Paul Daniel, c'est l'histoire d'une belle réussite, entreprise leader sur son secteur à Toulouse (31). "Au départ, nous ne faisions que de la distribution et puis très vite, nous avons créé un laboratoire de 700 m2 pour y préparer nos sandwiches et plats cuisinés. Nous n'avons fait que répondre à la demande des entreprises et des salariés", raconte Grégory Peauger, créateur de l'entreprise. Pas d'installation sauvage, les camions Paul Daniel ne se garent jamais par hasard au pied des sociétés. "Nos commerciaux sillonnent les zones d'activité et passent des accords avec les entreprises." Les commandes peuvent être passées le matin au siège de l'entreprise à Garidech (31) mais les clients peuvent aussi acheter directement au camion. Chaque jour, 450 plats sont préparés par quatre cuisiniers.
1 M€ de chiffre d'affaires
L'entreprise est passée de trois à vingt salariés. Les livreurs sont essentiellement des femmes, des mamans qui souhaitent organiser leur temps de travail. Mais l'entreprise est toujours en recherche de personnel. Paul Daniel réalise l'essentiel de son CA avec le snacking : 1 M€. "La vente aux salariés a de beaux jours devant elle, estime Grégory Peauger, les salariés sont contraints de rester déjeuner au bureau, dans les zones d'activités, ils n'ont pas le temps d'aller en centre-ville ou au restaurant. C'est nous qui les servons. On sait aussi qu'ils sont exigeants, ils veulent des cartes renouvelées très souvent et des plats qui s'adaptent à la saison." Dix véhicules couvrent actuellement les dix zones d'activité autour de Toulouse. Avec 25 000 personnes qui arrivent chaque année dans la ville rose et sa banlieue, la demande sera forcément exponentielle.
1 M€ de chiffre d'affaires
L'entreprise est passée de trois à vingt salariés. Les livreurs sont essentiellement des femmes, des mamans qui souhaitent organiser leur temps de travail. Mais l'entreprise est toujours en recherche de personnel. Paul Daniel réalise l'essentiel de son CA avec le snacking : 1 M€. "La vente aux salariés a de beaux jours devant elle, estime Grégory Peauger, les salariés sont contraints de rester déjeuner au bureau, dans les zones d'activités, ils n'ont pas le temps d'aller en centre-ville ou au restaurant. C'est nous qui les servons. On sait aussi qu'ils sont exigeants, ils veulent des cartes renouvelées très souvent et des plats qui s'adaptent à la saison." Dix véhicules couvrent actuellement les dix zones d'activité autour de Toulouse. Avec 25 000 personnes qui arrivent chaque année dans la ville rose et sa banlieue, la demande sera forcément exponentielle.
Publié par Dorisse PRADAL
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