L'engagement des services de l'Etat pour :
- Faire du petit déjeuner une priorité des programmes nationaux de santé publique et de nutrition, en particulier dans le Programme National Nutrition Santé (PNNS),
‐ Intégrer le petit déjeuner dans les communications officielles de l'Institut National de Prévention et d'Éducation pour la Santé (INPES),
- Proposer un accompagnement stratégique et opérationnel au niveau ministériel,
- Inscrire le petit déjeuner dans le parcours éducatif de santé à l'école.
L'engagement des élus et des acteurs de la vie locale et associative pour :
- Favoriser une coordination des actions prises à l'échelon local en faveur du petit déjeuner afin d'en améliorer l'impact, la visibilité et la cohérence globale,
- Développer de nouvelles actions de terrain dans le cadre de phases tests, en concertation avec les réseaux associatifs et collectifs, territoriaux (Association des Maires de France, des Régions de France, des Départements de France et toute collectivité locale volontaire) ou des Agences Régionales de Santé (ARS),
- Orienter les initiatives auprès des publics prioritaires : les enfants et adolescents, les populations défavorisées,
- Profiter du temps parascolaire et périscolaire pour favoriser la prise d'un petit déjeuner quotidien en s'appuyant sur les associations reconnues et les partenaires ad hoc.
L'engagement des acteurs économiques et des professionnels de santé pour :
- Valoriser le petit déjeuner dans le cadre de leurs actions de marketing et de communication,
- Sensibiliser les salariés des entreprises de l'alimentaire à la nutrition,
- Faire de la pédagogie auprès des patients, en particulier des parents, sur l'importance du petit‐déjeuner dans le cadre, par exemple, de leurs consultations,
- revaloriser et favoriser l'accessibilité du petit déjeuner à la française dans les établissements d'hôtellerie et de restauration.