Un confort douillet
Laurent Dutheil est arrivé dans cette maison du XIVe siècle comme salarié en 1998 suivi par une première puis une seconde soeur avant de racheter le fonds en 2003. "Mais c'était une coquille vide rappelle le trio familial, il a fallu tout refaire, meubler, décorer, mettre aux normes." Un chantier est encore en cours pour réhabiliter neuf chambres. Des prix raisonnables (68 à 92 € en 2013), un confort douillet, des confitures maison (plus d'une tonne par an), un accueil renforcé (11 personnes en saison) expliquent le succès du Diderot. Bien installé dans cette ville touristique, l'hôtel pourrait à terme connaître un jumeau dans la région. La famille Dutheil y travaille.
Publié par Jean-Jacques TALPIN