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Bâtiment de France, 3 000 m2 entre jardin et habitation, 28 chambres… L'hôtel de Bastard a une réputation qui n'est plus à faire à Lectoure (32). "Nous accueillons beaucoup de groupes pour des séminaires d'entreprises, commente Jean-Luc, le propriétaire. Toutefois cette année, la tendance semble s'inverser, on commence à sentir les effets de la crise. Les entreprises réduisent le nombre de jours de séminaires."
Mais Jean-Luc et son épouse restent très optimistes et continuent à investir : une nouvelle cuisine, de gros travaux de mise aux normes… "C'est pourquoi, nous devons renforcer les partenariats avec le comité départemental du tourisme pour inciter les vacanciers à rester plus longtemps dans le Gers. On doit réfléchir à de nouvelles offres touristiques."
Glace au foie gras
Quand on parle du Gers, on pense indéniablement au foie gras : "La tradition, ça a du bon, explique Jean-Luc, le patron, mais on doit se battre au quotidien pour innover. Il faut faire évoluer la gastronomie du Gers, c'est pourquoi, nous avons choisi de travailler différemment le foie gras en proposant des recettes originales : foie gras et son caramel d'estragon, glace au foie gras, foie en sabayon ou encore croustillant d'esturgeon fumé et son foie gras de canard…"
Le menu spécial foie gras s'affiche à 62 €. "On manque dans le département d'une locomotive comme l'était André Daguin [N.D.L.R. : chantre de la cuisine gersoise], explique Jean-Luc Arnaud. Il a su donner un nouvel élan à la cuisine gasconne et la faire connaître. Aujourd'hui on doit se battre pour faire valoir nos atouts, notre spécificité."
Mais Jean-Luc et son épouse restent très optimistes et continuent à investir : une nouvelle cuisine, de gros travaux de mise aux normes… "C'est pourquoi, nous devons renforcer les partenariats avec le comité départemental du tourisme pour inciter les vacanciers à rester plus longtemps dans le Gers. On doit réfléchir à de nouvelles offres touristiques."
Glace au foie gras
Quand on parle du Gers, on pense indéniablement au foie gras : "La tradition, ça a du bon, explique Jean-Luc, le patron, mais on doit se battre au quotidien pour innover. Il faut faire évoluer la gastronomie du Gers, c'est pourquoi, nous avons choisi de travailler différemment le foie gras en proposant des recettes originales : foie gras et son caramel d'estragon, glace au foie gras, foie en sabayon ou encore croustillant d'esturgeon fumé et son foie gras de canard…"
Le menu spécial foie gras s'affiche à 62 €. "On manque dans le département d'une locomotive comme l'était André Daguin [N.D.L.R. : chantre de la cuisine gersoise], explique Jean-Luc Arnaud. Il a su donner un nouvel élan à la cuisine gasconne et la faire connaître. Aujourd'hui on doit se battre pour faire valoir nos atouts, notre spécificité."
Publié par Dorisse PRADAL
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