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Hélène Darroze a connu deux
années bien chargées. Tout en continuant à assurer sa collaboration avec le
Connaught à Londres (2 étoiles Michelin), elle travaillait à la conception de
son nouveau restaurant gastronomique parisien où elle proposera en début d'année
2019 « une expérience culinaire très
différente ». Et en parallèle, elle trouvait enfin le lieu qu'elle
recherchait pour installer son second projet, Jòia, une envie de longues dates inspirée
aussi par ses années londoniennes où l'offre en restauration mêlant bar à
cocktails, offre snack et restaurant dans une ambiance cool avec musique loin
du fond sonore est beaucoup plus développée qu'en France.
Le bar à cocktails, dont la carte a été composée avec le mixologiste du Connaught Agostino Perrone, est l'autre atout de Jòia. Les surprises ne manquent pas avec les cocktails inventées par ou pour une femme ou les mix de deux cocktails anciens mis au goût du jour. « Nous allons animer le bar avec un jeu ancien pour que les gens s'amusent. Comme avec le guacamole à écraser et à assaisonner soi-même ou bientôt avec le seafood platter, 'plateau de fruits de mer réinventé'. Jòia est un lieu vivant». Un lieu où l'on retrouve l'adn de la chef Hélène Darroze, où Jòia, joie en occitan porte bien son nom et dont les moindres aspects ont été conçus pour être duplicables.
Tout en aménageant
ses tournages pour Top Chef, Hélène Darroze a supervisé deux « chantiers ».
« J'ai fait en sorte de fermer le
restaurant gastronomique fin juillet et ainsi de pouvoir transférer mes équipes
sur Jòia. Ainsi jusqu'à la réouverture en début d'année de la rue d'Assas, je
conserve mes collaborateurs. Ici, c'est une expérience tellement différente que
c'est aussi intéressant pour eux et certains voudront sûrement rester chez
Jòia. Le fait de faire une ouverture avec votre équipe ultra professionnelle que
vous connaissez parfaitement, c'est qu'on se comprend d'un regard. Le chef Thomas Piat, qui a travaillé à New York
et à Londres pour Daniel Boulud, s'est parfaitement intégré et nous partageons
notre passion pour la charcuterie. Nous faisons déjà notre boudin et notre pâté
de campagne.
Dans le quartier du Sentier, Hélène Darroze a trouvé un très bel espace sur deux étages. Dès l'entrée, vue sur la cuisine ouverte et les 46 places. Au second, outre le bar à cocktails et son coin salon cosy et coloré, 24 places supplémentaires pour le restaurant. Jòia propose deux menus au déjeuner sur la base d'un semainier (24 euros entrée + plat ou plat + dessert ; 29 euros le repas complet) et une carte variée. A quelques jours de l'ouverture, le ticket moyen s'élève à 49 euros au déjeuner et à 70 euros le soir. « C'est une cuisine généreuse, une cuisine de femme, de générosité, sans prétention. Déjà quelques plats se sont distingués comme la soupe à l'ail rose de Lautrec, oeuf mollet et jambon noir de Bigorre ; la fameuse short-rib de boeuf angus condiment ranchero ou le cou d'agneau de lait Allaiton longuement confit aux épices raz el hanout. Il y a aussi le mille-crêpes au thé matcha, crème de yuzu que les clients réclament parce qu'il est photogénique et a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux", indique Hélène Darroze surprise du succès immédiat de Jòia. « Nous avions prévu des démarches commerciales notamment aux alentours, mais comme nous sommes pleins et qu'il y a encore à mettre en route le brunch, le teatime et plus tard le take away, nous allons avancer progressivement », prévoit-elle.
Dans le quartier du Sentier, Hélène Darroze a trouvé un très bel espace sur deux étages. Dès l'entrée, vue sur la cuisine ouverte et les 46 places. Au second, outre le bar à cocktails et son coin salon cosy et coloré, 24 places supplémentaires pour le restaurant. Jòia propose deux menus au déjeuner sur la base d'un semainier (24 euros entrée + plat ou plat + dessert ; 29 euros le repas complet) et une carte variée. A quelques jours de l'ouverture, le ticket moyen s'élève à 49 euros au déjeuner et à 70 euros le soir. « C'est une cuisine généreuse, une cuisine de femme, de générosité, sans prétention. Déjà quelques plats se sont distingués comme la soupe à l'ail rose de Lautrec, oeuf mollet et jambon noir de Bigorre ; la fameuse short-rib de boeuf angus condiment ranchero ou le cou d'agneau de lait Allaiton longuement confit aux épices raz el hanout. Il y a aussi le mille-crêpes au thé matcha, crème de yuzu que les clients réclament parce qu'il est photogénique et a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux", indique Hélène Darroze surprise du succès immédiat de Jòia. « Nous avions prévu des démarches commerciales notamment aux alentours, mais comme nous sommes pleins et qu'il y a encore à mettre en route le brunch, le teatime et plus tard le take away, nous allons avancer progressivement », prévoit-elle.
Le bar à cocktails, dont la carte a été composée avec le mixologiste du Connaught Agostino Perrone, est l'autre atout de Jòia. Les surprises ne manquent pas avec les cocktails inventées par ou pour une femme ou les mix de deux cocktails anciens mis au goût du jour. « Nous allons animer le bar avec un jeu ancien pour que les gens s'amusent. Comme avec le guacamole à écraser et à assaisonner soi-même ou bientôt avec le seafood platter, 'plateau de fruits de mer réinventé'. Jòia est un lieu vivant». Un lieu où l'on retrouve l'adn de la chef Hélène Darroze, où Jòia, joie en occitan porte bien son nom et dont les moindres aspects ont été conçus pour être duplicables.
Helene Darroze #joia#
Publié par Nadine LEMOINE
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