Roumains, albanais, ivoiriens ou angolais ont apporté un
vent de nouveauté au sein de la faculté des métiers, mais aussi de leurs entreprises.
L'équipe pédagogique du CFA a adapté l'enseignement du référentiel en mettant
en place une nouvelle méthode pédagogique, plus pertinente, pour permettre aux
jeunes d'intégrer la culture de la cuisine et de la langue
française.
Adapter le référentiel pour une meilleure intégration
"Nous avons noté une croissance fulgurante des inscriptions d'étrangers en 2014-2015 [14 inscrits, ndlr], ce qui nous a conduits à repositionner notre accueil de ces jeunes avec un suivi spécifique", explique Audrey Goineau, responsable du service jeunes et entreprises. Le regroupement des 14 jeunes dans la même classe a permis aux professeurs d'adapter leur démarche pédagogique.
Si la première année a été grandement consacrée à l'accompagnement social des jeunes apprentis, la deuxième promotion a bénéficié d'une structuration à la fois dans l'accueil en entreprises (seuls les étudiants ayant une convention avec un restaurant de cuisine française sont admis) et dans l'application du référentiel : la première année est en effet construite autour de thématiques abordées de manières croisées et transdisciplinaires : une semaine le thème de la diversité, une autre sur l'emploi, l'argent... "Non seulement ça facilite l'apprentissage du métier, mais également de la langue et une meilleure intégration", assure Audrey Goineau. Les professeurs ont dû remettre en cause leur approche pédagogique, mais les résultats sont éloquents : les entreprises sont très satisfaites de ces jeunes et des CDI attendent déjà certains apprentis de la première promotion.
Adapter le référentiel pour une meilleure intégration
"Nous avons noté une croissance fulgurante des inscriptions d'étrangers en 2014-2015 [14 inscrits, ndlr], ce qui nous a conduits à repositionner notre accueil de ces jeunes avec un suivi spécifique", explique Audrey Goineau, responsable du service jeunes et entreprises. Le regroupement des 14 jeunes dans la même classe a permis aux professeurs d'adapter leur démarche pédagogique.
Si la première année a été grandement consacrée à l'accompagnement social des jeunes apprentis, la deuxième promotion a bénéficié d'une structuration à la fois dans l'accueil en entreprises (seuls les étudiants ayant une convention avec un restaurant de cuisine française sont admis) et dans l'application du référentiel : la première année est en effet construite autour de thématiques abordées de manières croisées et transdisciplinaires : une semaine le thème de la diversité, une autre sur l'emploi, l'argent... "Non seulement ça facilite l'apprentissage du métier, mais également de la langue et une meilleure intégration", assure Audrey Goineau. Les professeurs ont dû remettre en cause leur approche pédagogique, mais les résultats sont éloquents : les entreprises sont très satisfaites de ces jeunes et des CDI attendent déjà certains apprentis de la première promotion.
Publié par Vanessa GUERRIER-BUISINE
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