Adeline Grattard, qui fêtera les 10 ans de son
restaurant gastronomique franco-chinois l'année prochaine, continue la
diversification. « En fait, j'aime
créer des lieux avec des identités différentes, mais toujours le même
architecte, Victor Lecourtier, qui va jusqu'à concevoir et fabriquer le
mobilier pur moi », raconte Adeline Grattard. En effet, en 2014, elle
ouvrait avec lui la Boutique Yam'Tcha (vente de thés et de bao, des spécialités
chinoises salées ou sucrées avec des recettes créatives) avec un ticket moyen
autour de 10 euros. Et voici le numéro 3, Café laï'Tcha, toujours dans le quartier
des Halles au centre de la capitale. « J'ai repris une boutique de vêtements
et c'est l'espace lui-même très haut de plafond et spacieux qui nous a donné
envie de créer ce concept 2 en 1. Mais il a bien fallu 5 mois de travaux ».
Dès l'entrée,
le client découvre un comptoir en terre de 11 m de long sur lequel sont
présentés les plats du traiteur vendus au poids et en emballage carton de vente
à emporter. Le ticket moyen se situe entre 10 et 15 euros. Après le comptoir,
la salle de restaurant avec quelques places en mezzanine, 25 couverts au total.
Ici, les clients s'installent, choisissent sur la carte les mêmes spécialités mais
qui seront dressées sur assiette, peaufinées et servies à table depuis la
cuisine. Le ticket moyen atteint cette fois la trentaine d'euros.
Une cuisine exotique
«C'est une cuisine décontractée avec des saveurs asiatiques, Chine, HongKong, Asie du Sud-Est et même Océan Indien. C'est ce que j'aime, exotique ! Ils sont 6 en cuisine car ce sont des plats archi cuisinés, super frais, pas de sous-vide ou de congelés. Nos convictions n'ont pas varié », souligne Adeline Grattard. Les spécialités les plus consommées ? Nouilles froides, sauce sésame au Nahmu ; Salade de shitakés, Shimejis, riz vénéré, tofu fumé ; Nems de légumes, Poulpe, bengali, combava et lait de coco et en dessert, Riz gluant à la mangue et la barre chocolat, passion, patates douces.
Ouvert de 12 h à 20 h en continu, le Café laït'Tcha emploie 3 personnes en salle, sous la direction d'Emilie Pucci. Il est aussi privatisable. Outre le thé rouge glacé aux zestes de citron et le punch planteur aux fruits frais, c'est l'occasion de découvrir la boisson hongkongaise composée de thé noir corsé et de lait concentré (aussi en version au jasmin), c'est-à-dire le… laï'tcha.
«C'est une cuisine décontractée avec des saveurs asiatiques, Chine, HongKong, Asie du Sud-Est et même Océan Indien. C'est ce que j'aime, exotique ! Ils sont 6 en cuisine car ce sont des plats archi cuisinés, super frais, pas de sous-vide ou de congelés. Nos convictions n'ont pas varié », souligne Adeline Grattard. Les spécialités les plus consommées ? Nouilles froides, sauce sésame au Nahmu ; Salade de shitakés, Shimejis, riz vénéré, tofu fumé ; Nems de légumes, Poulpe, bengali, combava et lait de coco et en dessert, Riz gluant à la mangue et la barre chocolat, passion, patates douces.
Ouvert de 12 h à 20 h en continu, le Café laït'Tcha emploie 3 personnes en salle, sous la direction d'Emilie Pucci. Il est aussi privatisable. Outre le thé rouge glacé aux zestes de citron et le punch planteur aux fruits frais, c'est l'occasion de découvrir la boisson hongkongaise composée de thé noir corsé et de lait concentré (aussi en version au jasmin), c'est-à-dire le… laï'tcha.
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Publié par Nadine LEMOINE
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