"On peut dormir chez nous à partir de 48 € par personne", explique
Sandrine Grosset, directrice du flambant neuf Ace Hôtel de
Saint-Barthélemy d'Anjou (Maine-et-Loire), à quinze minutes de route du centre
historique d'Angers. Que propose-t-on derrière ce prix d'appel ? "Des
prestations inattendues dans l'hôtellerie économique." Elle fait allusion
notamment à la grandeur des 60 chambres, réparties sur quatre niveaux. "La
plus petite fait 17 m2 et la plus grande 25 m2. Celle-ci peut accueillir jusqu'à
quatre personnes grâce à un lit gigogne et son prix est de 65 € pour la
nuit."
À l'espace s'ajoute le confort : lits de grande taille, télévision
à écran plat, salles de bains avec grande douche et large plan vasque,
connexion internet gratuite et illimitée, sans oublier une insonorisation d'exception.
Côté décoration, rien d'agressif ou de criard, bien au contraire. Les tonalités
privilégient l'écru, l'orangé, le chocolat. "Ce n'est pas une punition, ni
une corvée de rentrer dans sa chambre", commente Sandrine Grosset, qui a
passé une douzaine d'années dans l'hôtellerie économique au sein du groupe
Louvre Hotels. Autant dire que cette ancienne élève du lycée hôtelier de Dinard
(Ille-et-Vilaine) connaît le secteur par coeur. Et là, elle se dit séduite par "le
rapport qualité-prix".
Accueil 24 heures sur 24 et buffet à volonté
Autres atouts du Ace Hôtel angevin : un accueil 24 heures sur
24 à la réception et un petit-déjeuner à 6,70 €. Présenté sous forme de buffet
à volonté, il est servi dès 6 h 30 et prolongé jusqu'à 11 heures,
dans une salle à manger baignée par la lumière du jour. Enfin, l'hôtel dispose
d'un parking privatif sécurisé et il a passé un partenariat avec le restaurant
voisin, La Boucherie, qui offre une réduction de 20 % sur l'addition.
Dix-neuvième hôtel du groupe Sighor, l'Ace de Saint-Barthélemy d'Anjou ne fait
qu'amorcer une vague de nouvelles ouvertures. En 2016, on attend des
établissements similaires à Mitry-Mory (Seine-et-Marne), Caen (Calvados),
Troyes (Aube) ou encore Chartres (Eure-et-Loir).
Publié par Anne EVEILLARD