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« Depuis 10 ans, Omnivore apporte sa contribution à ce mouvement culinaire générationnel que nous avons appelé en 2003 la jeune cuisine, puis plus récemment, parce que cette mutation est passée d'un champ professionnel à un champ populaire : la pop gastronomie », explique Luc Dubanchet, fondateur d'Omnivore dans l'édito de son Food book qui vient de sortir à l'occasion de l'Omnivore world tour Paris. Un « nouvel objet de la cuisine contemporaine» en trois parties : un magazine, un cahier de cuisine et un guide des 200 tables qui font 2014 (19,90 euros), qui paraîtra deux fois par an. L'Omnivore Food Book met en lumière l'avant-garde de cette pop gastronomie au travers du palmarès des « 10 de 2014 » (cf encadré).
Les 10 de 2014 étaient pour la plupart aussi sur scène pour des démonstrations. « Jean-François Piège, qui était présent sur le premier festival est notre créateur de l'année. Sur scène, il a exprimé toute son émotion et son talent avec sa poularde en croûte de riz, lamelle de truffe, riz soufflé, dit Sébastien Demorand qui animait la Scène salée. Christophe Saintagne, qui est pour nous la révélation de l'année, a allié la délicatesse de la cuisson des pinces de homard à l'énergie de la musique de Led Zeppelin. Hideaki Sato, Ryugin à Hong kong et son Haïku autour de la pastèque fut également un moment fabuleux. Globalement, il y a eu autant de poésie que de prouesses techniques, et je crois que l'on a réussi à montrer sur scène à Omnivore la communauté d'esprit qui lie tous ces chefs ».
Un programme éclectique, de Sidney à Hong Kong en passant par Lyon ou Paris, des styles de cuisine très différents, la scène salée, la scène sucrée, la scène artisan... "permet de raconter la cuisine telle qu'on la voit, telle qu'on la conçoit", confirme Sébastien Demorand.
2014 est marquée par l'ouverture de la scène dédiée aux cocktails. « Il nous a semblé logique d'ouvrir cette année cette scène avec les meilleurs bartenders de France mais aussi étrangers. C'est devenu un engouement planétaire, ça arrive en France et à mon avis, ce sera quelque chose de majeur dans la restauration d'ici 4 à 5 ans », parie Luc Dubanchet.
Omnivore 2014 a tenu ses promesses avec au moins 14.000 visiteurs (chiffre à confirmer après cette troisième journée). « C'est absolument sidérant de voir comment Omnivore est devenu Le festival de la cuisine à Paris, dit Luc Dubanchet. Il fait partie des 4 ou 5 événements majeurs dans le monde. Le festival montre chaque année que l'engouement pour la cuisine est croissant. Voir des professionnels venir de toutes les régions et de l'étranger à Paris, une fois par an, pour se ressourcer, ça reste quelque chose qui m'émerveille en permanence ». Rendez-vous en mars 2015 avec l'équipe d'Omnivore qui promet une édition exceptionnelle pour les 10 ans du festival.
Les 10 de 2014 étaient pour la plupart aussi sur scène pour des démonstrations. « Jean-François Piège, qui était présent sur le premier festival est notre créateur de l'année. Sur scène, il a exprimé toute son émotion et son talent avec sa poularde en croûte de riz, lamelle de truffe, riz soufflé, dit Sébastien Demorand qui animait la Scène salée. Christophe Saintagne, qui est pour nous la révélation de l'année, a allié la délicatesse de la cuisson des pinces de homard à l'énergie de la musique de Led Zeppelin. Hideaki Sato, Ryugin à Hong kong et son Haïku autour de la pastèque fut également un moment fabuleux. Globalement, il y a eu autant de poésie que de prouesses techniques, et je crois que l'on a réussi à montrer sur scène à Omnivore la communauté d'esprit qui lie tous ces chefs ».
Un programme éclectique, de Sidney à Hong Kong en passant par Lyon ou Paris, des styles de cuisine très différents, la scène salée, la scène sucrée, la scène artisan... "permet de raconter la cuisine telle qu'on la voit, telle qu'on la conçoit", confirme Sébastien Demorand.
2014 est marquée par l'ouverture de la scène dédiée aux cocktails. « Il nous a semblé logique d'ouvrir cette année cette scène avec les meilleurs bartenders de France mais aussi étrangers. C'est devenu un engouement planétaire, ça arrive en France et à mon avis, ce sera quelque chose de majeur dans la restauration d'ici 4 à 5 ans », parie Luc Dubanchet.
Omnivore 2014 a tenu ses promesses avec au moins 14.000 visiteurs (chiffre à confirmer après cette troisième journée). « C'est absolument sidérant de voir comment Omnivore est devenu Le festival de la cuisine à Paris, dit Luc Dubanchet. Il fait partie des 4 ou 5 événements majeurs dans le monde. Le festival montre chaque année que l'engouement pour la cuisine est croissant. Voir des professionnels venir de toutes les régions et de l'étranger à Paris, une fois par an, pour se ressourcer, ça reste quelque chose qui m'émerveille en permanence ». Rendez-vous en mars 2015 avec l'équipe d'Omnivore qui promet une édition exceptionnelle pour les 10 ans du festival.
Publié par Nadine LEMOINE
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