La générosité et le partage sont deux qualités inhérentes à la cuisine italienne. Les plats copieux, les grandes tablées, les heures qui défilent… C’est dans cet esprit de convivialité qu’Alexandre Giesbert a pensé Daroco 16, qui a ouvert ses portes à Paris (XVIe), le 1er septembre dernier, en lieu et place de Zebra. Pour gérer ce grand espace de 430 m2 et de 150 couverts, le chef de 35 ans s’est bien évidemment entouré de son alter ego, Julien Ross, qui est de toutes les aventures (Roca, Roco, Perruche…). Mais également de Romain Glize, le troisième pilier de ce trio gourmand.
“Face au succès de Daroco Bourse, nous avons toujours eu en tête d’ouvrir un second Daroco mais nous voulions trouver un lieu atypique, qui nous ressemble, et dans lequel nous allions pouvoir nous amuser à nouveau avec l’espace, et retrouver la même convivialité”, précise Alexandre Giesbert.
Les cocktails à l’honneur
Daroco 16 réunit tout ce qui fait la richesse du patrimoine gastronomique italien : des beignets de mozzarella, des risottos crémeux, des pâtes copieuses et, bien évidemment, des pizzas moelleuses qui ont déjà joué un rôle prépondérant dans le succès de Daroco Bourse. Le savoir-faire d’Alexandre Giesbert - diplômé de Ferrandi et qui s’est forgé le palais chez Pierre Gagnaire - se perçoit aussi dans les grandes assiettes de viande, que ce soit le Carré d’agneau rôti à la myrte ou la Côte de veau à la milanaise, généreuse à souhait.
En semaine, un menu midi est proposé à 19 € tandis que le ticket moyen tourne en moyenne autour de 40 € en soirée. Pour accorder les plats, une douzaine de cocktails ont été élaborés, tel le Figso Sour, pisco au sirop de figue maison. La créativité est au rendez-vous dans ce grand vaisseau disposant au plafond d’une immense fresque signée par l’artiste-tatoueur Supakitch. Faire du bon sans trop se prendre au sérieux : et si c’était cela, la marque de fabrique d’Alexandre Giesbert ?
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Publié par Stéphane POCIDALO