Niché sur le rocher de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritime), l'hôtel Maybourne Riviera a ouvert ses portes après des années de travaux pour remplacer le mythique hôtel Vista Palace. Si la force du Maybourne Riviera est son éblouissante vue sur le littoral azuréen, plongeant du golfe de Saint-Tropez aux côtes ligures, l’établissement, qui rejoint le parc d’hôtels de luxe de la Côte d’Azur, se démarque aussi par une empreinte architecturale et un attachement à l’art prégnants dans chaque espace. “Le Maybourne Riviera propose une nouvelle approche, plus jeune, plus moderne, plus intime, et en lien avec l’art” déroule Boris Messmer, directeur général du Maybourne Riviera.
L’apparence brute de la façade, structure de métal et de verre, est adoucie dès l’intérieur. L’usage des œuvres d’art, de mobilier tout en courbes et de couleurs pastel offre une atmosphère délicate. Dès l’entrée, c’est la sculpture de l’artiste Louise Bourgeois qui relève le regard des hôtes, mais très vite, les yeux sont rivés sur le vitrail signé Le Corbusier qui sépare harmonieusement le lobby de l’accès au bar.
150 à 350 salariés en saison
La partie restauration s’inscrit pleinement dans l’identité du Maybourne. Les quatre restaurants sont dirigés par les chefs triple étoilés Mauro Colagreco et Jean-Georges Vongerichten. Un engagement durable et récompensé cette année par une étoile Michelin pour le restaurant Ceto, au dernier étage de l’hôtel, dont la vue sur la Méditerranée et la décoration immergent totalement les clients dans l’univers marin. Avec sa décoration signée Bryan O’Sullivan, le restaurant Riviera, logé au niveau du lobby de l’hôtel, dévoile aux convives une gastronomie simple et locale, mettant à l’honneur les produits méditerranéens.
Le choix de suites conçues par Bryan O'Sullivan et Pierre Yovanovitch, d’une surface minimale de 45 m², conforte le positionnement luxe du Maybourne. Si toutes sont tournées vers la Grande Bleue, trois d’entre elles jouissent même d’une piscine privative. L’hôtel développe ainsi l’axe du bien-être, avec la présence du spa signé André Fu.
Le Maybourne est également un nouveau gros pourvoyeur d’emplois, puisque l’équipe compte 150 salariés à l’année et pousse le curseur à 350 employés en saison. Une équipe pas encore au complet : “Nous serons toujours à la recherche de talents partageant nos valeurs et nos ambitions pour rejoindre nos équipes” conclut Boris Messmer.
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Publié par Vanessa GUERRIER-BUISINE