Le restaurant de Caroline Blanc, Lo Specchio, de 45 couverts et au design contemporain, est une affaire familiale. Ses frères participent à la gestion de l'établissement. Sa maman est à la tête d'une brasserie qui fonctionne bien, Le Miroir, place Saint-Georges et son père était traiteur jusqu'à sa retraite, l'année dernière. Les produits viennent directement d'Italie et aucun vin français n'est servi au restaurant. Joce, en cuisine est venu rejoindre l'équipe de cinq personnes dont un second qui prend entièrement en charge la partie desserts. "Fedelinis aux morilles, risotto de pâtes aux coquilles saint-jacques, pizza à la fondue de poireaux… c'est la cuisine traditionnelle italienne avec la French Touch, explique Joce, la touche déco qui fera la différence."
Esprit restaurant de quartier
"J'y tiens, insiste Caroline, les clients apprécient de pouvoir dîner tranquillement sans être poussés par le second service. D'ailleurs, je vois la différence sur le montant du ticket moyen. Ils n'hésitent pas à reprendre du vin ou un dessert." Caroline mise aussi beaucoup sur l'accueil des familles, la place est prévue pour les poussettes et les enfants choisissent un plat dans la carte, servi en petite portion. L'équipe est en effet aux petits soins pour les clients, beaucoup viennent en voisins et ont déjà leurs habitudes. "J'aime cet esprit restaurant de quartier, dit Caroline en souriant, c'est une nouvelle façon de concevoir la convivialité."
Esprit restaurant de quartier
"J'y tiens, insiste Caroline, les clients apprécient de pouvoir dîner tranquillement sans être poussés par le second service. D'ailleurs, je vois la différence sur le montant du ticket moyen. Ils n'hésitent pas à reprendre du vin ou un dessert." Caroline mise aussi beaucoup sur l'accueil des familles, la place est prévue pour les poussettes et les enfants choisissent un plat dans la carte, servi en petite portion. L'équipe est en effet aux petits soins pour les clients, beaucoup viennent en voisins et ont déjà leurs habitudes. "J'aime cet esprit restaurant de quartier, dit Caroline en souriant, c'est une nouvelle façon de concevoir la convivialité."
Publié par Dorisse PRADAL
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