"La Guinguette est ouverte de 10 heures à 21 heures, nous sommes installés dans le parc Raymond IV et donc soumis aux heures de fermeture. C'est un gros avantage, car le parc est surveillé." La Guinguette table sur une recette de 400 € par jour. "On peut atteindre 200 couverts le samedi et le dimanche, mais nous sommes soumis aux aléas climatiques, il est difficile de prévoir comment sera la saison."
Jean-Charles Carrère est déjà à la tête de deux autres affaires à Toulouse : À m'en donné, une épicerie-table d'hôtes, et le Point Gourmet. Ouvert il y a quelques semaines, le restaurant est déjà connu pour son burgé toulousain, à base de chair à saucisse, de confit d'oignon et de crème de bamalou (fromage ariégeois).
La Marlette, rendez-vous au container
"Ce n'est pas l'endroit le plus glamour de Toulouse, s'amuse Muriel Terrade, mais une fois à l'intérieur, c'est un petit paradis." La paillote est installée près d'une zone d'activité, à l'écart du centre-ville. Les clients s'y retrouvent pour déjeuner ou pour un afterwork qui se prolonge. Le ticket moyen est de 15 €.
Du sable, des coussins, quelques tables hautes, des soirées musicales, de la couleur et des tapas... La cuisine et le bar dans un containeur maritime. "Le clin d'oeil nous a beaucoup amusés, explique Muriel Terrade, les clients apprécient ce côté décalé." Mais pas question de rogner sur la qualité, la fondatrice et son associé travaillent avec des producteurs locaux ou des charcutiers espagnols tels que la maison Bellota.
Publié par Dorisse PRADAL