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Affranchi des modes, Damien Duquesne a pour seul credo de mettre la gentillesse au coeur du restaurant. "J'ai un côté bon enfant, j'ai envie d'un esprit comme celui d'une école hôtelière." L'accessibilité et la popularisation de la cuisine ont été à l'origine du site internet de recettes 750 G, fondé par son frère Jean-Baptiste Duquesne. Et c'est d'ailleurs en vendant ses parts (il reste consultant) que Damien Duquesne a décidé de réinvestir dans un restaurant. "Cela fait deux ans que je muris le projet sans jamais dévier. La Table, c'est une synthèse de ma vie. La gastronomie que j'ai connue en tant que chef, mon travail de professeur au lycée hôtelier de Soissons et l'aspect participatif et expert du site 750 G." Le chef n'hésite pas à se servir des réseaux sociaux. Depuis l'ouverture, le 7 août, il poste des vidéos des clients, appelle les abonnés à suggérer des recettes à partir de photos des légumes ou les invite à venir préparer les haricots verts avec lui. Il prend aussi en compte la réactivité des internautes sur le site pour élaborer la carte.
Des prix bas et des produits de qualité
À la carte, trois entrées, trois plats et trois desserts. Les menus s'affichent à 19,50 € (entrée-plat, plat-dessert) et 24 € (entrée-plat-dessert). "Et personne ne fait la gueule si le client ne prend qu'un plat et une carafe d'eau, j'ai trop souffert de voir ça au restaurant." Gaspacho et granité concombre, Pintade sauce tomate et purée, Filet de lieu et penne aux courgettes... ce sont les légumes, livrés en direct du Lot, qui donnent le ton. Très présents dans les plats, ils apportent de l'équilibre. "Ca tombe bien, c'est aussi ce que mange le personnel, et je veux le garder en bonne santé !" , plaisante le chef. Aucune poudre ni produits surgelés, "exceptée la pâte feuilletée, mais je pense la commander bientôt à un boulanger", note Damien Duquesne. Après trois semaines d'ouverture, les clients louent unanimement la gentillesse de l'accueil, la plus belle des récompenses pour 'Chef Damien', son surnom depuis 750 G. Le restaurateur veut créer une dynamique : "Il n'y a rien de pire qu'un restaurant vide", estime-t-il. Ouverte de 7 heures à 1 heure 364 jours par an, La Table s'adapte aux moments de la journée. L'enjeu est de taille, puisque le lieu compte 124 places et devrait employer 24 personnes à terme (douze actuellement). Damien Duquesne prévoit de passer à 350 couverts par jour en septembre, contre 200 aujourd'hui, et envisage déjà d'autres ouvertures, à Paris, en banlieue, en province…
Des prix bas et des produits de qualité
À la carte, trois entrées, trois plats et trois desserts. Les menus s'affichent à 19,50 € (entrée-plat, plat-dessert) et 24 € (entrée-plat-dessert). "Et personne ne fait la gueule si le client ne prend qu'un plat et une carafe d'eau, j'ai trop souffert de voir ça au restaurant." Gaspacho et granité concombre, Pintade sauce tomate et purée, Filet de lieu et penne aux courgettes... ce sont les légumes, livrés en direct du Lot, qui donnent le ton. Très présents dans les plats, ils apportent de l'équilibre. "Ca tombe bien, c'est aussi ce que mange le personnel, et je veux le garder en bonne santé !" , plaisante le chef. Aucune poudre ni produits surgelés, "exceptée la pâte feuilletée, mais je pense la commander bientôt à un boulanger", note Damien Duquesne. Après trois semaines d'ouverture, les clients louent unanimement la gentillesse de l'accueil, la plus belle des récompenses pour 'Chef Damien', son surnom depuis 750 G. Le restaurateur veut créer une dynamique : "Il n'y a rien de pire qu'un restaurant vide", estime-t-il. Ouverte de 7 heures à 1 heure 364 jours par an, La Table s'adapte aux moments de la journée. L'enjeu est de taille, puisque le lieu compte 124 places et devrait employer 24 personnes à terme (douze actuellement). Damien Duquesne prévoit de passer à 350 couverts par jour en septembre, contre 200 aujourd'hui, et envisage déjà d'autres ouvertures, à Paris, en banlieue, en province…
Publié par Caroline MIGNOT
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samedi 29 août 2015