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« Brasseries, restauration rapide, gastronomie, traiteur, livraison, plateaux repas, coffrets cadeaux, événementiel et bientôt vente en ligne, nous voulons devenir le numéro 1 du libanais en France et en Europe. La franchise, ce sera pour 2014 », déclare Paul Bou Antoun, directeur des opérations depuis 2006.
La première brasserie Noura (qui signifie lumière en libanais) a ouvert ses portes en 1989, place de Beyrouth à Paris, sur une surface de 50 m2. C'est Jean-Paul Bou Antoun qui a fondé cette année-là ce qui deviendra un groupe avec 15 points de vente et 450 salariés près d'un quart de siècle plus tard. «C'est une success story familiale, dit Paul Bou Antoun, l'un des trois fils du fondateur, chacun occupant des fonctions bien distinctes dans le groupe. Nous ne sommes pas pressés. Nous préférons aborder chaque marché et chaque proposition avec précaution. Oui nous en avons beaucoup refusées, mais nous n'avons aucun regret. Le groupe se porte à merveille ».
Le 17 juin dernier, une brasserie Noura était inaugurée à Boulogne-Billancourt (92). Le 12 septembre, c'était au tour de celle incluse dans le centre commercial Vélizy 2. Pour finir, le 23 octobre, le groupe ouvrait un Noura 3 en 1 dans le tout nouveau centre commercial de Beaugrenelle, dans le 15ème arrondissement et désormais ouvert 7 jours sur 7 comme tous les points de vente du groupe.
Ce dernier est spécial. Il permet de découvrir le Noura nouvelle génération et nouveau look avec un comptoir de vente à emporter, un espace pour manger sur place (50 places) sur le pouce et la brasserie (160 places). L'emplacement, signé en 2007, a réalisé 1200 couverts le premier jour et 700 transactions dans la partie snack. Le ticket moyen s'élève à 25 euros côté brasserie et 10 euros côté snack. 35 personnes ont été embauchées dont 12 en cuisine. « Ce qui est intéressant avec ce concept, c'est qu'en période de crise, nos clients ont le choix entre trois modes de consommation tout en restant dans l'univers Noura », indique le directeur des opérations. « La cuisine libanaise a l'image d'une cuisine gourmande. Notre combat, c'est de montrer qu'elle est aussi une cuisine saine, pas grasse avec beaucoup de légumes. D'ailleurs, dans nos brasseries, les femmes représentent 70% de la clientèle », ajoute-t-il.
Le laboratoire (2000 m2) se trouve à Noisy-le-Grand et dessert tous les points de vente du groupe en frais tous les matins, mais aussi Servair, Newrest ou Disney. Deux personnes dédiées au contrôle de la qualité supervisent le laboratoire et les restaurants. « Il y a une grosse demande de cuisine libanaise, aussi nous allons construire une extension du laboratoire (1500 m2) qui sera réservée aux surgelés que nous allons produire pour de grandes marques », explique Paul Bou Antoun.
Noura sait aussi installer des restaurants éphémères. Après le Printemps Haussmann en 2010 et 2011, ce fut un kiosque Noura qui a pris place dans le Lafayette Gourmet Haussmann. Le groupe pourrait bientôt investir la Côte d'Azur avec 3 points de vente éphémères entre Cannes, Saint-Tropez et Monaco. Une formule qui booste la notoriété de la marque.
Reste la franchise. « Nous étudions un format pour la franchise, de 40 à 400 m 2, selon les emplacements. Nous avons de la demande. Nous avons le laboratoire. Nous allons bientôt franchir le pas », confirme Paul Bou Antoun qui a déjà « trois gros projets pour 2014 ».
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A la carte
Les mezzés froids et chauds : Samakké Harra (ratatouille de légumes), Moutabbal (caviar d'aubergines rehaussé de crème de sésame et jus de citron), Millefeuille de fromage (fromage de lait de vache, tomate, basilic), le Taboulé de persil plat, le hommos servi avec le traditionnel pain libanais, les feuilletés chauds : Sambousek garni au fromage ou à la viande, les Kebbé (croquant de viande au blé concassé et pignon de pin), Fatayer (rissole garnie d'épinards acidulés et pignons de pin) ...
Les grillades : Brochettes de poulet mariné dans l'ail et le citron (Chiche Taouk), Brochettes de Kafta (viande boeuf et agneau hachée avec du persil et des oignons), Brochettes d'agneau…
Desserts : le mouhallabié (flan libanais au lait parfumé à la fleur d'oranger), glace à la crème de lait, une assiette de baklawas.
Meilleures ventes : la grande assiette de hors-d'oeuvre (8 variétés de mezzés) à 19,50 euros et Grillades mixtes (assortiment de 3 brochettes avec hommos et tabboulé) à 23,50 euros.
La première brasserie Noura (qui signifie lumière en libanais) a ouvert ses portes en 1989, place de Beyrouth à Paris, sur une surface de 50 m2. C'est Jean-Paul Bou Antoun qui a fondé cette année-là ce qui deviendra un groupe avec 15 points de vente et 450 salariés près d'un quart de siècle plus tard. «C'est une success story familiale, dit Paul Bou Antoun, l'un des trois fils du fondateur, chacun occupant des fonctions bien distinctes dans le groupe. Nous ne sommes pas pressés. Nous préférons aborder chaque marché et chaque proposition avec précaution. Oui nous en avons beaucoup refusées, mais nous n'avons aucun regret. Le groupe se porte à merveille ».
Le 17 juin dernier, une brasserie Noura était inaugurée à Boulogne-Billancourt (92). Le 12 septembre, c'était au tour de celle incluse dans le centre commercial Vélizy 2. Pour finir, le 23 octobre, le groupe ouvrait un Noura 3 en 1 dans le tout nouveau centre commercial de Beaugrenelle, dans le 15ème arrondissement et désormais ouvert 7 jours sur 7 comme tous les points de vente du groupe.
Noura nouvelle version inauguré à Beaugrenelle
Ce dernier est spécial. Il permet de découvrir le Noura nouvelle génération et nouveau look avec un comptoir de vente à emporter, un espace pour manger sur place (50 places) sur le pouce et la brasserie (160 places). L'emplacement, signé en 2007, a réalisé 1200 couverts le premier jour et 700 transactions dans la partie snack. Le ticket moyen s'élève à 25 euros côté brasserie et 10 euros côté snack. 35 personnes ont été embauchées dont 12 en cuisine. « Ce qui est intéressant avec ce concept, c'est qu'en période de crise, nos clients ont le choix entre trois modes de consommation tout en restant dans l'univers Noura », indique le directeur des opérations. « La cuisine libanaise a l'image d'une cuisine gourmande. Notre combat, c'est de montrer qu'elle est aussi une cuisine saine, pas grasse avec beaucoup de légumes. D'ailleurs, dans nos brasseries, les femmes représentent 70% de la clientèle », ajoute-t-il.
Le laboratoire (2000 m2) se trouve à Noisy-le-Grand et dessert tous les points de vente du groupe en frais tous les matins, mais aussi Servair, Newrest ou Disney. Deux personnes dédiées au contrôle de la qualité supervisent le laboratoire et les restaurants. « Il y a une grosse demande de cuisine libanaise, aussi nous allons construire une extension du laboratoire (1500 m2) qui sera réservée aux surgelés que nous allons produire pour de grandes marques », explique Paul Bou Antoun.
Noura sait aussi installer des restaurants éphémères. Après le Printemps Haussmann en 2010 et 2011, ce fut un kiosque Noura qui a pris place dans le Lafayette Gourmet Haussmann. Le groupe pourrait bientôt investir la Côte d'Azur avec 3 points de vente éphémères entre Cannes, Saint-Tropez et Monaco. Une formule qui booste la notoriété de la marque.
Reste la franchise. « Nous étudions un format pour la franchise, de 40 à 400 m 2, selon les emplacements. Nous avons de la demande. Nous avons le laboratoire. Nous allons bientôt franchir le pas », confirme Paul Bou Antoun qui a déjà « trois gros projets pour 2014 ».
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A la carte
Les mezzés froids et chauds : Samakké Harra (ratatouille de légumes), Moutabbal (caviar d'aubergines rehaussé de crème de sésame et jus de citron), Millefeuille de fromage (fromage de lait de vache, tomate, basilic), le Taboulé de persil plat, le hommos servi avec le traditionnel pain libanais, les feuilletés chauds : Sambousek garni au fromage ou à la viande, les Kebbé (croquant de viande au blé concassé et pignon de pin), Fatayer (rissole garnie d'épinards acidulés et pignons de pin) ...
Les grillades : Brochettes de poulet mariné dans l'ail et le citron (Chiche Taouk), Brochettes de Kafta (viande boeuf et agneau hachée avec du persil et des oignons), Brochettes d'agneau…
Desserts : le mouhallabié (flan libanais au lait parfumé à la fleur d'oranger), glace à la crème de lait, une assiette de baklawas.
Meilleures ventes : la grande assiette de hors-d'oeuvre (8 variétés de mezzés) à 19,50 euros et Grillades mixtes (assortiment de 3 brochettes avec hommos et tabboulé) à 23,50 euros.
Publié par Nadine LEMOINE
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