Taxe de séjour : la profession reçue par le cabinet du ministre des Affaires Etrangères et du Développement international

Première réunion de travail avec le cabinet de Laurent Fabius sur la réforme de la taxe de séjour. Le GNI s'est exprimé sur cette rencontre à laquelle assistaient l'Umih et l'ensemble des acteurs du tourisme.

Publié le 15 septembre 2014 à 12:14
Reçu mercredi 30 juillet par le cabinet du ministre des Affaires Etrangères et du Développement International, le Groupement national des indépendants, qui réunit le Synhorcat, la Fagiht et la CPIH, s'est une nouvelle fois félicité « du dialogue fructueux qui s'est engagé entre les professionnels, le gouvernement et un certain nombre de parlementaires concernant la taxe de séjour ». Tous s'accordent aujourd'hui sur la nécessité de réformer la taxe de séjour en France, mais dans quelles proportions ? « Un texte devrait être présenté d'ici l'automne prochain prenant en considération le respect de la compétitivité de l'hôtellerie française et l'attractivité de la destination » affirment les chefs de file du groupement. Les hôteliers indépendants ont rappelé leur opposition à une augmentation démesurée du dispositif.  " Nous ne pouvons pas faire du tourisme un moteur de la croissance en France et en même temps taxer encore davantage nos établissements. C'est une question de compétitivité" estime Gérard Guy, président de la CPIH. « Si une augmentation de la taxe de séjour » pour les hôteliers devait voir le jour, celle-ci « devra être impérativement raisonnable » prévient de son côté Geneviève Bahler, présidente des hôteliers du Synhorcat. « Nos établissements ne doivent pas  être pénalisés » alors que la compétition touristique internationale s'annonce rude. « Le texte s'appliquera également à assurer une perception effective de la taxe de séjour auprès de l'ensemble des contribuables » indique le groupement.  " Il est en effet indispensable que l'Etat se donne les moyens de percevoir la taxe de séjour due par les loueurs de meublés touristiques. Aujourd'hui, on assiste à une explosion des locations d'appartements ou de villas, grâce des sites comme Airbnb. Ces loueurs sont capables de proposer des tarifs défiant toute concurrence en ne respectant que très rarement leurs obligations, notamment en matière fiscale " ajoute encore la représentante du Synhorcat.


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