La montagne doit être davantage être promue et travaillée. Didier Chenet l’a rappelé lors de la création du Comité stratégique du Conseil national de la montagne, le 12 février, réunion présidée par Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, et Joël Giraud, député des Hautes-Alpes. Alors que les vacances d’hiver ont enregistré des résultats très différents selon les régions, le président du Groupement National des Indépendants fait plusieurs propositions pour une meilleure promotion des destinations. Les trois plus importantes :
Sur-transcription des directives européennes : En finir avec la ‘sur-transcription’ par l’administration françaises des directives européennes, à l’instar de celle relative à la vente à forfait qui oblige nos professionnels, qui répondent à la demande de services complémentaires de leurs clients comme la vente de forfaits de ski, d’excursions et autres, à souscrire une assurance couteuse semblable à celle des tours opérateurs.
Excès : Cesser d’appliquer aveuglement la règlementation avec pour résultat, par exemple, la visite d’un refuge en montagne par les services d’inspection en recourant à un hélicoptère afin de vérifier son accessibilité aux personnes souffrant de handicap.
Etude d’impact : Exiger que tout projet de nature législative ou règlementaire soit analyser au regard de son impact notamment financier sur les entreprises, à l’instar de la mise en œuvre des Plans de Prévention des Risques Sismiques dont les mises en œuvre peuvent etre catastrophiques pour nos établissements, après diverses autres mises aux normes comme en matières de sécurité ou d’accessibilité.
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Publié par Sylvie SOUBES