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Dimanche 13 mars au matin, les camions incendie étaient
encore présents devant la vitrine du Relais Louis Blanc à Limoges
(Haute-Vienne). Le feu s'était déclaré la
veille, vers 18 h 30, au rez-de-chaussée du restaurant. "Un
départ de feu de friteuse est à l'origine du sinistre", atteste Fabrice
Granet, le propriétaire de l'établissement. Malgré l'intervention rapide des pompiers, les flammes
se sont propagées aux étages, via la hotte d'aspiration.
Une farouche volonté de rebondir
Les lendemains sont douloureux pour Fabrice Granet qui avait entièrement rénové son établissement au mois d'août dernier. À l'intérieur, les dégâts sont considérables. "Pour l'instant, les experts et les assureurs font leur travail. En attendant il est difficile de donner un bilan chiffré. La cuisine est entièrement détruite et les salles de restaurant lourdement endommagées", confirme ce restaurateur ébranlé mais néanmoins combatif. Pas question pour Fabrice Granet de jeter l'éponge. "Je n'avais jamais connu pareille situation mais je souhaite poursuivre l'aventure avec mes neuf collaborateurs. Nous entamerons les travaux dès que possible et j'espère que dans trois ou quatre mois notre outil de travail sera à nouveau opérationnel."
Une telle épreuve a également été l'occasion de mesurer l'élan de solidarité qui s'est spontanément produit autour de lui. "Beaucoup de confrères comme de nombreux clients ont manifesté soutien et générosité, autant de gestes qui réconfortent dans ces moments-là."
Une farouche volonté de rebondir
Les lendemains sont douloureux pour Fabrice Granet qui avait entièrement rénové son établissement au mois d'août dernier. À l'intérieur, les dégâts sont considérables. "Pour l'instant, les experts et les assureurs font leur travail. En attendant il est difficile de donner un bilan chiffré. La cuisine est entièrement détruite et les salles de restaurant lourdement endommagées", confirme ce restaurateur ébranlé mais néanmoins combatif. Pas question pour Fabrice Granet de jeter l'éponge. "Je n'avais jamais connu pareille situation mais je souhaite poursuivre l'aventure avec mes neuf collaborateurs. Nous entamerons les travaux dès que possible et j'espère que dans trois ou quatre mois notre outil de travail sera à nouveau opérationnel."
Une telle épreuve a également été l'occasion de mesurer l'élan de solidarité qui s'est spontanément produit autour de lui. "Beaucoup de confrères comme de nombreux clients ont manifesté soutien et générosité, autant de gestes qui réconfortent dans ces moments-là."
Publié par Fabrice VARIERAS
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