Après réflexion, lecture de la charte et expérience du milieu j'ai de grande réserve quand au titre de maître restaurateur: pas assez de transparence selon moi concernant le produit
Mais ce n'est que mon avis ...

Pourquoi 50 chartres, il faut faire un seul label de restaurateur "au naturel" sans congelés, sans deshydratés, sans conserves, sans colorant ni conservateurs, ne travaillé que des produits issus de l'agriculture bio.
interdire les congelateurs et cellules de congélation dans ces établissements.
Faire des audits surprise par des sociétés independantes non pas tous les trois ans mais au moins une fois par an.

Tout à fait d'accord pour signaler que le restaurant travaille des produits frais.
Il faudrait également faire mieux connaître le titre de maitre restaurateur, souvent ignoré de nos clients

il faudrai aussi travaille sans nouriture comme ca pas de probleme coment avoir du bio dans un admospheres poluer je ne pense pas que vous soyer restaurateur

je suis restaurateur, pas distributeur de produit bio adresser vous à eux pour la pollution. Pour info: dans un monde en crise j'habite au milieu de la campagne à 100 km de toute grande ville je viens d'investir 200.000 euros d'agrandissement j'embauche dans un departement qui connait un taux de chomage des plus élevé en france, si je faisait de tout cuit sa se saurait et mes clients seraient loin.
je n'ai pas de grand marché sur place pas de rungis etc.. mais des bon producteurs,je suis fier car mes clients viennent pour le plaisir et non pour se nourrir par obligation.
mon label en general il le voie en sortant et beaucoup ignorait que je disposait de ce formidable outil de promotion,je vous rapelle que c'est le restaurateur qui fait la demarche pour l'obtenir sa ne tombe pas tout cru ou à coup d'euros.

d accord alors on parle le meme langage
car moi aussi je suis dans un bled et les client ne vienne pas pour mes beau yeux mais pour la quakite de notre cuisine et travail bonne journee

Des pistes pour répondre aux demandes de transparence des consommateurs
Dans le cadre des Gastronomades d'Angoulême qui ont eu lieu du 25 au 27 novembre, s'est tenu le Forum des traditions culinaires artisanales organisé par l'association des Cuisineries gourmandes des provinces françaises. Lire la suite

En congrès, le Synhorcat donne de la voix
Mise aux normes, fidélisation des salariés, 'produits frais', TVA à 7 %? l'organisation patronale, réunie pour son congrès annuel, a fait un tour d'horizon très pragmatique des enjeux du secteur. Lire la suite

La CPIH va lancer une campagne de promotion du titre de Maître Restaurateur en janvier dans ses départements
Le groupement des restaurateurs de la CPIH s'est réuni mardi 6 décembre au siège parisien du syndicat. Le point avec Robert Touchet, président national et président de la CPIH 49. Lire la suite

Bonjour à tous,
Que peut-on appeler « produits frais » ?
Des produits achetés sans aucune préparation ?
Des légumes frais cueillis, la viande et la volaille tout juste abattus, les poissons, coquillages et crustacés juste pêchés ? Tous ces produits sont, bien sûr, frais et répondent exactement à l'appellation.
Dans ce cas, aucun restaurateur ne pourra inscrire sur son menu « produits frais » à moins d'habiter au bord de la mer ou en pleine campagne !
Les produits de 4ème et 5ème gamme sont des aides proposés aux restaurateurs, ils ont besoin d?être travaillés avant de pouvoir être servis aux clients ? ce sont donc également, à mon avis, des « produits frais » ! Et le congelé : de même !
Je crois que, éventuellement, la seule cuisine n'utilisant pas de « produits frais » est celle qui se contente de réchauffer des plats préparés par l'industrie de l'agroalimentaire et de les dresser sur assiette !
De tous temps les politiques ont rêvé d'avoir une loi portant leur nom et rentrer ainsi dans la postérité !
Le vrai restaurateur est quelqu'un qui respecte le client et il n?a pas besoin d'une loi supplémentaire pour le prouver.
Vive la gastronomie,
Marcel Mattiussi