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L'initiative
fait déjà le buzz dans le microcosme limougeaud de la restauration. À quelques
jours de la Saint-Valentin, Smiley, alias Julien Monteil, sera
dans les bacs et dans les radios avec Challenger, son tout premier opus de rap. Installé
depuis 2003 à l'enseigne La 4ème dimension, au coeur de la capitale
porcelainière, cet entrepreneur de 35 ans a tout au long de sa carrière surpris
ses supporters et ses détracteurs. Champion de course à pied en demi-fond,
créateur d'un club sportif qui recense aujourd'hui une centaine d'adhérents, il
s'est tourné vers la restauration après une expérience réussie dans le
vêtement.
Transformant son commerce en une table pouvant accueillir 80 convives, il propose une carte limousine mais aussi très actuelle. Ses tartines sont au boudin de porc cul-noir, ses pâtés de pomme de terre - autre spécialité régionale - sont au confit ou au petit salé. Son hamburger à la viande 100 % locale côtoie avec d'autres spécialités du cru, mises en vedette par le chef Mathieu Brulet. En salle, la dynamique Virginie, épouse de Julien Monteil, veille au grain. Les menus sont à 17 € (ticket moyen) pour une moyenne de 25 repas par jour, tandis que le bar à tapas fonctionne dès 18 heures.
"C'est une double publicité"
La spécificité de La 4ème dimension est également à découvrir en dehors de ses assiettes, avec la sortie de ce CD de 12 titres, dont on parle déjà beaucoup dans les milieux musicaux alentour, et les soirées thématiques organisées par son dirigeant qui sait mélanger ses deux métiers.
"Cette ouverture vers le rap et la musique nous apporte une clientèle nouvelle, confie Julien Monteil, tout en renforçant celle des habitués. Pour un restaurateur, c'est une double publicité, basée sur sa réputation en tant que telle, et sur le petit quart d'heure de gloire que lui apporte cette nouvelle notoriété." Les projets ne manquent pas à ce boulimique de passions, qui a participé à l'écriture des textes de ses chansons. Un second disque est déjà en gestation.
#Limoges# #Rap#
Transformant son commerce en une table pouvant accueillir 80 convives, il propose une carte limousine mais aussi très actuelle. Ses tartines sont au boudin de porc cul-noir, ses pâtés de pomme de terre - autre spécialité régionale - sont au confit ou au petit salé. Son hamburger à la viande 100 % locale côtoie avec d'autres spécialités du cru, mises en vedette par le chef Mathieu Brulet. En salle, la dynamique Virginie, épouse de Julien Monteil, veille au grain. Les menus sont à 17 € (ticket moyen) pour une moyenne de 25 repas par jour, tandis que le bar à tapas fonctionne dès 18 heures.
"C'est une double publicité"
La spécificité de La 4ème dimension est également à découvrir en dehors de ses assiettes, avec la sortie de ce CD de 12 titres, dont on parle déjà beaucoup dans les milieux musicaux alentour, et les soirées thématiques organisées par son dirigeant qui sait mélanger ses deux métiers.
"Cette ouverture vers le rap et la musique nous apporte une clientèle nouvelle, confie Julien Monteil, tout en renforçant celle des habitués. Pour un restaurateur, c'est une double publicité, basée sur sa réputation en tant que telle, et sur le petit quart d'heure de gloire que lui apporte cette nouvelle notoriété." Les projets ne manquent pas à ce boulimique de passions, qui a participé à l'écriture des textes de ses chansons. Un second disque est déjà en gestation.
#Limoges# #Rap#
Publié par Jean-Pierre GOURVEST
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