C'est presque par hasard que Jean-Claude et Angélique Leclerc ont lancé leur brasserie. "Le restaurant, juste à côté du gastronomique [une étoile au Michelin, NDLR], était en redressement judiciaire et fermé depuis un an et demi. Quand nous avons appris qu'une franchise était sur l'affaire, nous avons sauté le pas." Il a fallu tout réaménager, pour plus de 250 000 € d'investissements.
Ouvert en avril 2011, La Suite propose "de la brasserie haut de gamme". Des produits similaires à ceux du gastronomique, mais une approche légèrement dissemblable. "Nous travaillons sur des fiches recettes. Mais je ne propose pas les mêmes choses : pas question de s'auto concurrencer", explique le chef. Cela reste 'sa' cuisine, mais en complément du gastronomique. À des tarifs de brasserie : 18 € le menu du jour (entrée, plat, dessert), entre 30 et 35 € le ticket moyen. D'ailleurs, même si le chef suit de très près ce qui se passe à La Suite, chaque cuisine est autonome avec son équipe propre.
Résultat au bout d'un an d'activité : "Cela marche bien et j'ai l'impression que cela a stimulé le gastronomique. Nous touchons une nouvelle clientèle, des jeunes par exemple, qui peuvent revenir au gastro. Il y a ceux qui profitent des deux établissements et ceux qui sont inconditionnels du gastro."
Ouvert en avril 2011, La Suite propose "de la brasserie haut de gamme". Des produits similaires à ceux du gastronomique, mais une approche légèrement dissemblable. "Nous travaillons sur des fiches recettes. Mais je ne propose pas les mêmes choses : pas question de s'auto concurrencer", explique le chef. Cela reste 'sa' cuisine, mais en complément du gastronomique. À des tarifs de brasserie : 18 € le menu du jour (entrée, plat, dessert), entre 30 et 35 € le ticket moyen. D'ailleurs, même si le chef suit de très près ce qui se passe à La Suite, chaque cuisine est autonome avec son équipe propre.
Résultat au bout d'un an d'activité : "Cela marche bien et j'ai l'impression que cela a stimulé le gastronomique. Nous touchons une nouvelle clientèle, des jeunes par exemple, qui peuvent revenir au gastro. Il y a ceux qui profitent des deux établissements et ceux qui sont inconditionnels du gastro."
Publié par Pierre BOYER
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