C'est au très chic Automobile Club de France à Paris que le réseau
alsacien La Pizza de Nico a reçu le prix excellence et rentabilité lors de la
29e cérémonie Iref, la Fédération des réseaux européens de partenariat et de
franchise, en novembre dernier. La distinction a été attribuée à Didier
Moser, membre depuis 2011 de l'enseigne créée en 2000 par Nico Palea. "J'ai été distingué d'une
part pour mes résultats financiers et d'autre part pour mon dynamisme au sein
du réseau. Par un heureux hasard, la date de la cérémonie a concordé avec l'ouverture
de mon troisième restaurant", raconte ce gérant de trois pizzerias de l'enseigne
- deux à Colmar (Haut-Rhin) et une à Horbourg-Wihr (Haut-Rhin) -, qui s'est
installé fin 2016 dans la gare classée monument historique de Colmar.
Membre de ce réseau de partenaires - et non de franchisé s-, l'entrepreneur apprécie son statut : "le partenaire a plus de poids dans la prise de décisions qu'un simple franchisé." Un vecteur de vitalité pour l'enseigne ? "J'ai été primé en 2016, et ma collègue Magdalena Lopez, qui gère trois restaurants de l'enseigne dans le Bas-Rhin, avait été distinguée l'année précédente. Cela illustre bien le dynamisme de notre réseau !", souligne le lauréat.
Le juste prix
La force du réseau, selon Didier Moser ? "Nous faisons nous-mêmes nos pâtes et nos sauces tomate, et nous n'utilisons pas de surgelés. Nous avons a su trouver le bon compromis entre qualité et juste prix." L'originalité de l'enseigne est qu'elle ne fait pas de livraison à domicile. À sa création il y a une quinzaine d'années, elle ne proposait que de la vente à emporter. "Il y a cinq ans, nous avons voulu tenter une expérience dans un centre commercial de Strasbourg : on a ajouté des tables et des chaises à l'un de nos stands de vente à emporter pour que les gens puissent manger sur place. L'initiative a remporté un franc succès."
La Pizza de Nico compte aujourd'hui 27 restaurants en France - plus un en Allemagne. "Implantés d'abord en Alsace, nous avons débordé sur la Lorraine", confie Nico Palea, son fondateur. Le réseau est implanté à Nancy (Meurthe-et-Moselle), mais des tractations sont en cours pour conquérir la Moselle avec Metz ou encore Sarreguemines. Il s'est même étendu jusqu'à Nantes (Loire-Atlantique), Perpignan (Pyrénées-Orientales) et Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), et ne compte pas s'arrêter là, puisqu'une quinzaine d'ouvertures sont prévues dans l'année.
Membre de ce réseau de partenaires - et non de franchisé s-, l'entrepreneur apprécie son statut : "le partenaire a plus de poids dans la prise de décisions qu'un simple franchisé." Un vecteur de vitalité pour l'enseigne ? "J'ai été primé en 2016, et ma collègue Magdalena Lopez, qui gère trois restaurants de l'enseigne dans le Bas-Rhin, avait été distinguée l'année précédente. Cela illustre bien le dynamisme de notre réseau !", souligne le lauréat.
Le juste prix
La force du réseau, selon Didier Moser ? "Nous faisons nous-mêmes nos pâtes et nos sauces tomate, et nous n'utilisons pas de surgelés. Nous avons a su trouver le bon compromis entre qualité et juste prix." L'originalité de l'enseigne est qu'elle ne fait pas de livraison à domicile. À sa création il y a une quinzaine d'années, elle ne proposait que de la vente à emporter. "Il y a cinq ans, nous avons voulu tenter une expérience dans un centre commercial de Strasbourg : on a ajouté des tables et des chaises à l'un de nos stands de vente à emporter pour que les gens puissent manger sur place. L'initiative a remporté un franc succès."
La Pizza de Nico compte aujourd'hui 27 restaurants en France - plus un en Allemagne. "Implantés d'abord en Alsace, nous avons débordé sur la Lorraine", confie Nico Palea, son fondateur. Le réseau est implanté à Nancy (Meurthe-et-Moselle), mais des tractations sont en cours pour conquérir la Moselle avec Metz ou encore Sarreguemines. Il s'est même étendu jusqu'à Nantes (Loire-Atlantique), Perpignan (Pyrénées-Orientales) et Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), et ne compte pas s'arrêter là, puisqu'une quinzaine d'ouvertures sont prévues dans l'année.
Publié par Lucie DE GUSSEME
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