Une table complémentaire
En matière de stratégie, cette nouvelle table est une pépite : "Elle est complémentaire au gastronomique : elle accueille autant une clientèle professionnelle que des groupes ou des clients de l'hôtel qui cherchent une cuisine plus simple, plus rapide et moins chère, ce qui prolonge leur séjour." Le chef admet avoir remonté le prix de ses menus gastronomiques depuis l'ouverture du bistrot, affichant désormais "un panel de menus varié". "Cette ouverture m'a permis de me décomplexer, se réjouit-il. J'ai désormais envie de me dépasser." Complet midi et soir, avec un ticket moyen à 38 €, l'établissement a donc gagné son pari. "Et on en est fiers, même si ça demande de l'énergie !" Le prochain challenge verra la création, en 2018, d'un spa au coeur de la Villa Kiwi pour dynamiser le taux d'occupation plafonnant aujourd'hui à 48 %.
Publié par Myriam HENRY