Le nouveau Divellec (« Le » a été supprimé), ouvert le 29 septembre 2016 et imaginé par Studio KO, est divisé en plusieurs espaces au gré d'une décoration qui joue le vert céladon et le rotin pour le jardin d'hiver, les banquettes en cuir ou le long bar où l'on peut s'installer pour déguster du poisson cru. « Je veux de l'ambiance dans mes restaurants. Il faut que ce soit pétillant et dynamique. Nous avons deux salons privés, dont l'un est équipé d'un écran géant escamotable qui fait karaoké. Il faut du décalage. On le loue également pour des soirées ou des déjeuners conférence ».
Dans cet établissement de 90 places assises, ouvert 7 jours sur 7 et qui fonctionne avec une équipe de 40 personnes, le poisson est roi. « Il y a des clients qui viennent tous les jours. Ils ont envie de manger simple mais original, joli et élégant. Ils peuvent avoir ce qu'ils veulent, du plat simple au très travaillés avec un poisson d'une qualité exceptionnelle », explique Mathieu Pacaud qui a concocté une carte à cette image. Cela donne d'un côté, la Sole de petit bateau beurre meunière ou le homard grillé (ou poché au choix) au vin jaune du Jura. De l'autre, les rougets rôtis en aiguillettes, artichauts poivrades, aïoli safrané ou Saint-Pierre, marinière de palourdes, crémeux d'oseille. La meilleure vente ? Le Bar, calque, bonbons de pomme verte et baies roses. Le menu déjeuner est à 49 euros, découverte à 90 et dégustation à 210 euros. Les clients sont revenus et sous peu, ils pourront s'installer en terrasse (50 places assises) avec ses chaises en rotin et tables vert d'eau.
Publié par Nadine LEMOINE