Pas de probleme..
...le subjectif (entretien du jardin, harmonie de la déco, décolleté de la patronne, ..) est réglementé par le titre de Maitre Restaurateur...
Mince! pas pensé au titre de Maitre Hotelier...et si on prenait les devants? qu'on crée un titre de maitre hotelier avec pannonceau daté, cordon, médaille, tablier, chapeau, photo en noir en blanc dans le hall remise en grande pompe...et surtout grosses cotisations, direct in our pocket? On pourrait donner des conseils aux gouvernements, sièger au conseil économique et social, rouler les "r", frimer à promocash sans rien acheter...

Va pour le Maître Hôtelier...
Avec comme président à vie du comité de ..., Albert et Madeleine...direction bicéphale pour plus de crédibilité et transparence, 4x4 de fonction et séjour gratuit chez les prétendants au titre tant convoité. Car payer sa cotisation et ses audits récurrents ne sera pas suffisant!

Direction bicéphale...?
aah non! c'est chez nous comme ailleurs : un président avec 2 neuronnes pour l'ensemble des adhérents.

Comment apprécier les critères subjectifs ?
Sérieusement, essayons d'être constructif et je trouve que Madeleine soulève un point important. Comment pourra-t-on évaluer les critères les plus subjectifs comme "le bon état et la propreté des jardins" ou "la mise en valeur des bâtiments" ou encore "le mobilier et la décoration de style et de qualité". Est-ce qu'à l'automne quand les feuilles tombent, le jardin ne sera pas en bon état ? Est-ce parce qu'on mis un éclairage sur la façade que l'on aura mis en valeur le bâtiment ? Est-ce parce qu'on aura mis du mobilier "de style" absolument inconfortable que l'on sera tout bon ?
Cela signifit-il qu'il faut sur de tels critères établir un barème sur des points précis comme (exemple du jardin) : absence de papiers, mégots (etc.)par terre = 2 points, haies taillées = 2 points, éclairage à détection de mouvement la nuit = 2 points...
Qu'en pensez-vous ?

Nelly a quoi bon..
..essayer de sauver une connerie ! Ce titre est nulache, pas la peine de se creuser la tête pour savoir comment il va s'apprécier.
Faut plutot le dynamiter, puis reconstruire...sur de vraies bases. Et si on demandait à nos amis sur quels critères ils aimeraient être jugés? ça serait formateur pour nous tous.

Et oui...
Madeleine fait l'âne...pardon c'est interdit, la police du blog va encore sévir...hi hi hi mais elle sait très bien que le qualitatif ne peut pas sérieusement être évalué sans monter des usines à gaz, sans soulever des objections chez les audités, sans que les étoiles perdent de leur éclat aux yeux des hoteliers et pire aux yeux des clients...
Evaluer la qualité (perçue?) dans des secteurs d'activité comme le notre un vaste programme...D'ailleurs ISO l'a bien compris!

Subjectivité
Il faudrait ajouter dans la réflexion de Madame Rioux : à partir de quel niveau considère-t-on qu'un meuble, qu'un jardin, qu'une façade, qu'un lit, etc. est en mauvais état (ou en bon état). La plage d'interprétation est grande. Effectivement, noter par une échelle de valeurs chaque aspect subjectif est une solution (par exemple de 1 à 5), mais là encore on pourra toujours contester telle ou telle note, selon les appréciations de chacun.

Voilà, je trouve que Madeleine a raison !

Se mettre dans la peau du client....
Gros pour pouvoir rentrer dans la douche, petit pour pouvoir attraper un cintre, frileux pour apprécier le système de chauffage, allergique, sensible au bruit, avide de curiosités touristiques, gourmet, grand, très grand pour la literie, etc
géométre pour attacher de l'importance au m2, électricien pour évaluer l'installaton électrique, plombier pour apprécier les glouglou de la plomberie...

Je m'escuz...môssieur Madeleine
les glouglous, pas besoin de plombier ! et glou et glou il est des nôooo ootreux...il a sa carte comme les autres...