Grand moment d'émotion à l'Opéra
Garnier où étaient réunies mercredi soir de nombreuses personnalités du monde
de la cuisine dont les vainqueurs des éditions précédentes. Une 50ème
édition très disputée dans les cuisines de l'Ecole de gastronomie Ferrandi le
matin même par les 7 finalistes issus de 6 nations dont deux pour la France. Et
ce sont les Français qui sont montés sur les plus hautes marches du podium, Julien Richard, suivi par Nicolas Hensiger, devant le Japonais Kenji Yoshimoto. « C'est magnifique de gagner Le Taittinger ! Cela me trottait
dans la tête et cette année, je me suis lancé. Je reconnais que j'ai beaucoup
travaillé. Les quatre derniers mois ont été intensifs », confie Julien
Richard, sous-chef adjoint Ile des Embiez, dans le Var, auprès de Christophe Pacheco, MOF, chef exécutif Bendor
et Les Embiez, et de son bras droit Nicolas
Davouze. En cuisine, les candidats avaient deux plats à réaliser : un
turbot Nantua farci et deux garnitures (poireau, céleri) et une tarte à l'orange.
Ce sont deux vainqueurs du Prix Taittinger qui ont remis la coupe au lauréat : Joël Robuchon (en 1970) et Bernard Leprince (en 1995). «Quand j'ai remporté le prix Taittinger, c'était à une époque où la télé ne tenait pas une si grande place, et où il fallait passer des concours pour se faire connaître, se souvient Joël Robuchon. Jugé par les grands professionnels du moment, le prix Taittinger permet à tous les candidats de faire preuve de leur savoir-faire et de leur maîtrise. Je souhaite aux finalistes d'avoir autant de débouchés que j'en ai eus après avoir remporté ce prix ».
C'est en 1967, sous l'impulsion de Claude Taittinger, que voit le jour la première édition du Prix Culinaire International Pierre Taittinger en hommage au fondateur de la marque de champagne du même nom, député du 1er arrondissement de Paris et fin gastronome. Pierre-Emmanuel Taittinger, président du champagne Taittinger, petit-fils de Pierre Taittinger, perpétue cette oeuvre familiale, le premier grand concours international de cuisine au palmarès duquel apparaît un nombre impressionnant de chefs renommés et étoilés. « Les candidats incarnent l'avenir de la cuisine française », dit Pierre-Emmanuel Taittinger. Pour le premier vainqueur, en 1967, Michel Comby, « chaque lauréat a apporté quelque chose à la cuisine française ».
Ce sont deux vainqueurs du Prix Taittinger qui ont remis la coupe au lauréat : Joël Robuchon (en 1970) et Bernard Leprince (en 1995). «Quand j'ai remporté le prix Taittinger, c'était à une époque où la télé ne tenait pas une si grande place, et où il fallait passer des concours pour se faire connaître, se souvient Joël Robuchon. Jugé par les grands professionnels du moment, le prix Taittinger permet à tous les candidats de faire preuve de leur savoir-faire et de leur maîtrise. Je souhaite aux finalistes d'avoir autant de débouchés que j'en ai eus après avoir remporté ce prix ».
C'est en 1967, sous l'impulsion de Claude Taittinger, que voit le jour la première édition du Prix Culinaire International Pierre Taittinger en hommage au fondateur de la marque de champagne du même nom, député du 1er arrondissement de Paris et fin gastronome. Pierre-Emmanuel Taittinger, président du champagne Taittinger, petit-fils de Pierre Taittinger, perpétue cette oeuvre familiale, le premier grand concours international de cuisine au palmarès duquel apparaît un nombre impressionnant de chefs renommés et étoilés. « Les candidats incarnent l'avenir de la cuisine française », dit Pierre-Emmanuel Taittinger. Pour le premier vainqueur, en 1967, Michel Comby, « chaque lauréat a apporté quelque chose à la cuisine française ».
Publié par Nadine LEMOINE
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