"Cahors, après sa période de renaissance, entre dans une période de reconnaissance" : une phrase qui sonne juste, résumant par la voix de Jérémy Arnaud, directeur marketing, le combat mené par l'interprofession et les vignerons pour gagner la 'cahors (r)évolution', qui se donne une dimension internationale.
Beaucoup d'invités ont d'ailleurs constaté cet élan lors d'une dégustation au pied de la tour Eiffel, sous le pont d'Iéna. L'occasion certes de savourer la typicité du vin noir (cépage malbec dominant) mais aussi de comparer les différences notables des flacons présentés, en fonction des terroirs et vinifications. Avec une "patte féminine" de haute tenue livrant des vins très intéressants, notamment les domaines de Vinssou ou du Colombier, les châteaux Tour de Miraval ou Trompette.
C'est l'un des multiples enseignements de cette dégustation : il n'y a plus un mais des cahors, de garde ou de plaisir plus immédiat, en route vers la reconnaissance.
Publié par T.P.