Budget limité : cadillac, cérons (Bordelais), côtes-de-montravel, coteaux-de-l'aubance, gaillac doux, et de nombreux IGP (gascoge blanc moelleux, cépage gros manseng, par exemple)...
Budget confortable : montrachet, Tokay pinot gris vendanges tardives (Alsace), quarts-de-chaume ou bonnezeaux (Anjou), jurançon issu de raisins surmaturés, château-grillet…
Proposition originale : château-chalon, pacherenc du vic-bilh issu de raisins surmaturés, haut montravel ou rosette (Dordogne) graves supérieures, mâcon botrytisé, montlouis-sur-loire moelleux, jasnières, pineau-des-charentes, macvin, vin blanc moelleux de Tahiti…
Vins du monde : Cotnari (Roumanie) ; Sémillion botrytisé de Griffith (Australie), Tokay azsu 3 ou 4 Puttonyos - au-delà de 4 puttonyos, les vins sont trop riches en sucre - (Hongrie) ; Château Lion de Suntory (Japon) ; vin de glace du Canada…
Lorsque le foie gras est servi en début de repas, il est généralement accompagné d'un grand vin blanc moelleux ou liquoreux (types sauternes ou alsace vendanges tardives, voire sélection grains nobles), il n'est pas toujours évident de revenir sur un vin sec, aussi grand soit-il, pour accompagner le plat suivant (homard, turbot, coquilles Saint-Jacques…). Une solution consiste à servir, après le foie gras, une toute petite tasse de consommé de volaille pas trop corsé. Ainsi, le palais est prêt pour apprécier le vin suivant.
Publié par Paul BRUNET
mercredi 4 novembre 2015
mercredi 4 novembre 2015
mercredi 4 novembre 2015
mardi 3 novembre 2015