarking entre hôtels 4 étoiles à Paris. Après avoir défini le "référentiel de base" dont les "indicateurs qualitatifs et quantitatif", je suis dans la phase de "développement d'un questionnaire et du guide des visites" à soumettre au partenaire choisi par l'hôtel. Pourriez-vous nous éclairer sur ce thème du benchmarking. J'ai remarqué, au cours de mes démarches, une confusion assez répondue avec la veille tarifaire voire l'identification du benchmarking à l'espionnage d'un concurrent... Quelles informations et savoirs faire recommandez vous de partager avec le partenaire choisi et comment faire un suivi de l'évolution des indicateurs de chacun des partenaires ? Je vous remercie par avance. Cordialement, Gestion - Marketing | ZG | vendredi 17 juin 2011

Restauration rapide : alerte en cuisine

Dans son émission Envoyé Spécial hier soir France 2 diffusait un reportage sur les Fast Food intitulé « restauration rapide : alerte en cuisine ». Rien qu'à la lecture du titre on imagine le ton et les images !! Le reportage est bien évidemment très caricaturé et extrême comme beaucoup d'autres émissions du même type. En revanche cela peut surprendre de la part d'Envoyé Spécial qui était jusque-là plutôt une émission d'investigations ! Au-delà de cela car nous sommes dans un pays de liberté de la presse et c'est tant mieux, je m'interroge sur tout autre chose. La cible du reportage est le N° 1 du secteur de la restauration rapide et le N°5. Pourquoi avoir zappé le N° 2 ? Pourquoi Fast Food est-il assimilé à Etats Unis avec 2 enseignes américaines ? J'ai peut-être un début de réponse. Le N° 2 du secteur appartient à l'Etat Français via une filiale de la Caisse des dépôts et consignations. Autrement dit l'enseigne est financée indirectement avec vos impôts. France 2 est une chaine de France télévision qui appartient à l'Etat. Certains voient déjà ou je veux en venir. La liberté de la presse bien sûr mais l'objectivité de la presse n'est-elle pas de temps en temps pour l'intérêt mise à mal ? Mais je me fais peut-être des idées !!!! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | vendredi 17 juin 2011

Gestion des imprévus : tenir informer les clients

De l'expérience vécue hier soir, j'attire votre attention sur la gestion des imprévus. C'est une histoire d'oiseaux et de réacteur qui cloue l'avion arrivé en bout de piste. Le protocole d'information des passagers et anti-panique fonctionne à merveille, avec le sang froid des stewards et du commandant de bord. Là où ça se complique, c'est lorsque le personnel au sol prend le relais. Derrière les guichets, 3 personnes s'affairent à trouver hébergement, taxis et billets de remplacement pour le lendemain, dans une métropole lilloise dont les hôtels sont bondés à 40 kms à la ronde. Entre le débarquement et le 1er contact au guichet, il se passe près d'1 heure. Les clients ont le temps d'émettre toutes les hypothèses, et la place est ouverte à la montée de toutes les angoisses. Pourtant, que ce soit chez Air France ou dans un restaurant qui se trouve confronté à un imprévu, coupure d'électricité, panne d'un four,la règle reste la même : - aller au devant des clients pour les informer de la situation, au plus tôt, - les informer des perspectives, même parmi les plus difficiles à accepter, - circuler dans les files d'attente, dans la salle pour répondre à quelques questions, - mais jamais laisser le client dans l'inconnu. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | jeudi 16 juin 2011

Service Compris 2.0 : les clients adorent se servir eux-mêmes

Alors que je m'insurgeais sur le cas de ce spécialiste de la pizza, voilà que Philippe Bloch m'apporte une partie de la réponse dans son dernier Service Compris 2.0. Effectivement, les clients n'ont cessé de demander à rester des acteurs de leurs achats, le "Do it yourself" se porte bien. On pourrait même l'aider à se développer. Si l'on continue à écoeurer les clients par des services déplorables, sans âme, le client aura plus d'intérêt à s'organiser lui-même : aller chercher son plateau d'apéritifs quand il le veut au bar, s'en retourner vers le passe en cuisine pour faire marcher sa pizza, ... Tenez, la prochaine fois que j'organise un stage sportif, nous irons nous approvisionner en apéritifs à la supérette du coin, et le livreur de pizzas viendra jusqu'à nous au bord du lac. Allez, encore un petit effort dans l'absence de service. maintenant, si vous êtes encore convaincu qu'il y a de la place pour le service à table, et en général, sur les égards qu'un commerçant apportera à ses clients, plongez vous dans cette dernière version de Service Compris 2.0. Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | mardi 14 juin 2011

Service à table : certains jettent l'éponge

Un vendredi soir, chez ce spécialiste de la pizza, 5 cts passent à table ; 10 mns d'attente pour commander l'apéritif ; ok ; dans la foulée, la commande complète du repas est faite ; et voilà qu'arrivent sur le plateau les apéritifs (5 cocktails avec ou sans alcool) et ....les boissons (1 bière, 4 softs). Ma remarque sur cette anomalie est suivie d'un "c'est comme ça que ça part ici". Ma bière n'avait plus le même goût ensuite. Donc, côté service, il n'y a rien à dire, car il n'y avait rien, si ce n'est que la "livraison" était faite. Comment voulez vous que les clients s'intéressent encore au service à table ? Gestion - Management - Marketing | André Picca, auteur | mardi 7 juin 2011