Quelques mois seulement après l'ouverture de Tribiani à Paris, les clients n'hésitent pas à faire la queue longtemps, convaincus par la formule : une offre très variée (sur place, à emporter ou livrée), à petits prix, à base de produits italiens frais de qualité. Ils peuvent choisir entre une salade, un sandwich, un plat de pâtes, une focaccia, des lasagnes ou un gratin d'aubergines au parmesan, dont les prix varient de 3,90 € à 5,90 € selon les garnitures. Il y a aussi les arancini du jour à 3,20 € et les formules avec boisson. Si la carte est fixe, des éditions limitées viennent constamment l'enrichir comme par exemple dernièrement le sandwich Veggie aux légumes grillés, crème de balsamique et roquette à 4,50 € ou focaccia Méditerranéa au thon, tomates fraîches, fromages de pays, confit d'oignon à 5,90 €. Les ingrédients d'origine italienne sont sélectionnés pour leur qualité : tomates fraîches, farine et huile d'olive d'Italie, mozzarella di bufala, truffe d'Alba…
Tribiani a été ouvert par Julian Lazare, du groupe Élysée Montaigne, qui s'est associé aux frères Laurent et Filip Rebuzzi. Grâce à une collaboration sans intermédiaire avec ses fournisseurs, l'enseigne peur proposer des prix réduits alors que les produits sont de premier choix.
Des pizzas rectangulaires
Pour la pizza, Tribiani a opté pour un format rectangulaire et une pâte préparée avec de l'eau de source en provenance directe d'Italie. La pizzatella pesto verdure de légumes grillés et roquette sur une base de sauce pesto et mozzarella est à 5,90 €, tout comme la Funghi à la mozzarella, champignons sauvages et huile d'olive. La formule avec boisson est à 1 € de plus. Tribiani peut accueillir une trentaine de personnes entre la salle à manger spacieuse et paisible en étage, quelques tables hautes en rez-de-chaussée et une dizaine de places en terrasse, dans une rue qui sera bientôt piétonne. D'autres points de vente sont déjà en cours d'implantation sur Paris d'ici à la fin de l'année, avant un déploiement dans la France entière, notamment en franchise.
Publié par Carole GAYET