« Vous
connaissez les Dîners d'Épicure dont Auguste Escoffier a eu l'idée en
1912 : le même menu, le même jour, dans le plus grand nombre possible de
villes dans le monde, pour le plus grand nombre possible de convives. Nous
allons faire mieux qu'Escoffier. Nous allons faire l'opération « Good
France », lance Alain Ducasse. Le principe ? Il s'agira d'un dîner
qui se déroulera partout dans le monde le jeudi 19 mars 2015, avec la volonté
d'associer toutes les catégories de restaurants, du bistrot à la grande table ».
Pour y participer, le cuisinier doit faire acte de candidature sur le site internet de l'opération qui ouvrira fin octobre. Un comité international présidé par Alain Ducasse et composé de chefs renommés validera les établissements participants. A quoi s'engage le professionnel ? A réaliser le 19 mars un dîner dont il détermine le contenu du menu d'inspiration française en respectant quelques passages obligés comme l'apéritif de tradition française, un fromage, un dessert au chocolat et des vins hexagonaux. Il décide aussi du prix du menu mais il devra reverser 5% des ventes à une ONG locale en faveur de la santé ou de l'environnement.
En parallèle, une centaine d'ambassades de France et une dizaine de consulats seront des relais d'information auprès des médias et des restaurateurs locaux. Ils organiseront également le 19 mars un dîner français auquel ils inviteront les personnalités emblématiques du pays. En France, c'est au Château de Versailles qu'aura lieu le dîner auquel seront notamment conviés les diplomates étrangers en poste à Paris. « Le dîner Good France du 19 mars sera donc un très, très grand événement, avec une visibilité mondiale considérable », assure Alain Ducasse.
Le soutien du gouvernement au travers des organismes tels Atout France mais aussi des ambassades de France dans tous les pays du monde est une première dont Alain Ducasse se réjouit : « Je connais bien les politiques de promotion de la cuisine d'un certain nombre de pays comme l'Espagne, le Danemark, le Pérou ou le Japon. J'ai pu constater leur efficacité – parfois avec un peu d'exaspération, quand j'avais l'impression que l'image que certains d'entre eux arrivaient à construire était bien plus flatteuse que la réalité. En tout cas, j'ai pu constater que le succès de ces politiques de promotion était tous obtenus de la même façon : par une mobilisation générale de toutes les énergies, publiques et privées. Je suis donc très heureux que nous nous engagions sur la même voie ».
Pour y participer, le cuisinier doit faire acte de candidature sur le site internet de l'opération qui ouvrira fin octobre. Un comité international présidé par Alain Ducasse et composé de chefs renommés validera les établissements participants. A quoi s'engage le professionnel ? A réaliser le 19 mars un dîner dont il détermine le contenu du menu d'inspiration française en respectant quelques passages obligés comme l'apéritif de tradition française, un fromage, un dessert au chocolat et des vins hexagonaux. Il décide aussi du prix du menu mais il devra reverser 5% des ventes à une ONG locale en faveur de la santé ou de l'environnement.
En parallèle, une centaine d'ambassades de France et une dizaine de consulats seront des relais d'information auprès des médias et des restaurateurs locaux. Ils organiseront également le 19 mars un dîner français auquel ils inviteront les personnalités emblématiques du pays. En France, c'est au Château de Versailles qu'aura lieu le dîner auquel seront notamment conviés les diplomates étrangers en poste à Paris. « Le dîner Good France du 19 mars sera donc un très, très grand événement, avec une visibilité mondiale considérable », assure Alain Ducasse.
Le soutien du gouvernement au travers des organismes tels Atout France mais aussi des ambassades de France dans tous les pays du monde est une première dont Alain Ducasse se réjouit : « Je connais bien les politiques de promotion de la cuisine d'un certain nombre de pays comme l'Espagne, le Danemark, le Pérou ou le Japon. J'ai pu constater leur efficacité – parfois avec un peu d'exaspération, quand j'avais l'impression que l'image que certains d'entre eux arrivaient à construire était bien plus flatteuse que la réalité. En tout cas, j'ai pu constater que le succès de ces politiques de promotion était tous obtenus de la même façon : par une mobilisation générale de toutes les énergies, publiques et privées. Je suis donc très heureux que nous nous engagions sur la même voie ».
Publié par Nadine LEMOINE
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