Peco Peco explore la cuisine de rue nippone

Paris (IXe) Cette nouvelle enseigne parisienne fait découvrir quelques recettes incontournables du snacking japonais.

Publié le 06 novembre 2014 à 12:31

Encore un restaurant japonais ? Loin des yakitoris (brochettes) et autres sushis, Peco Peco concocte, en plein Pigalle (Pairs, IXe), quelques plats nippons méconnus du public parisien. À midi, le donburi (un plat extrêmement populaire au Japon) est préparé à la minute. Sur un grand bol de riz, le chef dispose toutes sortes de garnitures : poulet frit, cabillaud sauce tartare, végétarien... Les katsusandwiches (baguette, porc pané, chou rouge et sauce barbecue maison), proposés à 6 €, remportent également un franc succès.

Le soir venu, les deux associés - Benjamin Perrier et le chef Kenji Horii (un ancien pâtissier du Fogon d'Alberto Herraiz et de la Kitchen Galerie de William Ledeuil) -, mettent à l'honneur les kushiage. Ces brochettes panées, vendues à l'unité, se déclinent en version racine de cerfeuil ou de lotus, shiitake, chou-fleur-parmesan, maquereau fumé, poulet wasabi, asperge-bacon, cabillaud shiso, chèvre-miel… Comptez 1,50 € pour celles aux légumes et 2,50 € pour les autres. Elles peuvent être accompagnées d'un verre de vin, de bière japonaise ou de shochu, et de quelques autres tapas affichés sur l'ardoise : edamame (fèves de soja encore vertes), gioza (raviolis japonais), yaki onigiri (boulettes de riz grillées)… Sans oublier les desserts maison, comme le tiramisu au thé matcha, la panna cotta au sésame et coulis de framboise, ou encore l'azuki (haricot rouge sucré) et sa glace au thé vert. Le ticket moyen, quant à lui, atteint les 15 €, hors boisson.

Dans cette cantine de poche à la décoration brute, la clientèle est au rendez-vous depuis l'ouverture, en décembre dernier. "Ça a très vite pris, sans doute parce que l'on propose une véritable expérience. Les clients découvrent des plats qui leur sont inconnus. Le lieu étant petit - nous avons 29 places au total -, ils partagent leurs impressions aux tables d'hôte ou au comptoir. C'est extrêmement dépaysant et convivial", explique Benjamin Perrier. Un concept qui, à l'avenir, pourrait bien être dupliqué dans d'autres quartiers de Paris.


Publié par V.B



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