Conscient des problèmes de pouvoir d’achat de nos concitoyens, le GHR se résigne à une prolongation d’un an de la dérogation, mais rejette l’idée de la pérenniser.
Et pour cause, cette dérogation a déjà engendré un manque à gagner de 200 millions d’euros pour les restaurateurs depuis son introduction en octobre 2022.
Le GHR souhaite maintenant que cette période d'un an soit utilisée pour développer d'autres solutions afin que le titre restaurant retrouve son usage premier au 1er janvier 2025.
Le GHR propose également que les plafonds de paiement en titre-restaurant soient au plus vite réviser à raison de 10 € dans la grande distribution et de 30 € dans la restauration.
Enfin, le GHR souhaite que les salariés du secteur des hôtels, cafés, restaurants – qui sont nourris gratuitement et acquittent au titre de cet avantage en nature, des charges sociales et fiscales, puissent bénéficier, eux-aussi, d’un coup de pouce avec une exonération de charges sociales et d’impôt sur le revenu au titre de cet avantage en nature.