Ils se connaissent depuis 2010. Mickael Chesneau était alors propriétaire de la brasserie Le Lorette, à Angers (49), et il a embauché le chef Emmanuel Caigneux en cuisine. Lorsque le premier a revendu son affaire, il s'était promis de retravailler avec le second une fois qu'il aurait les clés d'un nouveau restaurant. C'est chose faite depuis avril. Mickael Chesneau vient d'ouvrir Le Quart d'heure angevin - clin d'oeil au quart d'heure de retard accordé en Anjou -, dans le centre historique d'Angers, dont il a confié les fourneaux au jeune chef formé dans le CFA de la ville.
Rondes, rectangulaires, grandes ou petites
Deux curiosités font toute la singularité du lieu : les plats servis dans des cocottes et la déco. Le choix des cocottes ? C'est une façon de souligner la préparation "maison" des recettes "et surtout de nous différencier des autres", confie Mickael Chesneau. Des cocottes rondes, rectangulaires, grandes ou petites, dans lesquelles le chef concocte lasagnes, blanquette, noix de Saint-Jacques, mais aussi mousse au chocolat ou tiramisu. "C'est une autre façon d'appréhender la cuisine et son dressage", reconnaît-il. Et, aux beaux jours, Emmanuel Caigneux compte varier les plaisirs avec des poissons et leur ratatouille, des carpaccios ou autre steak tartare.
Quant à la déco, elle se veut urbaine et contemporaine. Tables hautes, pour déjeuner en solo ou en duo, un coin salon plus cosy avec vue sur les abords du musée des Beaux Arts, des verres et des couverts choisis avec soin, des bocaux en verre pour servir riz au lait, panacotta et salades de fruits frais, une ardoise avec un menu qui varie selon le marché et les envies du chef. Le ticket moyen est de 15 €. Avec des cocottes, bien garnies, à partir de 9 €.
Rondes, rectangulaires, grandes ou petites
Deux curiosités font toute la singularité du lieu : les plats servis dans des cocottes et la déco. Le choix des cocottes ? C'est une façon de souligner la préparation "maison" des recettes "et surtout de nous différencier des autres", confie Mickael Chesneau. Des cocottes rondes, rectangulaires, grandes ou petites, dans lesquelles le chef concocte lasagnes, blanquette, noix de Saint-Jacques, mais aussi mousse au chocolat ou tiramisu. "C'est une autre façon d'appréhender la cuisine et son dressage", reconnaît-il. Et, aux beaux jours, Emmanuel Caigneux compte varier les plaisirs avec des poissons et leur ratatouille, des carpaccios ou autre steak tartare.
Quant à la déco, elle se veut urbaine et contemporaine. Tables hautes, pour déjeuner en solo ou en duo, un coin salon plus cosy avec vue sur les abords du musée des Beaux Arts, des verres et des couverts choisis avec soin, des bocaux en verre pour servir riz au lait, panacotta et salades de fruits frais, une ardoise avec un menu qui varie selon le marché et les envies du chef. Le ticket moyen est de 15 €. Avec des cocottes, bien garnies, à partir de 9 €.
Publié par Anne EVEILLARD
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