- Un restaurant va se nourrir d’un endroit mais il doit aussi nourrir l’endroit. Cela veut dire qu’il faut prendre en compte les hommes et les femmes autour de lui : un verrier, un fromager, un cultivateur de blé, toutes ces personnes qui s’engagent sur le territoire.”
- Se fournir localement, c’est ce qu’il y a de plus économe. On pense territoire, saison mais aussi ratio.
- Travailler des produits qui ne sont pas considérés comme nobles, se les approprier et les magnifier. C’est aussi une économie.
- S’amuser à aller vers le zéro plastique. Mettre dans du plastique, c’est mettre dans du pétrole !
- Gaspiller le moins possible en transformant les produits : un vrai challenge !
- Penser au compost.
- Aller vers une offre un peu plus végétale avec des légumineuses et des céréales locales.
- Porter un autre regard sur le poisson en pensant au poisson durable. Aller sur l’appli Ethic Ocean.
- Limiter les fruits exotiques.
- Limiter les surgelés qui, ayant été stockés dans des congélateurs, nécessitent beaucoup l’électricité et parfois des gaz qui ont un impact important sur les émissions de gaz à effet de serre.
- Se rapprocher de producteurs telles les sentinelles de Slow Food
- Tenter d’aller vers des vins nature, allégés en sulfites et naturellement fermentés, peu modifiés.
Olivier Roellinger écologie #développementdurable#
Publié par Nadine LEMOINE