L'Union de la Sommellerie Française a rassemblé les 25 participants aux épreuves de sélection du concours du Meilleur sommelier de France dans les salons de l'hôtel parisien 'Le Baltimore'. Un mélange d'habitués des concours et de nouveaux venus avec la particularité de voir deux candidats actuellement en poste en Suisse et deux autres oeuvrant à New York. Si les étapes de cette matinée ne révélaient pas de nouveautés particulières, les candidats ont surtout souligné le niveau et l'orientation à l'international.
"Effectivement, le niveau de la sélection est de plus en plus poussé. On en demande toujours plus au sommelier. Cela ne rend pas les choses faciles, mais surtout, cela nous conduit à aller chercher plus loin dans nos connaissances", explique Olivier Tete, sommelier-restaurateur aux commandes de 'La baratte', à Grenoble. Il a préparé la sélection avec Yannick Rizzi (Cave XV sur Vin, à Grenoble), qui était aussi du rendez-vous parisien. "Nous nous sommes présentés avec l'idée qu'il y aurait sans doute meilleurs que nous, car dans notre position de chef d'entreprise, il est bien évident que nous n'avons pas la même disponibilité pour travailler dans les livres, ni accès aux mêmes dégustations que nos confrères parisiens. Mais être présents, c'est important. On voit son niveau et on sait dans quel sens il faut évoluer pour revenir avec d'autres arguments, la prochaine fois."
Afin d'aller au bout de cette démarche, Olivier Tete envisage d'ailleurs d'être à Marseille, le lundi 15 octobre. Ce jour-là, au Palais du Pharo, l'UDSF, en partenariat avec le Comité interprofessionnel des vins de Provence, organisera la finale qui livrera le nom du successeur de Benjamin Roffet, sacré en Val de Loire.
"Effectivement, le niveau de la sélection est de plus en plus poussé. On en demande toujours plus au sommelier. Cela ne rend pas les choses faciles, mais surtout, cela nous conduit à aller chercher plus loin dans nos connaissances", explique Olivier Tete, sommelier-restaurateur aux commandes de 'La baratte', à Grenoble. Il a préparé la sélection avec Yannick Rizzi (Cave XV sur Vin, à Grenoble), qui était aussi du rendez-vous parisien. "Nous nous sommes présentés avec l'idée qu'il y aurait sans doute meilleurs que nous, car dans notre position de chef d'entreprise, il est bien évident que nous n'avons pas la même disponibilité pour travailler dans les livres, ni accès aux mêmes dégustations que nos confrères parisiens. Mais être présents, c'est important. On voit son niveau et on sait dans quel sens il faut évoluer pour revenir avec d'autres arguments, la prochaine fois."
Afin d'aller au bout de cette démarche, Olivier Tete envisage d'ailleurs d'être à Marseille, le lundi 15 octobre. Ce jour-là, au Palais du Pharo, l'UDSF, en partenariat avec le Comité interprofessionnel des vins de Provence, organisera la finale qui livrera le nom du successeur de Benjamin Roffet, sacré en Val de Loire.
Publié par Jean BERNARD
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