Dès l’arrivée au Loire Valley Lodges (Indre-et-Loire), le ton est donné : les clients dégustent une infusion aux herbes fraîches pour réveiller leurs sens et reçoivent un bracelet sur lequel est déposée une goutte d’huile essentielle aux effluves de pin, de douglas et de sauge. Perchées à 4 mètres de haut, les 18 cabanes (à partir de 395 € la nuit) dotées d’une terrasse et d’un bain à remous s’ouvrent sur une forêt privée de 300 hectares, proche de Tours et de la route des châteaux. Les hôtes peuvent se promener dans les bois ou dans le potager de 5 000 m² (qui fournit sur place le restaurant du chef Thomas Besnault), plonger dans le bassin de nage ou se faire masser, s’installer dans le lodge des abeilles pour y observer aux jumelles les ruches voisines, participer à des bains de forêt (pratique nippone qui vise à se ressourcer en pleine nature) ou à des “randolyrics” avec le ténor d’opéra Vincent Karche…
Art et nature
L’art contemporain est aussi au rendez-vous. Chaque lodge est signé de la main d’un artiste (Aurèle, le graffeur JonOne...), des sculptures grand format fleurissent dans le parc, l’artisan d’art Elixe métamorphose le bois mort du domaine en pièces uniques de mobilier ou d’art de la table… Sans oublier des vernissages, soirées littéraires ou concerts confidentiels. Ici, les clients viennent savourer “la nature, l’espace, l’intimité et le service d’un hôtel haut de gamme, notamment une restauration sur place de qualité, et de plus en plus la faible empreinte carbone : proximité, pas de climatisation, pas de télévision, pas de wifi, des vélos et des jambes”, note la fondatrice Anne-Caroline Frey. Luxe, calme et volupté, à une heure de train de Paris.
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Publié par Violaine BRISSART