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Ce concours culinaire de renom organise des sélections en Belgique, France (Principautés d'Andorre et de Monaco comprises), Japon, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse. Les cuisiniers, âgés de 24 à 39 ans, avec un minimum de 5 ans de métier, et travaillant dans un restaurant, sont sélectionnés sur recette.
Le thème de la 50ème édition pour accéder aux finales de sélection ? Le filet de boeuf entier, farce à base de foie gras et champignons sauvages et 3 garnitures : cromesquis à base de moelle ; gratin de pommes de terre et Beaufort ; garniture libre à base de carottes. En France, il y a même deux finales de sélection : au Lycée hôtelier de Strasbourg, le 22 septembre, sous la présidence de Jean-Paul Bostoen, chef de l'Auberge de l'Ill, à Illhaeusern (Haut-Rhin) et à Paris, le 26 septembre à l'Ecole Ferrandi sous la présidence de Michel Roth. Les candidats, devront exécuter deux recettes, une libre (grâce à laquelle ils ont été sélectionnés) et l'autre imposée par le comité d'organisation.
Pour les vainqueurs des finales de sélection, les portes de finale internationale, qui aura lieu le 16 novembre à Paris, sont ouvertes. Ce n'est que trois semaines avant le grand jour, qu'ils reçoivent d'une part, la recette imposée à réaliser le jour du concours et le thème général du second plat : une pièce principale (exemples : poisson, crustacés, viande, gibier, volaille, ...) agrémentée de 2 à 3 garnitures. Le tout est dressé sur plat. Et ce n'est que la veille du concours, dans la soirée, que le thème précis du concours est tiré au sort par-devant huissier, ainsi qu'une liste d'ingrédients parmi lesquels le candidat choisit ceux dont il a besoin pour exécuter la recette qu'il doit créer. Il faut être réactif. Le candidat dispose d'un commis provenant de l'école Ferrandi pour le seconder pendant les 5 heures. La notation se fait sur 360 points : 200 points pour le plat et 100 points pour la recette imposée.
Outre un chèque d'une valeur de 10 000 euros, le lauréat du 50ème prix Le Taittinger verra son nom gravé sur la Coupe des Vainqueurs sur laquelle sont gravés les noms de tous ses prédécesseurs) et la médaille "Prix Culinaire International Pierre Taittinger" à l'effigie de Pierre Taittinger et créée par le sculpteur Paul Belmondo. Après la Suisse en 2015 avec Jérémy Desbraux, quelle nation remportera le 50ème Taittinger ?Pour la France, la dernière fois, c'était en 2013 avec la victoire de Bertrand Millar.
Pour les vainqueurs des finales de sélection, les portes de finale internationale, qui aura lieu le 16 novembre à Paris, sont ouvertes. Ce n'est que trois semaines avant le grand jour, qu'ils reçoivent d'une part, la recette imposée à réaliser le jour du concours et le thème général du second plat : une pièce principale (exemples : poisson, crustacés, viande, gibier, volaille, ...) agrémentée de 2 à 3 garnitures. Le tout est dressé sur plat. Et ce n'est que la veille du concours, dans la soirée, que le thème précis du concours est tiré au sort par-devant huissier, ainsi qu'une liste d'ingrédients parmi lesquels le candidat choisit ceux dont il a besoin pour exécuter la recette qu'il doit créer. Il faut être réactif. Le candidat dispose d'un commis provenant de l'école Ferrandi pour le seconder pendant les 5 heures. La notation se fait sur 360 points : 200 points pour le plat et 100 points pour la recette imposée.
Outre un chèque d'une valeur de 10 000 euros, le lauréat du 50ème prix Le Taittinger verra son nom gravé sur la Coupe des Vainqueurs sur laquelle sont gravés les noms de tous ses prédécesseurs) et la médaille "Prix Culinaire International Pierre Taittinger" à l'effigie de Pierre Taittinger et créée par le sculpteur Paul Belmondo. Après la Suisse en 2015 avec Jérémy Desbraux, quelle nation remportera le 50ème Taittinger ?Pour la France, la dernière fois, c'était en 2013 avec la victoire de Bertrand Millar.
Publié par Nadine LEMOINE
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