3 réponses sommaires sur la restauration...

Photo
ETourisme

jeudi 2 avril 2009

Les prix....libres ?! C'est le marché qui décide , comment garder la souplesse d'adaptation nécessaire s'ils sont sous influence gouvernementale ?
Les investissements...question de financement... y'a t-il encore des banquiers dans l'avion ?
L'emploi.... il dépend principalement du dynamisme économique ..donc finançons les entreprises (actuellement on finances le chomage en france... cherchez l'erreur)

Photo
Jean-Luc FESSARD

mardi 21 avril 2009

Formation
Il y aurait beaucoup à dire Michel Coquart sur l'adaptation ou non de la formation des écoles hôtelières aux formes de restauration actuelles: être un excellent professionnel de la restauration gastronomique, c'est génial si l'on forme des jeunes qui travailleront dans ce type de restauration, c'est moins pertinent pour la formation de jeunes qui travailleront de fait dans les grills, les fast foods ou les restaurants de collectivités. Par contre vous avez totalement raison pour le renouveau de la restauration de proximité, avec le développement durable il vaut mieux être placé en centre ville avec un accés facile à pied ou en transports en commun que dans une zône périférique accessible uniquement en voiture.
Photo
Thénardier Père & fils

jeudi 16 avril 2009

Michel Coquart, des excuses... A quel titre ?
(Passage contraire à l'éthique supprimé)

Quant à votre argumentation sur les affres des restaurateurs, franchement, vous n'y êtes pas du tout. Castagnier le dit très bien : ceux qui vivent dans une agonie économique n'iront guère mieux après la baisse de la TVA.

> Donner des jumelles à un aveugle ne le fera jamais recouvrer la vue...

Et surtout, je vous le demande, où voyez-vous une différence entre la situation des restaurateurs que vous évoquez et celle de n'importe quelle entreprise (TPE & PME) en France, qui emploie du personnel ? Le niveau de charges d'exploitations et de prélèvements obligatoires est impressionnant dans notre beau pays. Cela touche tout le monde, toutes les entreprises.

Et pourquoi est-ce que les autres entreprises dans les autres secteurs économiques n'auraient pas droit eux aussi à une baisse de la TVA et à cette grosse pâtisserie fiscale ?

Enfin, ne parlez pas des parachutes dorés, je ne vois ce que cela vient faire dans un sujet sur la restauration. Vous parlez là d'un phénomène qui n'existe pas dans nos métiers et qui concerne un nombre infinitésimal de patrons ailleurs.

Bon, une tisane et cela ira mieux.
Photo
l'aubergiste

vendredi 17 avril 2009

LA tisane sur place ou a emporter?
Photo
fred

samedi 18 avril 2009

Mr l' aubergiste
les petites entreprises avec un patron en cuisine et une serveuse se portent trés voir trés trés bien dans notre région du sud !Et ceux qui sont a l' agonie le sont depuis déja un certains temps ! ce qui n' est pas forcement le cas des autres strucures avec des plats de "mer**" a 7.50 € ou a 25€!!
Photo
Albert

samedi 18 avril 2009

Fred ! 7.50 € Impossible en respectant vraiment...
..les règles d'hygiene, les règles sociales, les regles fiscales... Quand je dis vraiment, je veux dire pas comme les restaurateurs pensent qu'il faut les respecter et encore moins comme ils les respectent ... dans le sud.
Photo
Ethique et toque

samedi 18 avril 2009

"La rue devenue le plus grand restaurant de France"
C'est ce que déplorait le Synhorcat la semaine dernière.
Il faut bien reconnaître que les petites structures avec petits prix ont de beaux jours devant elles.Fred a raison de le souligner.
Cependant la réputation de la cuisine française ne s'est pas construite sur ce genre de restauration et nous devons le garder à l'esprit lors des Etats Généraux afin d'éviter que notre patrimoine culinaire ne disparaisse. C'est le fond de commerce de la Maison France, celui qui attire bon nombre de touristes. Ne l'oublions pas.
Photo
Bernard Boutboul

samedi 18 avril 2009

Patrimoine te fond de commerce de la France...
Je ne comprend pas pourquoi la "rue" ne deviendrait pas le plus grand restaurant de France! C'est tout simplement une modification profonde de la façon de se nourrir: plus vite, moins de plats, moins d'alcool, partout ou je veux quand je veux. Le patrimoine culinaire de la France fout le camps dites vous? Alors il faudra le dire à Paul Bocuse, Alain Ducasse, Guy Martin, Antoine Westermann, Les Frères Pourcel, Marc Veyrat qui ont tous monté leur...sandwicherie!! des sandwichs, des salades, des soupes, des petites portions de plats cuisinés et bien sur du coca cola le tout pour 13 à 15€! Pensez-vous que nos 60 millions de touristes viennent toujours pour notre assiette et pour notre art de recevoir avec un grand sourire?
Photo
Ethique et toque

samedi 18 avril 2009

plus vite, moins de plats, moins d'alcool
Si nos grands chefs ouvrent tant de "sandwicheries" c'est pour survivre; cela ne vous aura pas échappé je pense.La gastronomie perd de l'argent à cause de trop de charges, trop de règlementations et une dévalorisation du travail par les jeunes qui veulent moins de contraintes.
Oui la gastronomie française fait toujours rêver. 26 ans de direction d'hôtel me permettent de l'affirmer. Le touriste rêve de pouvoir se payer un bon gastro dont il est sûr de garder un souvenir impérissable. Il ne trouvera pas cette expérience en mangeant un sandwich aussi merveilleux soit-il ni avec la formule "plus vite, moins de plats, moins d'alcool" que vous pronez.
Photo
Bernard Boutboul

dimanche 19 avril 2009

Sandwichs de grands chefs...
Je ne "prone" rien, je ne fais que constater l'évolution de la société, du gout et du comportement des consommateurs. La structure "entrée-plat-déssert" ne pèse plus que 16% des repas pris hors domicile en France,en 1975 le repas moyen durait 1h38 en 2008 il dure 31 mn, le prix moyen d'un repas hors domicile en France est de 8,78 € TTC boissons comprises, 4% des repas sont consommés au delà de 30 € TTC boissons comprises...que pouvons nous faire contre cela? Et puis faut-il combattre une évolution? Je pense qu'il faut s'adapter dans les meilleuers conditions de rentabilité. Quand à nos grands chefs, je ne pense pas qu'ils montent des sandwicheries pour survivre. Cela fait bien longtemps qu'ils ont monté leur bistrots, leur sociétés de conseil, écrit leur bouquin ou fait leur emission de télévision ou leur chronique gastronomique dans tel ou tel journal.Je crois plutot qu'ils ont monté leur sandwicheries pour nous faire passer un message important il me semble: ce n'est pas parceque l'on est préssé que l'on doit manger n'importe quoi..." Si tel est bien le message qu'ils veulent faire passer, les indépendants traditionnels doivent l'entendre et peut etre se dire que la restauration rapide n'est plus synonime de malbouffe et que la restauration rapide n'est plus le pendant négatif de la tradition.
Photo
Michel Coquart

dimanche 19 avril 2009

Préparation et animation
Photo
Michel Coquart

mardi 21 avril 2009

PREPARATION ET ANIMATION
Je suis extrêmement choqué par les propos de certains d'entre vous qui considèrent qu'une petite entreprise de restauration n'est viable qu'en étant malhonnête ou en étant aidé par des mesures fiscales qui seraient payées par l'ensemble des contribuables Francais.De l'avis de certains pour exploiter sainement une entreprise de restauration il faudrait être né avec une cuillère en argent ou se transmettre ce patrimoine de grand père en petit fils.
Des petites entreprises sont indispensables pour faire vivre et animer les petites villes et villages et défendre notre patrimoine culturel et non pas que sur PARIS ou nos grandes villes. Que dire à nos jeunes ambitieux qui ont été formés à ce métier? qu'ils n'auront jamais la possibilité de vouloir un jour posséder leur "petite entreprise"? Ou bien qu'ils trouvent des associés pour créer un hyper hyper marché de la restauration sur les Champs Elysées.
Associer les petits patrons à de gens malhonnêtes est fortement vexant voir insultant.
Il a fallu attendre une crise pour se pencher réellement sur se sur cette TVA alors que nous le réclamons depuis plus de trente ans ? A ma connaissance d'autres secteurs ont été aidé, l'artisanat qui est le premier employeur de France,la construction immobilière également, l'automobile,le secteur bancaire.Faudrait il ouvrir des magasins de boîte à idées? Ou bien refuser à vos clients de s'assoir dans vos restaurants de 300 couverts pour faire de la vente à emporter à 5.5% Michel Coquart de LA ROCHELLE et Breton de surcroit et fier de l'être.

Signaler un contenu illicite



Gestion Marketing

Ajouter un message

Photo

En cliquant sur publier vous acceptez les [conditions générales d'utilisation]

Voir notre Politique des données personnelles