Speed Burger, qui emploie environ 300 personnes via 32 établissements, est confronté depuis quelques mois à des problèmes de trésorerie dû à deux facteurs : la concurrence et un déboire avec un prestataire pour développer son site de e-commerce comme l'explique Bruno Bourrigault : « Le marché est compliqué, on se fait concurrencer depuis plusieurs années par les services de livraison à vélo », quant au prestataire... « la première société à qui nous avons fait appel nous a coûté très cher et l'outil n'a jamais fonctionné ! Nous avons donc dû trouver un autre prestataire pour recommencer le travail en engageant des dépenses importantes qui ont fragilisé la trésorerie. » Les nouveaux outils numériques permettant notamment la commande en ligne sont désormais opérationnels.
Bruno Bourrigault ne souhaite pas « dramatiser la situation », au contraire, il estime que "l'enseigne a juste besoin d'un peu de temps pour rebondir, surtout que depuis 18 mois cette dernière a pris un véritable virage stratégique" avec une nouvelle identité visuelle, mais aussi en ouvrant 5 points de vente offrant la possibilité de déjeuner sur place.
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