Claude Pilet, chef du D'Artagnan à L'Isle-Jourdain (32), aime se remettre en question,
persuadé que "si l'on fait bon", il y
a toujours des clients intéressés. Aujourd'hui, il tente une nouvelle aventure
avec Séverine, sa compagne, en
insistant sur "une cuisine du marché, des produits frais, un poisson différent chaque
jour", sans oublier l'ingrédient incontournable de la région, le
foie gras.
"Rien n'est facile mais il y a un vrai public pour des assiettes goûteuses, une cuisine franche qui ne triche pas. J'ai quitté La Table de Ségoufielle - où je suis resté quinze ans à réaliser une cuisine gastronomique - parce que j'avais envie d'un autre défi", affirme Claude Pilet. Son menu d'automne propose velouté de cèpes et gambas poêlées, marbré de foie gras aux figues, cochon noir de Bigorre rôti et risotto aux cèpes, pavé de cabillaud à la citronnelle et quelques girolles.
Plus forts ensemble
Installé depuis un an, le restaurateur mise sur une cuisine traditionnelle revisité et met en avant les vignerons de Gascogne. "J'ai aussi adhéré aux Tables du Gers, une association de restaurateurs qui ont la même démarche qualitative. Ensemble, on est plus forts", dit-il.
Après l'école hôtelière de Souillac, Claude Pilet a travaillé douze ans en Suisse dans plusieurs palaces, notamment à Montreux et Interlaken. "La Suisse a une vraie culture culinaire. Elle a des influences italiennes, allemandes et françaises. On y travaille beaucoup le poisson et la plupart des établissements ont de très belles infrastructures", se remémore-t-il.
"Rien n'est facile mais il y a un vrai public pour des assiettes goûteuses, une cuisine franche qui ne triche pas. J'ai quitté La Table de Ségoufielle - où je suis resté quinze ans à réaliser une cuisine gastronomique - parce que j'avais envie d'un autre défi", affirme Claude Pilet. Son menu d'automne propose velouté de cèpes et gambas poêlées, marbré de foie gras aux figues, cochon noir de Bigorre rôti et risotto aux cèpes, pavé de cabillaud à la citronnelle et quelques girolles.
Plus forts ensemble
Installé depuis un an, le restaurateur mise sur une cuisine traditionnelle revisité et met en avant les vignerons de Gascogne. "J'ai aussi adhéré aux Tables du Gers, une association de restaurateurs qui ont la même démarche qualitative. Ensemble, on est plus forts", dit-il.
Après l'école hôtelière de Souillac, Claude Pilet a travaillé douze ans en Suisse dans plusieurs palaces, notamment à Montreux et Interlaken. "La Suisse a une vraie culture culinaire. Elle a des influences italiennes, allemandes et françaises. On y travaille beaucoup le poisson et la plupart des établissements ont de très belles infrastructures", se remémore-t-il.
Publié par Bernard DEGIOANNI
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