Tout plaquer pour aller travailler sur une île, peut sembler un plan de rêve. En effet, c’est la garantie :
- d'avoir une qualité de vie exceptionnelle. Goûter à la vie au soleil, avoir l’impression d’être un peu en vacances, profiter d’un mode de vie simple et plus relax. Le week-end et les jours de repos, vous pourrez profiter des joies de la plage et/ou faire des randonnées magnifiques en montagne. Les paysages dans les îles sont souvent à couper le souffle ;
- de vivre une expérience hors du commun. C’est aussi l'occasion de sortir de sa zone de confort, d'apprendre à se connaître et se remettre en question ;
- d'enrichir son CV. C’est l’occasion de montrer à vos futurs employeurs que vous disposez d’une ouverture d’esprit. Vous développerez de nouvelles compétences, apprendrez d’autres façons de travailler.
Mais s’installer hors de métropole, présente aussi des contraintes qu'il faut connaître et ne pas négliger avant de faire ses valises. Ainsi, travailler dans les îles, c'est aussi :
- l’éloignement de la famille et des amis. Accentué par le décalage horaire, l’éloignement avec les proches n’est pas toujours facile à gérer. Tahiti est par exemple à 16 000 km de Paris, avec un décalage horaire de 11 ou 12 heures. Notez également que le soleil se couche généralement très tôt, ce qui peut déstabiliser dans les premiers temps ;
- la vie chère. Généralement, le coût de la vie est très élevé dans les îles. Au quotidien, on notera aussi de gros embouteillages aux heures de pointe, dû à un réseau routier souvent insuffisamment développé. On observe aussi parfois une certaine lenteur de l'administration et des entreprises publiques ;
- des clauses à bien vérifier. Si en principe employeurs et salariés sont maîtres du contenu du contrat de travail, certaines clauses sont parfois insérées. Prenez bien le temps de tout relire avant de signer, pour limiter les risques de contentieux une fois sur place. Au besoin, n’hésitez pas à en parler ouvertement à votre employeur, lors d’un rendez-vous en tête-à-tête.
Emploi #Îles#
Publié par Mylène SACKSICK